OSC4R _
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Margot Robbie and Ryan Gosling being sexy AND great actors for two hours.
À l’opposé de tous les films adaptés de licences quelconques, Barbie déteste Barbie mais la comprend. Barbie sait aussi être drôle, moderne, référencé, inattendu, décalé, iconique et festif.
À l’opposé de tous les films adaptés de licences quelconques, Barbie déteste Barbie mais la comprend. Barbie sait aussi être drôle, moderne, référencé, inattendu, décalé, iconique et festif.
Alors là j’étais pas prêt.
Ça commence comme un film quelconque. Un drame français habituel à la campagne.
Et puis finalement, presque comme une évidence, ça s’approfondit. Il faut un certain courage pour faire un film pareil. Surtout que c’est bien fait, avec une volonté de ne pas laisser indifférent.
Les comédiens sont bons. Rien à signaler sur la mise en scène.
Ça commence comme un film quelconque. Un drame français habituel à la campagne.
Et puis finalement, presque comme une évidence, ça s’approfondit. Il faut un certain courage pour faire un film pareil. Surtout que c’est bien fait, avec une volonté de ne pas laisser indifférent.
Les comédiens sont bons. Rien à signaler sur la mise en scène.
Les premiers instants d’un film se basent uniquement sur la mise en scène. La mise en scène est catastrophique. Le film aussi a failli l’être.
Heureusement qu’il y a un scénario et des comédiens. Ça m’a donné envie de lire le livre d’ailleurs.
Les dialogues sont pas mal. C’est étonnamment drôle. Le récit fonctionne bien. Facile d’imaginer que ça vient du livre.
Romain Duris est un excellent mousquetaire. Pio Marmaï ...
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À la fois c’est nul, à la fois je comprends pourquoi c’est culte, à la fois ça vaut le détour, et finalement c’est sympa.
Je savais pas mais c’est adapté d’une bd et ça se voit. Comme Sin city d’ailleurs.
Visuellement laid mais tellement singulier que pourquoi pas. Désagréable à l’œil mais agréable à découvrir.
Le réel problème réside dans le choix du ton. Raconter une histoire vraie, pas de manière réaliste, ...
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Al Pacino est intégralement convaincant, le film moins.
Ça commence très très bien. Ensuite difficile de dire ce qui plante. C’est peut être juste trop long. Pourtant les intentions sont louables et le film est bien exécuté.
Un résultat satisfaisant.
Ça commence très très bien. Ensuite difficile de dire ce qui plante. C’est peut être juste trop long. Pourtant les intentions sont louables et le film est bien exécuté.
Un résultat satisfaisant.
Aussi intéressant pour le récit que pour l’histoire derrière le film, Willy 1er est avant tout une comédie. Dramatique certes, il se permet surtout de rire de ce dont on ne rit pas. L’autodérision n’a pas l’air de moquerie.
Et pourtant, difficile d’être complètement convaincu. Il ne sait pas toujours sur quel pied danser. S’en dégage une ambiance presque malsaine. Dommage.
Le démarrage aussi est difficile.
On peut quand ...
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Beethoven contemporain.
Rarement un film n’immerge autant le spectateur. La question du point de vue est intéressante pour chaque séquence, chaque plan. Pas besoin du moindre plan subjectif pour coller au personnage. Darius Marder fait preuve de beaucoup plus d’inventivité.
Sound of metal est une expérience sensorielle : perdre l’ouïe pendant 2 heures. Et pourtant il s’agit d’un film sonore. Un tour de force.
Un tour de force ...
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"Objectivement" mauvais mais comme il a l’air de faire exprès ça va.
Drôle presque malgré lui finalement. Et pourtant kitsch, lourd, théâtral, sur fond de mickeymousing.
Emmanuel Mouret joue pas forcément bien mais avec une certaine cohérence.
Divertissant.
Drôle presque malgré lui finalement. Et pourtant kitsch, lourd, théâtral, sur fond de mickeymousing.
Emmanuel Mouret joue pas forcément bien mais avec une certaine cohérence.
Divertissant.
Le sujet est épineux, l’approche est loin de toute attente, et c’est réussi.
Cristian Mungiu fait preuve de maîtrise et de justesse avec un scénario béton et des comédiens exceptionnels. La gestion du rythme est impressionnante, notamment par rapport à la mise en scène caractéristique de Mungiu : peu de mouvements, des plans longs voire séquences et précisément composés, des instants de vides.
Son meilleur film ...
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Babel avant l’heure.
Autant le début est exceptionnel, autant le reste beaucoup moins.
Il est difficile d’avoir un avis sur Code inconnu tant il agit comme une accumulation de dizaines de scènes indépendantes, presque un film à sketches. On est loin du récit chorale dont il a l’air. Et donc on peut très bien accrocher à certaines séquences comme beaucoup moins à d’autres. Ainsi il est difficile à juger dans sa globalité. ...
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Comédie honnête.
Drôle, puis triste, et toujours vrai. Inutile d’être parent pour l’apprécier. Rémi Bezançon montre ce qu’on ne montre pas avec des airs de comédie romantique.
Un heureux événement fait continuellement preuve d’inventivité. La mise en scène se renouvelle, comme s’obligeant à ne pas faire au plus simple.
Et évidemment, deux comédiens fantastiques.
Drôle, puis triste, et toujours vrai. Inutile d’être parent pour l’apprécier. Rémi Bezançon montre ce qu’on ne montre pas avec des airs de comédie romantique.
Un heureux événement fait continuellement preuve d’inventivité. La mise en scène se renouvelle, comme s’obligeant à ne pas faire au plus simple.
Et évidemment, deux comédiens fantastiques.
Le scénario est nullissime. C’est Taken sans les enjeux. On dirait une parodie. Après c’est un peu cool, un peu divertissant, Keanu Reeves quand même.
Ça aurait pu être génial.
Sans être mauvais, L’avenir n’a aucun intérêt. La formulation est étrange, je sais. Je m’explique. Les personnages sont inintéressants, les enjeux inexistants, la mise en scène acceptable, les comédiens corrects. Il n’y a pas de potentiel dramatique ou émotionnel. Je me demande ce qui a poussé à avoir l’idée puis à écrire, à financer, à tourner et à sortir le film. Comment croire que ça ...
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Bravo au chef op pour avoir lancé la mode des néons, notamment dans les films étudiants.
Extrêmement plaisant à regarder, notamment pour sa mise en scène et son design sonore, un de mes films préférés mais pas parfait pour autant. Faudrait que je le vois au cinéma pour être sûr.
Extrêmement plaisant à regarder, notamment pour sa mise en scène et son design sonore, un de mes films préférés mais pas parfait pour autant. Faudrait que je le vois au cinéma pour être sûr.
Sympathique.
Ça passe étonnamment vite et pourtant c’est pas captivant. Dustin Hoffman ressemble à une tortue. Pourquoi pas. Rien de particulièrement bon à soulever, mais rien de particulièrement mauvais non plus.
Ça passe étonnamment vite et pourtant c’est pas captivant. Dustin Hoffman ressemble à une tortue. Pourquoi pas. Rien de particulièrement bon à soulever, mais rien de particulièrement mauvais non plus.
Après avoir un peu tourné en rond, les frères Dardenne proposent Tori et Lokita, qui est d’ailleurs plus Lokita que Tori, mais qui est surtout assez différent de leurs précédentes réalisations. On retrouve des repères évidemment, des thématiques, un style, des comédiens non professionnels. Mais ça sonne nouveau, un vent de fraîcheur dans leur filmographie.
Captivant d’un bout à l’autre malgré des comédiens inégaux ...
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Magnifique.
Finalement j’ai pas grand chose d’autre à ajouter.
Agnès Varda filme les murs avec talent. J’ai envie de dire "c’était pas gagné" mais Agnès Varda filme tout avec talent.
Ça donne envie de déménager en Amérique il y a 40 ans.
Finalement j’ai pas grand chose d’autre à ajouter.
Agnès Varda filme les murs avec talent. J’ai envie de dire "c’était pas gagné" mais Agnès Varda filme tout avec talent.
Ça donne envie de déménager en Amérique il y a 40 ans.
Drôle et moderne, notamment.
Une comédie policière et théâtrale n’est pas une mince affaire, sauf quand on s’appelle François Ozon. Il signe ici son grand retour dans un genre. Ozon et comédie sont synonymes de précision. Rien n’est laissé au hasard. Ça passe par le montage et le montage son déjà, mais aussi par la mise en scène et la direction d’acteurs. Des comédiens jeunes et moins jeunes. Encore une certaine perfection ...
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Ça aurait pu être sympa mais c’est interminable.
Chaque séquence est beaucoup beaucoup trop longue. 1h40 ressentie 3. Pourtant le point de départ est vraiment intéressant.
Chaque séquence est beaucoup beaucoup trop longue. 1h40 ressentie 3. Pourtant le point de départ est vraiment intéressant.
C’est original mais ça galère un peu.
L’ambiance est sympa, les acteurs convaincants, la musique cool, l’émotion présente, la mise en scène bancale.
Au moins ça passe vite et on rit un peu.
L’ambiance est sympa, les acteurs convaincants, la musique cool, l’émotion présente, la mise en scène bancale.
Au moins ça passe vite et on rit un peu.
Ça faisait longtemps que je l’attendais.
Le début est un peu difficile. Bien mais pas suffisamment passionnant. Ensuite c’est que du bonheur.
La femme de Tchaïkovski est un excellent film pour les libertés qu’il prend vis à vis des genres, de la narration, de la mise en scène et du montage. Évidemment, avec Kirill Serebrennikov aux manettes.
L’actrice principale est exceptionnelle. Elle joue tout en 2h20. Les autres comédiens ...
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Dérangés les mecs un peu.
Le début est très prometteur mais ça tourne vite en rond. Pourtant on a un ton assez fabuleux. Drôle. Et un final magnifique.
La narration passe à la trappe. Elle est donnée par la mise en scène et non l’inverse. C’est ce qui lui fait défaut. Ça reste intéressant.
Le début est très prometteur mais ça tourne vite en rond. Pourtant on a un ton assez fabuleux. Drôle. Et un final magnifique.
La narration passe à la trappe. Elle est donnée par la mise en scène et non l’inverse. C’est ce qui lui fait défaut. Ça reste intéressant.
Gros dodo, le titre ne ment pas.
L’intérêt est limité. On appréciera au mieux la démarche et les visuels. Pour ce qui est de passer un bon moment on repassera.
Difficile de faire plus prétentieux également. Difficile ne veut pas dire impossible.
L’intérêt est limité. On appréciera au mieux la démarche et les visuels. Pour ce qui est de passer un bon moment on repassera.
Difficile de faire plus prétentieux également. Difficile ne veut pas dire impossible.
Jusque là j’ai été plutôt déçu par Kechiche. Des qualités à souligner mais rien de transcendant. Il réalise finalement un excellent film.
Rapidement : on comprend absolument rien de ce qu’ils disent. Je sais que ça fait partie de l’approche mais quand même. Et puis la fin est décevante, presque hors sujet.
Mais quel film ! Tant de justesse, de vérité, d’émotion, c’est tout à fait unique. La mise en scène est ultra ...
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Jane Campion sait mettre en scène et pourtant le résultat sonne terriblement vide. Ça en devient quelconque, pas mauvais ou ennuyeux pour autant. Je me demande simplement si ça en valait la peine.
Lilo & Stitch n’avait pas besoin d’une suite.
Pourtant c’est sympathique. On dirait juste épisode fileur au milieu d’une série.
Les enjeux sont dans un entre-deux : mi bien, mi inintéressants.
Et y’a quelques passages d’une tristesse absolue. Ça je m’y attendais pas du tout.
J’ai toujours envie d’adopter un Stitch.
Pourtant c’est sympathique. On dirait juste épisode fileur au milieu d’une série.
Les enjeux sont dans un entre-deux : mi bien, mi inintéressants.
Et y’a quelques passages d’une tristesse absolue. Ça je m’y attendais pas du tout.
J’ai toujours envie d’adopter un Stitch.
Ça doit être la troisième fois que je le vois mais la première que je le vois en entier.
Bon, c’est pas très beau et ça a du mal à démarrer mais l’ambiance est géniale et puis ABBA quand même.
Ça donne envie de partir en vacances.
Bon, c’est pas très beau et ça a du mal à démarrer mais l’ambiance est géniale et puis ABBA quand même.
Ça donne envie de partir en vacances.
Je pensais que c’était un remake de La piscine.
On ne croit à rien. On ne voit absolument pas la chaleur. Le scénario est bancal et cliché. Les comédiens sont inégaux.
Et pourtant c’est sympathique. Il faut s’accrocher mais une ambiance intéressante s’en dégage. Finalement ça vaut le coup.
Énorme problème d’étalonnage. C’est gris. Dans le mauvais sens du terme. Comme si on voyait une image brute, sortant directement de la caméra.
On ne croit à rien. On ne voit absolument pas la chaleur. Le scénario est bancal et cliché. Les comédiens sont inégaux.
Et pourtant c’est sympathique. Il faut s’accrocher mais une ambiance intéressante s’en dégage. Finalement ça vaut le coup.
Énorme problème d’étalonnage. C’est gris. Dans le mauvais sens du terme. Comme si on voyait une image brute, sortant directement de la caméra.
Je l’ai vue une seule et unique fois en 2011 à sa sortie et c’est exactement comme dans mes souvenirs.
Spielberg se surpasse en terme de mise en scène. Juste l’ouverture du film. Il dit avec élégance "voici mon Tintin" c’est parfait. C’est même l’adaptation parfaite. Une bande dessinée, en film.
Très intelligent de mélanger Le secret de la licorne, Le trésor de Rackham le rouge et Le crabe au pince d’or. Ça permet une ...
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Un peu tiré par les cheveux mais pourquoi pas.
J’ai l’impression qu’il n’y avait pas matière à tenir 1h30. Ça tourne vite en rond. En court métrage oui. Au delà de ça le film ne raconte pas grand chose. Il y a un concept. Pas tellement plus dans la mise en scène.
Les comédiens sont convaincants.
J’ai l’impression qu’il n’y avait pas matière à tenir 1h30. Ça tourne vite en rond. En court métrage oui. Au delà de ça le film ne raconte pas grand chose. Il y a un concept. Pas tellement plus dans la mise en scène.
Les comédiens sont convaincants.
The father sauf que le vieux est remplacé par un jeune.
Dédicace au vigile qui a surveillé la salle debout, dos à l’écran pendant TOUT le film. Il s’est autant ennuyé que moi je pense.
Consternant, c’est le mot. Un drame qui n’est pas triste, et qui est même un peu drôle.
Unique qualité : les performances de Laura Dern (trop forte, comme d’hab) et d’Hugh Jackman (vraiment bon).
Bon, le comédien qui joue le fils, il est ...
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Simplement aucun intérêt.
Ça pourrait mais non. Un film réalisé sans aucune recherche, sans aucun recul. C’est pas intéressant, pas bien réalisé et long.
La musique du générique de fin est le meilleur élément du film.
Ça pourrait mais non. Un film réalisé sans aucune recherche, sans aucun recul. C’est pas intéressant, pas bien réalisé et long.
La musique du générique de fin est le meilleur élément du film.
Le concept est intéressant. Ça permet de faire profiter des œuvres à un plus grand nombre, notamment celles éphémères, de voir les coulisses et d’expliciter la démarche.
Et puis qui de mieux qu’Agnès Varda pour réaliser un documentaire ?
Pas cool Jean-Luc.
Et puis qui de mieux qu’Agnès Varda pour réaliser un documentaire ?
Pas cool Jean-Luc.
La vie est un long fleuve tranquille.
La comparaison est de prime abord un peu facile : le thème est commun, voilà. Au fur et à mesure que le film avance des détails confirment : Hirokazu Kore-eda en avait il conscience ?
L’approche est radicalement différente. Des questions récurrentes dans la filmographie du cinéaste. Qu’est-ce qu’un parent ? Celui qui porte l’enfant ? Qui partage son sang, son adn ? Ou celui qui l’élève, ...
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Le chat Potté 2 1/2
Tout comme Coup de théâtre, Le fabuleux Maurice se tourne lui même en dérision sur le fait qu’il est un récit tout à fait banal, sauf que c’est drôle et réussi.
L’antagoniste est prévisible et le point culminant beaucoup trop long.
Sinon on adore les blagues sur les chats et puis c’est très divertissant.
Le montage et la mise en scène sont sympathiques.
Tout comme Coup de théâtre, Le fabuleux Maurice se tourne lui même en dérision sur le fait qu’il est un récit tout à fait banal, sauf que c’est drôle et réussi.
L’antagoniste est prévisible et le point culminant beaucoup trop long.
Sinon on adore les blagues sur les chats et puis c’est très divertissant.
Le montage et la mise en scène sont sympathiques.
Assez impressionnant par son interprétation et sa mise en scène, Une femme sous influence est néanmoins trop long, mais ce dès les premiers instants. Génial mais redondant.