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Pour faire un grand film, une distribution excellente et une belle photographie sont des conditions nécessaires. Jamais suffisantes. Cette « Mouette » en est la preuve navrante. Sans doute faut-il incriminer en premier lieu un scénario qui mutile grandement le texte de la pièce de Tchékov. L’intensité dramatique de l’œuvre a disparu, ne reste plus finalement qu’un récit assez fade. - Allez vite voir sur YouTube le remarquable ...
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"Un mélange écœurant de sentimentalité, de fausse antiquité et d'attractions de cirque. Celles-ci pourtant réussies, en particulier une course de chars." (Comte Kessler, Cahiers, 2 septembre 1927 - Collection "Les Cahiers rouges",Grasset, p. 280)
Le bonheur passe, et fuit. Bouleversant de nostalgie. La danse d'Irène avec son père, on voudrait qu'elle ne s'arrête jamais… Mais l'après-midi touche à sa fin : il faut rentrer à Paris.
Très, très lent. Ai persévéré pendant trente minutes, puis arrêté. Aura au moins eu le mérite de me faire connaître le personnage de Violette Leduc.
L'humour est (très) poussif, les acteurs surjouent, l'ensemble a très mal vieilli. Reste l'intérêt documentaire de quelques images de la vie d'une petite ville de France dans les années 50.
Mais c'est presque du théâtre filmé ! Et alors ? Toutes les critiques tombent devant la qualité du dialogue et la finesse d'interprétation de nos deux acteurs. (On passe sur les quelques libertés que l'auteur prend avec l'histoire.) Et puis, quand du "théâtre" est filmé comme cela, on en redemande.
Un lac. Joli. Et une maison au bord de ce lac. Dans laquelle il ne se passe rien. Mais alors, vraiment rien du tout. On arrête le visionnage au bout de quinze minutes.
Attention, chef-d'œuvre ! - Au départ, une excellente pièce de théâtre - d'où sont tirés un excellent scénario, et des dialogues de qualité. Acteurs, photographie… aucun ingrédient ne manque. Cinq étoiles sans hésiter.
Trop d'invraisemblances empêchent de s'attacher aux personnages. Un scénario finalement très convenu. Une première partie terriblement "lente". De bons acteurs et une belle photographie ne suffisent pas pour sauver ce film. De la part du réalisateur de l'admirable "Brève rencontre", la déception est énorme.
Rien à sauver dans ce film caractérisé par un scénario insipide et des personnages stéréotypés. À oublier.
Les premières images, jusqu'à la perspective du procès, suscitent l'intérêt et la curiosité. Mais tout capote au bout d'un quart d'heure. Outrances et invraisemblances vont se multiplier. On est rapidement lassé de ce Delon perpétuel excité. Et le dénouement bâclé nous laisse sur le plus pénible sentiment de déconvenue.
Bien loin de surprendre, les "effets" kitchissimes lassent rapidement. Si de plus, on connaît l'opéra et l'une ou l'autre des bonnes voire excellentes captations qui en ont été réalisées (Covent Garden 1981, Liceu 2013, Metropolitan 2015), on arrêtera le visionnage de cette curiosité au bout de quelques minutes.
Dès les premières minutes, nous sommes devant des décors en carton-pâte, des dialogues indigents, une pétarade grotesque entre la police et la bande à Pépé le Moko… On renonce bientôt à poursuivre le visionnage. Nullissime.
Rien à sauver dans ce film dont j'ai arrêté le visionnage au bout d'une demi-heure.
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Post-scriptum. La naÏveté des cinéphiles est donc sans limite, pour qui il était évident que le film avait été tourné… à Guernesey. Exemples extraits de diverses critiques : « Fasciné par l’extraordinaire beauté des îles anglo-normandes », « magnifiques paysages et l’ambiance cosy de la magnifique île de Guernesey », ...
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Un mélo minable, "minablissime". Des dialogues inconsistants. Arrêté le visionage au bout de vingt minutes, furieux contre moi-même de m'être "laissé avoir" par cette arnaque nullissime.
Oui, il y a de jolis costumes, de beaux uniformes. Mais quelques cavalcades ne suffisent pas pour évoquer une bataille. Et un scénario indigent achève de plonger le spectateur dans l'ennui. On interrompt alors le visionage, avec le regret d'avoir perdu son temps.
Scénario médiocre, dialogues indigents, musique banale (Auric pourtant) : rien à sauver dans ce film. Au final, une cucuterie.