Damien ses critiques films

Quand on a cru au premier volet de Rocky, on peut croire en Challenger ! Il y a eu la version drame années 70, il y a maintenant la comédie années 2020. Sans jamais tomber dans le pathos ni dans le comique, ce film reste dans la justesse du ton choisi. Ivanov, Pirault et les autres sont extra. spoiler: On rit légèrement mais souvent, on ne pleure jamais mais tant mieux et surtout le combat final et le seul est une séquence à savourer ...
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Ma fille ayant apprécié, c'est l'essentiel comme d'habitude, cette note doit être plus haute. J'ai aimé le graphisme, la coloration. Et certaines scènes m'ont fait couler la larmichette. Un film dès 6 ans, ce qui justifie des moments qui s'enchaînent très vite, trop pour moi. J'attendais que le passé du renard soit développé. Que l'ours soit davantage présent même si cette relative absence donne son petit effet à sa prise de parole ...
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Un grand bravo aux acteurs. Tous sans exception. On les suit simplement derrière un scénario léger mais sincère. Arthus accompagne ce joli groupe sans abuser de ses propres sketches. La pépite se trouve dans le fait de mettre en lumière tout ce petit monde du début à la fin. Ils sont tous si beaux !

J'aurais aimé que ce film ne s'arrête jamais.
L'amour inconditionnel d'un frère et sa sœur. Et puis tout bascule. Comment alors continuer sans l'autre ? Comment s'occuper d'une enfant du jour au lendemain et pour toujours quand on est si jeune ? Et tant d'autres écueils.
Quel beau film ! Quel beau jeu des comédiens ! Vraiment !

Toujours suivre vos rêves, où qu'ils vous amènent. Échec ou pas, vous ne vous reprocherez pas de ne pas les avoir suivis. C'est au moins ça de gagner. Dans le cas contraire, vous subirez à jamais ce poids de ne pas avoir osé. Comme si le temps s'était arrêté. Là, dans votre tête. Sans que vous ne puissiez avancer vers votre destinée. Un chemin parallèle inévitable sans détours possibles, sans retours non plus. Alors foncez, foncez ...
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Dune est un film d'ambiance. On s'installe, on écoute, on regarde, on s'imprègne. Façon Blade runner et sa suite. Dune 2 ... là, c'est une catastrophe pour moi. Je n'ai rien reconnu. Les voix françaises, le découpage des scènes, le jeu des acteurs, l'évolution supersonique des personnages, etc. spoiler: Alors oui, le message, d'accord. Attention au fanatisme qui se propagerait par le biais de petites gens influençables. Chacun sa ...
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Mon enfance a été baigné par les contes fées. Walt Disney y a participé. Une époque révolue. Aujourd'hui, ma fille de 9 ans nage dans une autre eau. C'est l'époque du féminisme. Netflix se donne les moyens une nouvelle fois dans l'aventure de Damzel. L'avenir nous dira si ces nouveaux repères cinématographiques changent la donne. Pour ma part, je ne me suis pas ennuyé. C'est spectaculaire, beau et la fin est surprenante. Un pied de ...
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10 ans déjà depuis sa sortie et je découvre seulement ce film. Mon avis ne sera donc qu'une goutte parmis l'océan qui découle des autres. Captivant, c'est certain malgré un début mollasson. L'intrigue est le personnage principal. Et Rosamund Pike excelle. Si belle, et si dangereuse à la fois. Et puisque l'intrigue prime, les acteurs ne peuvent exprimer davantage. J'aurais aimé une explosion de leur jeu pour parfaire l'ensemble. Et que ...
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Ma fille de 9 ans me demande d'aller voir Wonka, revoir en ce qui la concerne. Je dis oui par amour. Je ne regrette pas de lui avoir fait plaisir. C'était ma démarche. Maintenant, je ne peux m'empêcher de glisser mon avis. Il est rare pour moi d'avoir eu cette envie de quitter une salle de ciné, si rare que la dernière remonte à plus de 20 ans. C'est terrible. Voir autant de travail dans le décor, les costumes, les couleurs pour ...
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J'ai adoré. Quel spectacle esthétique ! Une précision incroyable dans les détails. Comme les yeux et leurs mouvements expressifs, les cheveux au gré du vent et d'autres encore. Les personnages hauts en couleur. De la mixité sur un brick, pourquoi pas ; Jeanne de Belleville en serait ravie. Autre clin d'œil, l'androgynie du capitaine de la garde royale ; Netflix n'oubliant jamais d'être le porte drapeau de la diversité. Mon petit bémol ...
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La note de 5 s'attribue à un chef-d'œuvre mais elle pourrait être donnée à un coup de cœur. C'est donc ma note officieuse, 5. Ce film mérite d'être vu, c'est certain. Les costumes, le décor sont majestueux, même les couleurs, les lumières sont grandioses. Que dire des acteurs si ce n'est qu'ils remplissent pleinement la mission d'interprétation. Un jeu que l'on peut trouver similaire dans "La souffleuse de verre". Quant à l'histoire, ...
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Je n'aime pas ne pas savoir trop longtemps. Ce qui explique mon évaluation subjective. Sandra Bullock et les autres acteurs sont crédibles, l'histoire tient en haleine. Le concept de suicide plutôt que de zombies tueurs est intéressant. Un force monstrueuse de je ne sais où, pourquoi pas. Mais offrez-nous une fin. Ici, le mal n'est pas exterminé. Il faudra survivre, vivre avec, en s'en protégeant. Dans l'acceptation. Comme notre peur de ...
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Netflix permet des films hors norme. Qui ne passeront probablement jamais sur des chaînes classiques. Posséder Netflix permet de ne rien manquer de l'inventivité de scénaristes et offre aux acteurs de renom d'oser. Ici, la peur de la mort est traitée de façon insolite. L'ironie est à son paroxysme. Ma note reflète l'envie de ne pas conseiller ce film. Il faut y venir seul. Sans influence. À l'image de nos photos de vacances qui ...
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Certes, Fincher est aux commandes et Fassbender en est la marionnette, tout ça se voit. On nous dit un film de série B haut de gamme, d'accord. Les événements n'y sont pas explosifs mais feutrés. On aime ou pas. Alors oui, vengeance et introspection du killer mais cela a-t-il été suffisant pour me séduire ? Je dis que non. Des dogmes sont souvent répétés pour appuyer le doute existant ou la fatigue chez le tueur dans son métier. Mais ...
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Un scénario original, la tristesse de Will Smith, la beauté et le juste jeu de Rosario Dawson, la musique appropriée et ma fontaine de larmes me permettent d'offrir une belle appréciation. Deux bémols : les flash-backs, ça m'ennuie dans tous les films. Il faudrait réinventer une technique d'être autant efficace mais qui ne casse pas la fluidité des images. Enfin, les scènes trop courtes concernant les autres malades. Une histoire ...
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Sans preuves ne disculpe pas ; voilà ce que je ressors de ce film. Même si ce n'est pas l'objectif. Ce dernier s'oriente plutôt vers la nécessité de mentir pour éviter à un proche de passer par les chaos que nous avons déjà vécus. Seul l'avenir permettra de valider cette thèse. On attend donc une suite.

Extraction, un titre plus approprié, en témoigne un plan séquence interminable : une course poursuite en voiture dans les rues indiennes comme si on y était par des mouvements de caméras réussis en va-et-vient de l'intérieur vers l'extérieur du véhicule par des effets spéciaux classiques traversant le par brise ; un policier armé en recherche labyrinthique de sa proie dans un immeuble habité tout en mode presque doom-like pour ...
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Un film catastrophe en douceur. Aucun jump scare foudroyant, l'angoisse est perceptible sans provoquer de dérangement notoire ... alors à quoi bon ? Et c'est là, la subtilité du film. Nous laisser tranquillement découvrir des phénomènes anormaux, nous laisser nous impatienter d'une quelconque réponse, et finalement spoiler: nous emmener vers une théorie du chaos qui nous pend au nez au vu de notre modèle de vie contemporain.
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Un film très divertissant. Mon coup de cœur, la scène des hérons grabataires. Cette peur que j'ai ressenti, façon Brisby et le secret de Nimh ; bravo donc aussi à Dominique Frot pour son interprétation de la héronne terrifiante ! Chaque personnage a son moment de gloire ici. Cependant, je regrette un peu que l'oncle Dan ou que la maman perdent de l'importance au fil du temps, je trouve. Un humour visuel, façon parfois Grand Méchant ...
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Excellent.
Ne jamais abandonner. C'est ce que nous montre ce personnage principal. Même au fond du trou, tout est possible. Il suffit d'être habité par cette envie de ne pas mourir. Coûte que coûte. Mais toujours dans la peau du gentil. Ça peut rapporter gros.
Plus de 16 ans conseillé de mon propre avis.

Ma fille aime. C'est le principal. Beaucoup d'actions. Une relation amoureuse impossible. Certes, du déjà vu, mais ici dans un contexte original, plus simple pour les enfants qui ne sont pas encore dans la pratique de ce sentiment brûlant. Pour le reste, les 4 éléments, pourquoi pas. C'est encore plus simple pour les enfants. Du coup, les adultes n'y trouveront peut-être pas leur compte. Sauf si l'on aime identifier des faits historiques. ...
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Actions, dialogues, explosions, courses poursuites, humour, winner et looser, mensonges, chemin spirituel ... et cinq acteurs célèbres au top. J'en attendais autant et c'est servi sur un plateau pour un divertissement gagnant.

Excellent tout du long. Deux acteurs parfaits dans les rôles de la brute et du truand.

Une nouvelle version revue récemment avec l'ajout de scènes coupées au montage originel. Une version à bannir selon moi. Des scènes courtes inutiles puisqu'elles expliquent l'inutile dans la compréhension de la première version. Et surtout des doublages français catastrophiques.

Un film traitant de la différence sur un fond d'équilibre sociétal amené à être bouleversé. En y ajoutant divers éléments dans l'air du temps. Finalement assez contemporain cette animation. Sans oublier un excellent graphisme et dynamisme ponctué d'un humour déjanté.

La guerre est mâle avant tout. Quant aux femmes, nos mères, nos soeurs, nos filles, nous aideront-elles enfin un jour à tuer cet homme qui nous habite, et qui les tue elles-mêmes un jour ou l'autre ?
Voilà mon analyse.

Risquer de tuer une petite fille lors d'une opération anti-terrorisme pour éviter certainement plusieurs dizaines de morts lors d'un attentat suicide en préparation. On y ajoute cette idée répandue que les occidentaux font la guerre à l'autre bout du monde sans bouger de chez eux ; les drônes permettant ce genre d'opération. Voilà en deux points ce qu'expose cette histoire. Chacun y trouvera son avis et se confrontera à l'amplitude de ...
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J'ai 48 ans, je suis donc vieux. Je gagne peu, donc il m'est difficile de finir les fins de mois. J'ai une fille que j'aime à la folie et que j'aiderai envers et contre tous. Je suis seul donc seul.
Ce film m'a donc offert une bouffée d'air revigorante.
Merci à Gilles Lellouche et les acteurs.

Aller travailler pour gagner des sous. C'est le quotidien de tous. Mais y aller sans à côté ou pis, avec un chez soi chaotique, c'est la vie de beaucoup. Alors comment tenir ? Comment se contenter d'aligner les jours sans l'espoir de lendemain plus colorés ? Peut-on vivre sans amour, sans amitié, sans solidarité, sans mots, sans seconde chance ? On a le choix d'en décider.

J'ai passé un moment très agréable, léger et plein de sincérité dans le jeu des acteurs. Une belle nostalgie de mon côté. Et une envie d'y croire encore, croire en ses folies de partir loin sur un coup de tête, sur un coup de foudre et de laisser les événements mener la barque.

Une mère, élevant seule ses deux adolescents. Drame social. Une ferme, la côte Atlantique française, dans une zone viticole. Le décor est planté. Ou presque. Cette mère tente un élevage de sauterelles. Oui, c'est tendance. Fort en protéines, c'est petites bêtes répondront peut-être un jour à une surpopulation européenne. Afin d'accroître sa production, la mère trouve par hasard La solution. Le film bascule alors dans l'angoisse ...
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Un véritable coup de cœur.
Comme ces personnages, j'aimerais effacer l'historique de mes erreurs. Mais ce qui est fait est fait. Même si, comme la data, cela semble techniquement possible (quand il n'y a pas mort d'homme), il faut malgré tout assumer l'ensemble et vivre avec. Va la vie. Un drame d'une trame terriblement cynique. Continuer de regarder le miroir pour rester connecté.

Rigueur, professionnalisme, franchise et madeleine de Proust pour toujours y croire. De beaux ingrédients à la réussite d'une vie intérieure.

Un téléfilm sympathique.
On cherche souvent les mots pour se comprendre, comprendre l'autre, exprimer son ressenti. On lit beaucoup. On écoute beaucoup. Arrive un jour où ça ne suffit plus, où l'on se doit d'aller plus loin, d'écrire soi-même sans artifices, d'oser et vaincre la peur de l'autre, de soi. Jamais le premier soir en donne un aperçu.

Sortir une blague et la voir floper parce que personne ne connait la référence. On devient alors un mec bizarre. Les regards changent. Et on nous évite presque par peur. Sauf qu'ici, tout lui réussit puisque les Beatles dépassent les frontières du néant.

On grandit avec le passé des autres. On s'accroche en aimant. On ne vit que pour ça. On avance sans mourir. En attendant le jour où tout bousculera. Et où l'on partira bien accompagné vers un ailleurs.

L'art se doit de bouleverser, interroger, émotionner ! C'est ce qui se dit. Je me souviens, il y a longtemps, 5 rue de Thorigny, avec Braque et l'autre. Ou encore Markt 7 non loin du beffroi. Ces moments, où je n'y comprenais pas. Sans vouloir que l'on m'explique pourquoi. Je le vivais, et c'est ainsi. Voilà encore cette impression. Unique. Rare. Et c'est mieux comme ça. Il faut choisir son monde parallèle, celui où l'on respire ...
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