Monpseudoestformidable
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Histoire d'amour mièvre saupoudré de mystique intersidérale, sans aucun intérêt pour les non membres de la secte des gnangnan cul-cul la praline.
Les amateurs d'eau de rose, d'introspection des pages psycho des mensuels seront aux anges devant ce film digne d'un séminaire de développement personnel.
Les amateurs d'eau de rose, d'introspection des pages psycho des mensuels seront aux anges devant ce film digne d'un séminaire de développement personnel.
Surjoué, pas crédible, mièvre. Patriotique, mélodramatique, catholique. Une vraie daube aux critiques élogieuses, ça fait peur...
Scénario famélique, acteurs dorénavant au chômage longue durée, full 3D type jeu vidéo toute naze vue cent fois, musique exaspérante etc.
Une X-ième daube méga-ultra-supra-chiante qui finira peut-être dans une anthologie du cinéma de merde du XXIème siècle, même si on préférerait qu'elle disparaisse à tout jamais dans la fosse commune du temps.
Une X-ième daube méga-ultra-supra-chiante qui finira peut-être dans une anthologie du cinéma de merde du XXIème siècle, même si on préférerait qu'elle disparaisse à tout jamais dans la fosse commune du temps.
Tahar Rahim encore plus mauvais que dans la série le Serpent, incroyable mais vrai ! Quant à V. Elfira, on a envie de lui tendre une branche pour la sortir de ces sables mouvants dans lesquels elle s'est engluée...
Un navet total.
Un navet total.
Ce film est un furoncle cinématographique. Bien sûr on attend jamais rien du duo Paul W.S. Anderson et Milla Jovovich aussi mauvais l'un que l'autre dans leurs positions respectives, mais constater qu'un film aussi nul à pu être pensé et produit est toujours une surprise renouvelée.
Le potentiellement excellent Ron Perlman est en dessous de tout, comme à chaque fois qu'il cachetonne dans une daube.
Ce navet intersidéral nous permet ...
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Film de patinage arthritique... Verdict du juge :
Note technique: 1 sur 5
Note artistique: 0 sur 5
Total: 0,5
Comme souvent un scénario bidon composé de 10 lignes de script sur lequel on peut broder n'importe quelle histoire (on remplace les militaires par des pirates, la Finlande par les caraïbes, la glace par du sable, le virus par une carte au trésor et on a exactement le même film au pays de barbe noire), acteurs motivés par le ...
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Billet du dernier film de Roland acheté, on s'assoit deux minutes dans le hall du cinoche avant le début de la séance pour faire l'habituelle "Emmerich check list".
-pop corn XL et soda. OK.
-Esprit critique position ultra off. OK.
-Bouchons d'oreilles anti mégamax suround 7d power fx pour éviter la perforation des tympans; OK.
-Culpabilité/sens moral position off, on oublie le clodo à 10 mètres du ciné à qui j'aurais pu filer les 10 ...
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Onirisme et symbolique de supermarché pour cette bouse from outer space, ras le bol que les Martiens déversent leurs ordures sur terre.
Film bien plus moralisateur que satyrique, et quand bien même il fut penser en satyre, il aurait manqué quelques ingrédients nécessaires à ce genre: De l'humilité et un peu de finesse et d'intelligence dans l'humour...
Jamais deux sans trois, hélas.
Hazanavicius était parvenu à faire une des choses les plus difficile du cinéma: Un film de série B grand public intelligent, plein d'irrévérence, d'audace, emprunt d'un profond humanisme, d'un peu de mélancolie, de beaucoup d'humilité et dénué de prétention. Le tout destiné à tous les publics, Hazanavicius faisant le pari que les gens sont intelligents, que oui, c'est possible de distraire le peuple ...
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Un remake du génial Laura d'Otto Preminger qui ne dit pas son nom ? En version cul cul la praloche pour les humains plein de miévrerie du XXIème siècle. Bon allez 2 étoiles car il y a quand même deux ou trois trucs qui surnagent dans cet océan marasmique.
Zach Dean, scénariste de profession, a du faire comme tout le monde durant la COVID: De gros stocks de papiers toilette. Un excellent support d'écriture pour The Tomorrow War, qui est un excrément mal digéré de tous les films de SF de ces 40 dernières années. A l'heure ou le divertissement est synonyme de pauvreté intellectuelle, de lourdeur et de banalité, et ou il est devient de plus en plus difficile d'imaginer se détendre avec ...
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Acteur en carton sans inspiration, "scénario" (si j'ose dire) ultra formaté, etc... Conclusion: Film minable, qui ne vaut pas d'épiloguer.
Au bout des 10 laborieuses premières minutes on s'attend à voir arriver dans le film Valdimir Poutine himself, torse nu, bandant ses muscles, héros de la Russie immortelle qui va sauver le monde.
Film aussi caricatural que les nanards US qui glorifient la bannière étoilée, mais moche, sans humour, sans... Rien. Impossible de sauver une seconde de ce film, c'est le néant du 7ème art. A l'image des élites et d'une partie du peuple de ce ...
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Navet ntergalactique majoritairement salué par la critique et les spectateurs.
On attend "le chant du loup 2". Je lance une idée de scénario si des producteurs me lisent: Omar Sy n'est pas mort, des extraterrestres (farceurs) vivants au fond de l'océan ont retrouvé ses restes mélangés à une torpille et l'ont fait revivre . Dix ans plus tard, Mi homme mi ogive, il revient à la fois pour se venger et sauver l'humanité.
Le rire est la ...
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Que reste-t-il de Toy Story dans cet opus 4? De très belles images, ce qui vaudra 1 étoile à ce film. Pour le reste, le film est d'une ringardise effrayante, le scénario est identique à toute les anciennes production Disney des années 50 et 60, seule l'image change, dans se film rien ne se perd et rien ne se créé (hélas). Aucun cynisme, aucun mordant, aucune originalité, nada, le néant. Les personnages récurents de Toy Story 4 n'ont ...
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Coucou nous sommes des adolescents trépanés et notre unique passe-temps et de boire après le lycée pour oublier qu'on a oublié d'oublier. Par un hasard forcément fortuit on rencontre une dame forcément très sympa mais forcément un peu chelou qui nous achète de quoi picoler en douce et nous offre le gîte et le couvert pour nos beuveries oubliesques. Ok ben forcément on fonce, on ne va pas tourner le dos à notre rêve ...
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Une bande de débiles mentaux intergalactiques débarquent sur une planète inconnue, font absolument n'importe quoi et tombent à pieds joints dans tous les panneaux géants que cette brave planète dresse sur leur chemin. Une navétitude rarement atteinte, chapeau bas.
Après le génial Avenger Infinity War, ça fait mal aux fesses.
Scénario mononeuronal, dialogue lamentable, rythme pénible, réalisation robotique, humour... Pardon j'ai dit humour? Je retire.
Mention spéciale au cabotin Robert Downey Jr, qui mériterait la palme d'or de la tête à claque si elle existait.
Scénario mononeuronal, dialogue lamentable, rythme pénible, réalisation robotique, humour... Pardon j'ai dit humour? Je retire.
Mention spéciale au cabotin Robert Downey Jr, qui mériterait la palme d'or de la tête à claque si elle existait.