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C'est une bien étrange histoire que nous propose Robert Zemeckis. Avec son talent de conteur, il parvient à transformer un simple fait divers en un drame à puzzle qui s'avère émouvant.
Si les nouveaux personnages sont grossièrement intégrés à l'histoire, Marc Webb nous offre une suite plus que satisfaisante en matière de scènes d'action et de surprises.
Sam Raimi évincé, Spider-Man revient devant les caméras de Marc Webb qui dépoussière le célèbre tisseur de toile dans une aventure rythmée.
La fin de l'ère Daniel Craig aurait mérité mieux que ce fatras familial qui ne se souvient qu'en troisième acte qu'il y a un méchant dans l'histoire et qu'il faut sauver le monde.
Un énième produit Lego qui ridiculise la franchise et l'enfonce un peu plus encore dans le grotesque et les gamineries.
L'abattage comique de Louis de Funès est sans aucun doute le seul élément qui a évité à ce film de finir dans les limbes.
Un énième scénario révisionniste qui tente de mettre un visage sur le tristement célèbre Jack l’Éventreur. Si au moins c'était fait correctement, mais non. Ne perdez pas votre temps devant ce téléfilm.
On peut toujours compter sur le casse-cou Jackie Chan pour tourner dans les pires nanars des années 2000.
Si le début parvient sans mal a installé une parfaite ambiance de mal être dans cette fameuse chambre 1408, la suite coupe court à toute originalité et alors commence le parcours du train fantôme qui reste bien sagement sur ses rails.
Si Michel Serrault est parfait dans le rôle du tristement célèbre docteur Marcel Petiot, à lui tout seul il ne sauve pas le long-métrage, ce dernier étant beaucoup trop décousu et parfois hors de propos pour être pleinement satisfaisant.
Si la mise en place de l'ambiance vampiresque (le village isolé, la nuit d'un mois et les sabotages) est réussie, tout comme le carnage qui s'ensuit, la suite tourne très vite à vide.
Vengeance et jalousie, voilà un programme lugubre pour ce dernier opus ou, encore une fois, Peter Parker attire tous les malheurs du monde, ce qui donne une impression de déjà-vu et le sentiment de s'être fait refourguer le même film mais deux fois de suite.
Gore Verbinski propose ici une comédie loufoque au rythme cartoonesque ou les personnages principaux, deux frères qui ne sont pas toujours sur la même longueur d'onde, s'en prennent plein la tête a cause d'une simple souris. Cette dernière est une vraie souris, pas un échantillon de CGI dégueulasse comme c'est dorénavant le cas.
Sam Raimi propose de bonnes thématiques mais hélas noyées dans une structure rappelant furieusement le premier épisode, tout en augmentant le niveau de misérabilisme de Peter Parker, jusqu'à en devenir inévitablement comique. Quant à l'antagoniste, il est anecdotique.
Si l'ensemble a quelque peu vieilli et est parfois ringard, Sam Raimi a su maîtriser son sujet en parvenant à rendre vivantes les aventures du célèbre Spider-Man et son combat contre le Bouffon Vert, ennemi qui le hantera durant de nombreuses années.
J'avais peur d'un résultat pompeux vu le réalisateur, mais j'ai été surpris par la facilité de compréhension de l'histoire et le partis pris de sobriété de l'ensemble. On peut regretter un rythme qui s'essouffle au bout d'une heure et demi.
C'est totalement grotesque, surtout en ce qui concerne la révélation finale, mais ça va au bout du délire sans se prendre au sérieux contrairement aux films d'épouvante qui s'inspirent d'histoires "vraies".
L'originalité du cœur qui ne bat plus est vite remplacé par le scénario typique des films Français du genre : problème de couple, quiproquos et révélations familiales en cascade.
Ne sachant sur quel pied danser, soit être une comédie avec des gosses de riche imbus d'eux-mêmes et experts en caprices ou un drame familial ou les enfants ont souffert de la mort de leur mère et de l'absence de leur père, nous avons là un film avec un résultat hybride : peu drôle et peu dramatique.
Pour la réunion de trois légendes du cinéma (Robert De Niro, Tommy Lee Jones et Morgan Freeman), on s'attendait à mieux que cette petite comédie noire mollassonne.
Une énième satire politique bien moins corrosive que "Quai d'Orsay" ou "La Conquête". Cependant la dernière image est parlante.
Une intrigue peut-être un brin étirée pour ce qu'il y a à dire, néanmoins ce thriller s'avère fort prenant pour que l'on s'y attarde.
Quelle est belle la France des banlieues. Et il y en a encore qui s'y refusent a y croire. Heureusement que les forces de l'ordre sont là pour nous en protégé. Courage à vous.
Un film qui pourrait passer pour du M. Night Shyamalan, sauf que là l'angoisse est vraiment présente et, comme les personnages principaux, le spectateur se sent démuni et piégé.
S'essayant au drame familial, le studio Marvel tente de nous surprendre et c'est le cas pendant une petite heure, ensuite le long-métrage retombe dans les clichés du genre et est noyé sous un déluge de CGI immondes.
Une étonnante histoire vraie, mais il est difficile de se prendre d'affection pour des repris de justice. Au moins ce film nous met en garde et démontre que la réinsertion est impossible pour certains.
Avec le personnage de Steven Strange le MCU explore de nouvelles dimensions et si certains visuels sont réussis, l'ensemble ne s'avère pas aussi fou que l'on pouvait s'y attendre.
Non ce n'est pas un nouveau biopic sur Claude François et non ce n'est pas une création de TF1 puisqu'il s'agit d'un remake de la comédie américaine "I Feel Pretty". Je n'ai vu que la première partie, et je peux dire que tout y est superficiel et sans réflexion.
Oui c'est bien d'avoir voulu partir sur un autre style de film (pas de gueule de bois cette fois), mais là c'est trop différent et surtout beaucoup trop vulgaire (le personnage de Leslie Chow est insupportable). A elle seule, la scène post-générique est bien plus drôle que tout le film !
Si l'on constate d'infimes changements dans la mécanique et les twists, l'histoire est peu ou prou la même que dans le premier opus. Ça donne vraiment l'impression de se faire vendre le même produit, en moins bon.
Des critiques dithyrambiques pour un thriller au final banal qui met plus d'une heure à devenir vraiment intéressant. Franchement, il y a des moments ou j'ai du mal à vous comprendre.
Bon, ce n'est pas ouf comme suite. Déjà elle met du temps à trouver son rythme et son but mais en plus elle n'est pas si drôle que ça et le début en mode "les femmes meilleures que les hommes tous idiots" m'a un peu saoulé.
Si le film se vend sur le nom de Ryan Reynolds, pour un rôle qui lui colle à la peau (le bon gars nunuche), le film est plus intéressant pour son propos : il fait réfléchir sur la vie (parfois horrible) des PNJ que nous pouvons croiser tous les jours dans les jeux vidéo. Du coup, ça ne donne plus trop envie d'en tuer pour rire !
C'est marrant, mais les péripéties à Las Vegas de ce quatuor de gars manquent vraiment de folie, c'est trop sage.
Même si l'ensemble est parfois cacophonique, on ne peut pas dire que l’on s’ennuie une seconde devant cette "pièce de théâtre filmée". Et, comme à son habitude, Louis de Funès porte le film sur les épaules.
À l'époque de la sortie de ce film j'étais adolescent, alors forcément j'avais trouvé cette parodie amusante, surtout avec Leslie Nielsen en président américain loufoque. Quinze ans plus tard, le rire se fait attendre.