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J'ai adoré ce film, très israélien, hommes et femmes à égalité et pourtant ne tue pas le désir ou les sexes, une enquête policière sur fin fond de relations humaines, brutales et généreuses, sensualité, romantisme, tout y est, les critiques n'ont rien compris, dommage!
Formidable film, talent de Austin Butler mais aussi Jodie Corner et l'émotion qu'elle transmet, on aime ces bikers des années 65 à 73, frappée aussi par la sensualité de Mike Faist, au regard foudroyant, pas une seconde d'ennui!
Paysages sublimes du sud de l'Utah, bonne description de cette conquête de l'Ouest, si dangereuse pour les blancs, si révoltante pour les indiens, talentueux récit d'histoires humaines ayant tous le même but, même si parfois pour le spectateur un peu confus, on voit peu le visage de Kevin Costner, comme s'il voulait se cacher, et
bien que quelques longueurs, reste un
beau film et une belle musique.
bien que quelques longueurs, reste un
beau film et une belle musique.
Très beau film, Niney fascinant, grande beauté et romantisme, plus de clarté cependant dans le scénario, la fluidité des scènes aurait pu le faire approcher de a perfection, dommage!
Banalité de condition de la femme italienne de l'après-guerre, dans des milliers de pays, aujourd'hui encore le cas, et bien pire!, terrible un homme qui frappe une femme! Tout est si bien vu, dit, joué, on pense aussi à Sophia Loren dans "Une journée particulière", elle pas de violence, juste tristesse de vie sans choix ni destin.
Sublime, aurait préféré sans forme animation mais peut-être le sentiment éprouvé de vivre en direct une vie de paysans, au fin fond de campagne polonaise au 19ème siècle, aurait été moins vif: tout se mêle, dur labeur, possession de la terre au sein des familles vivant ensemble, argent, commérages, jalousies, convoitise et désir de la belle femme, érotisme des danses sous musique parlant tant aux sens, une merveille!
La maison jouxte le camp d'Auschwitz, tant de banalité du mal que l'on craint d'en écrire encore plus, petite maison dans la prairie,, oui, parfois la noirceur des cheminées peut sur ces espaces si propres s'y perdre, les hurlements des chiens, les voix vociférantes, mais la race des seigneurs, plus que tout se doit de vivre et d'être heureuse, le metteur en scène et les acteurs y excellent.
Toutes les midinettes et admirateurs d'Elvis le verront, contraste de la voix et sensualité de Jacob Elordi avec la névrose d'un homme par elle fuyant la masculinité de son être profond, si éloignée de l'éclatante offerte au spectateur, révéler la vraie par la femme idéalisée, la punir si ose se vouloir sexuelle femelle et non plus éternelle vierge soumise.
Beau film, qu'on aurait cependant souhaité avec plus de souffle et de scénario.
Beau film, qu'on aurait cependant souhaité avec plus de souffle et de scénario.
Belles scènes de bataille, ressemblance physique frappante entre le nouveau président argentin Javier Milei et l'actuel Joaquin Phoenix, corps puissant, regard transperçant bleu océan, d'ailleurs Milei très attiré par la religion juive, celle de Phoenix. On aime les forts sentiments d'amour entre Napoléon et Joséphine, la seule chose, les tableaux s'enchaînent sans vraie fluidité entre eux, comme un manque de scénario pensé, ceux ...
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Pas mauvais film mais quitte à faire une biographie d'un personnage historique comme Sissi, on voudrait en savoir plus de la réalité de son caractère, était anorexique, donc souvent aussi boulimique,, lesbienne, frigide, tout de la femme semble survolé, le spectateur ne peut aller plus loin, si loin aussi du romantisme, le mythe s'effondre!
Incontestablement, un très bon film, grand jeu d'acteurs De Niro, (génial dans son côté maléfique), DiCaprio, (l'ange, incapable d'être vraiment démon), quelques légères longueurs, mais formidable histoire et scénario.
Si peu de films entre les 2 guerres mondiales, le film est beau, on y croit à cette histoire, du bien né qui fait de la servante sa maîtresse, d'autant plus que jamais ne songera à en faire son épouse, si libérée, elle, futur écrivain, dans la belle demeure de son amant, seule, y promènant son beau corps nu d'adolescente; cependant, pour une histoire filmée,comme un petit manque de scénario, par exemple l'ébauche de séduction entre ...
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CedricKahn n'a pas raté son film, merveilleux acteurs, visages si signifiants, et déjà en ce temps là, l'extrême gauche n'aimait-elle pas les juifs lorsqu'ils menaient le combat de l'internationalisme haineux d'#Israël, mais Goldman, jamais, n'avait été de cette prostitution!
La machine FBI en marche, à ne pas aimer tomber dans leurs filets, malgré les questions mine de rien des enquêteurs ou la si belle voix de Marchant Davis, grande performance de Sydney Sweeney.
Les #américains diraient "typically French", bien sûr bons acteurs, intelligents dialogues, mais de l'ennui, masturbation intellectuelle sur relation de couple, en fait on s'en fout, même pas déception, on s'y attendait!
Bon film, du début à la fin, histoire de vie, parfaitement interprétée, qui parle intensément à l'âme humaine, mérite tous ses éloges!
S'il n'y avait pas eu la musique dominante, quasiment rien, simple oeuvre d'art, respectant tout de l'époque, bon choix d'acteurs et de direction mais si peu de scénario, Maiween peu existante, touchante, a peut être été inspirée par Sofia Coppola, avec Johnny Depp le mutique, séduire l'Amérique, mais loin d'elle, et bien sûr dans un schéma historique de l'immense Barry Lindon, se laisse voir, sans plus!
Froid, glacial, implacable! la machine mise en route de l'extermination du peuple juif, ont osé, l'ont fait.
Quelques longueurs, un peu de manque de scénario, mais incontestablement beau film, nous faisant bien pénétrer dans l'époque et les personnages.
La femme de Tchaïkovski", Film puissant de vies au 19ème siècle, excellence de scènes descriptives sous Russie tsariste, moujiks serviteurs de cette aristocratie russe, de religion orthodoxe sacralisée, fort antisémitisme, si aimante de culture française,obscurité des rues boueuses non pavées, on y pénètre excellemment lorsque sonne si vrai l'enfer des pauvres, et sous l'éclairage des bougies, superbe scène de diner d'homosexuels ...
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Intemporel! on vibre dans ce drame et cette histoire d'amour, combien nous les accompagnons dans cette tragédie!
Retour à Séoul, française adoptée retrouvant ses parents biologiques, plongeant jusqu'à l'excès dans ce peuple coréen menacé, soumis aux traditions, mais par l'alcool et le too much, bravant ces interdits sociétaux, jusqu'à pour elle, la rendre souvent cruelle et antipathique, rien dans ce film ne laisse indifférent.
Sur une île isolée au large des côtes irlandaises, sublime terre soufflée par le vent et le sable,
bruits de canon de 1ère guerre mondiale, êtres de pinte de bière au pub, huis clos de vie les faisant fous, tous sous le regard de la "banshee" sorcière, messagère de mort, de lien avec l'Autre monde.
bruits de canon de 1ère guerre mondiale, êtres de pinte de bière au pub, huis clos de vie les faisant fous, tous sous le regard de la "banshee" sorcière, messagère de mort, de lien avec l'Autre monde.
Belle histoire de femme, dans ce milieu de gens travailleurs de la l
a pêche, corps bronzés et musclés, amitié, amour, fidélité, et soudain sexualité exacerbée par le regard et le corps d'un autre, jeunesse foudroyante l'appelant de son désir, tout y est, on aime du début à la fin.
a pêche, corps bronzés et musclés, amitié, amour, fidélité, et soudain sexualité exacerbée par le regard et le corps d'un autre, jeunesse foudroyante l'appelant de son désir, tout y est, on aime du début à la fin.
Une autre histoire avec le même road movie ou acteurs aurait été suffisant, le cannibalisme en trop, dommage!
Crescendo: moment de grâce cette histoire de Roméo et Juliette dans cette vérité pourtant bien décrite des relations israélo-palestiennes, difficile de dire qu'il s'agit ici d'unbonfilm,tant la pauvreté du dialogue etdu scénario,dommage!
1972: "Petra von Kant", ou Hanna Schygulla, devenant aujourd'hui "Peter von Kant" ou Fassbinder, incarné de facon époustouflante par Denis Ménochet, dans ce huis clos d'alcool, de cocaïne, de sexe, avec une incroyable Isabelle Adjani y excellant dans ce rôle d''auto dérision, et la toujours très belle Hanna Schygulla, pas une seconde d'ennui!
Bon film, bon scénario, à l'américaine, donc de temps à autre, petite difficulté de compréhension des différentes scènes du scénario, pour l'esprit européen cartésien, à certains moments aurait été bon, plus d'éclaircissement.
Film très attachant, scènes assez drôles pour "dresser" le bon sauvage , tendres portraits humains pouvant ébranler les pires thuriféraires anti-immigration.
Passionnant, frustrations, amertume, sentiment fort d'humiliation de ces juifs sépharades des années 50 à 80, mais aujourd'hui un mariage sur trois se fait entre séfarades et ashkénazes de toutes origines; si différence,comme dans de nombreux pays, c'est entre classes sociales et non ethniques, tous unis pour l'amour du pays et la farouche volonté de se battre pour son existence.
IIe de Lewis au nord de l'Ecosse,
communauté presbytérienne, une femme belle et vieillissante, règles de vie si austères qu'il faut la venue d'un étranger s'y étant exilé pour au nom de l'amour et de son désir tenter de les transgresser, lenteur de caméra sur les visages intensifiant les êtres dans ces sublimes paysages de vent des landes et plages de sable doré, superbe film!
communauté presbytérienne, une femme belle et vieillissante, règles de vie si austères qu'il faut la venue d'un étranger s'y étant exilé pour au nom de l'amour et de son désir tenter de les transgresser, lenteur de caméra sur les visages intensifiant les êtres dans ces sublimes paysages de vent des landes et plages de sable doré, superbe film!
#Film"#Goliath": pas fan souvent des films "militants", mais là la cause en vaut tellement la peine! pas une seconde d'ennui, scénario haletant, excellence des acteurs, très bon film!
Film tendre, amour et plénitude familiale telle qu'on la rêverait, parents beaux et amoureux, enfants aimés et aimants, gaieté et solidarité du quartier, d'autant plus face à la violence, dans cette Irlande du Nord des années 70, si meurtrie par la haine entre catholiques et protestants, cette famille protestante par sa belle âme, naturellement y résistant.
J'ai adoré, un film qui colle tant à l'image que l'on se fait de journalistes de Libération, si idéologisés certes, mais loin du si repoussant Fouquier-Tinville EdwyPlenel, leur côté débraillé, sensuel aussi dans des soirées d'alcool et de musique, acteurs irréprochables, les stars et tous les autres, parfois faut suivre, à l'américaine, mais on s'y retrouve, allez-y, sans hésiter, un bon moment, Léa.
WestSideStory, Spielberg: parfait bien sûr, pas déçu, comment pourrait-on l'être? mise en scène, acteurs, chants, danses, tout est parfait,
avec Spielberg, du grand professionnalisme! certes, rien, jamais, ne pourra remplacer l'original de Robbins et Wise, mais on vibre toujours avec Bernstein!
avec Spielberg, du grand professionnalisme! certes, rien, jamais, ne pourra remplacer l'original de Robbins et Wise, mais on vibre toujours avec Bernstein!
Film si original, on voyage avec eux, ces attachants personnages dans cette rude Russie du froid, entre deux wagons, s'attendre presque à retrouver ceux de Michel Strogoff, pas une seconde d'ennui, un si bon moment!