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Un superbe suspense à huis clos avec à la clé : "habemus papam", mais l'accouchement est difficile. Ça manque de femme, ou pas!
Ça vaut pas le 1 mais on prend une bonne claque. Effet spéciaux parfaits, un quota de têtes coupées respecté une histoire qui fonctionne. Du bon cinéma.
J'ai lu le livre, je me suis beaucoup ennuyé et puis Marguerite m'a capté vers la fin en 10 pages lorsqu'elle a raconté une femme tondue à la libération pour cause d'amour. Qu'en savaient- ils de l'amour ces bourreaux du cheveux, les mêmes qui ont collaboré pour la plupart, les mêmes qui se sont dégonflé pour la plupart. Je sais qu'il y a eu les justes et les résistants mais j'ai du mal à croire qu'ils aient participé à cette ...
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Le premier oui, le second non. C'est du réchauffé qui a perdu toute la saveur de l'inattendu. Mais pour Jeff Goldblum je suis prêt à tout, alors j'ai goûté le réchauffé.
Deux privés deglingos pour une enquête sur un meurtre. L'histoire ne paye pas de mine mais la manière fait le film. Peut-être à voir pour ces deux vedettes masculines Ryan Gosling classique dans ses métamorphoses et un Russel Crowe décalé.
Attendre une heure de mise en place pour que le spectacle commence c'est un peu long. Mais ensuite ça décolle. On retrouve la vieille équipe plus vieille et nouvelle toute neuve. Beaucoup d'humour et un monstre monstrueux. En résumé on a ce que l'on attend sans surprise.
Des déjantés écossais complètement shootés non au whisky mais à l'héroïne. C'est stressant au début mais l'humour britannique permet au fur et à mesure de faire passer la pilule. Et ça devient un super film très proche d'un film culte. Vive l'Ecosse.
Je ne voulais pas. Le sujet du parlant, éculé! Noir et blanc, bof. Muet, pouah! Et pourtant j'y suis allé. Bien m'en a fait. C'est un beau film! Je n'aime pas Dujardin quand il fait son cirque ; je l'aime quand il en fait peu. Là pour jouer du muet il est obligé d'en faire beaucoup. Je ne goûte guère. Par contre Melle Bejo une révélation pour moi. Bravo aux Césars de l'avoir récompensée.
J'avais adoré à l'époque, déjà 36 ans, et rien n'a changé : j'adore toujours. Mes souvenirs étaient flous et se révèlent complètement faux. Je retenais la Binoche et j'avais oublié Léna Olin exceptionnelle et Daniel Day- Lewis sublimissime. Et puis j'avais oublié aussi le printemps de Prague mort sans combat. 2h51 de bonheur.
Je ne m'y attendais pas mais ça m'a plu. Pourtant je n'aime pas ce genre de film mais c'est bien fait et les acteurs surprenants. Surtout c'est le casting qui surprend.
Je n'ai vraiment jamais goûter Truffaut mais j'avais un vague bon souvenir de cette mariée. J'aurais mieux fait de rester sur ce souvenir. Que c'est vieillot ! On me dira : il faut se replacer dans le contexte de l'époque, la révolution de la nouvelle vague. Bernique! Plein d'invraisemblances, acteurs mal dirigés, décor pourris et sales. Je ne sauverai que Charles Denner. Et l'histoire nulle!
Oui un grand Cocorico. C'est français, c'est drôle, c'est bien joué et il n'y a aucun message. Objet rare en ce temps.
Carmet carmetissime, Depardieu au sommet de son art même s'il fait du Depardieu mais surtout un Piccolli qui loin du piccolo est un grand. Le scénario nous dénonce le microcosme de la politico-financo délinquance en col blanc, des pourris qui se goinfrent des petites gens. Un chef-d'œuvre au niveau de la franchouille. J'adore.
Un de mes films cultes. La vérité si je mens ça n'a pas vieilli. Si un peu mais c'est pas grave. J'ai adoré comme pour la première. Et tous ces acteurs qui débutaient. Et le beau frère qui s'éclate. Du grand art. La vérité si je mens je vais en enfer.
Seuls deux films m'ont obligé à revenir le lendemain à la salle pour les revoir : les aventuriers de l'arche perdue et celui- là. C'est mon de Funès préféré. Il a tout pour me plaire et pour ce n- ieme visionnage il a tenu ses promesses. Pensées à Jean Falloux mort pendant le tournage et à sa délicieuse épouse Anne-Marie Pesson devenue veuve epleuree.
Retrouver l'agent Smith de Matrix ça fait toujours plaisir mais à part ça ? Nul, manque de finesse, grosses ficelles et héros de pacotille voire freluquet. La coupe est pleine. Pour sauver l'affaire j'ai bien aimé l'idée des villes qui se déplacent.
Ça part d'une belle phrase que je pourrais faire mienne : "Quand j'étais petit le futur était différent". Et le propos est politiquement incorrect : ras le bol du bashing à tout va, de l'avenir des jeunes apocalyptique annoncé, le nôtre n'ayant pas beaucoup d'avenir. J'ai compris un peu mieux l'esprit sombre des jeunes ; nous on nous promettait un avenir radieux, ça aide. On a besoin de rêveurs, de rêveurs optimistes et arrêter ces ...
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Une histoire de cinéma banale mais la patte de Woody Allen change tout. Cette mayonnaise réussie doit beaucoup à ses acteurs, et à un Paris de rêve. Poupaud en tête à claques perverse est délicieux.
On veut comparer eXistenZ à Matrix. Quelle ineptie! L'un est bon l'autre est mauvais. L'un ne se demode pas, l'autre a bien vieilli. Et puis franchement Cronenberg à part la mouche c'est pas la tasse de thé.
Rien ne va dans ce film et surtout le scénario. Il manque beaucoup d'Alexandre dans cette affaire. Même les acteurs que j'aime habituellement sont mauvais. A la fin on nous suggère une troisième partie. Arrêtons le massacre!
De bien belles images comme Ridley sait en faire mais un Napoléon de pacotille qui oublie toutes les réformes pour la France toujours en vigueur ici et en Belgique. Mais il fallait faire un choix en 2h38. A mieux fait monsieur Scott, et a mieux à faire .
Superbe version longue. Super Maximus, super Commode. Et Ridley n'en parlons pas, il est grandiose. Tout est grand dans ce Gladiator. J'attends le 2 qui est en plein tournage à Ouarzazate
Mais quel ennui, 1h31 exactement et ça parait long! Pourtant j'aime les films du genre et le cinéma coréen. C'est glauque au delà du raisonnable et inutilement. C'est mon deuxième "the stangers" dans des genres très différents mais pour un même résultat.
Großßßes ficelles pour nous faire peur mais ça ne suffit pas. Personnellement j'ai plus fermé les yeux à cause du sommeil ambiant que d'angoisse, j'ai plus frémi de rage de m'être trompé the Strangers( il y en a un autre qui sera mon prochain) que de terreur. Les comédiens n'y sont pour rien il faut plutôt regarder du côté du réalisateur pour trouver un coupable.
Une belle machination. On n'y croit pas du tout surtout avec cette fin en queue de poisson 🐟🐟🐟🐟, mais cela reste un film plaisant avec un superbe Denzel Washington.
Toujours avec Cronenberg il faut s'accrocher, pour voir, pour comprendre, pour digérer. C'est le cas ici. Mais hormis cette indigestion il y a de superbes performances d'actrices, Léa et Kristen notamment. Expérience à ne pas renouveler trop souvent pour un bien être mental.
Le meilleur Bond selon moi. La raison d'état a ses raisons que la raison ne connait pas. Barden veut se venger car il en fut la victime. Il veut tuer Mère grand. Ah Javier, le meilleur méchant de toute la saga. Et un Daniel exceptionnel entouré de deux James Bond Girls parfaites. Si l'on rajoute le thème musical made in Adèle et l'Ecosse en hommage à Sean on atteint le sublime.
Un comédie française comme beaucoup d'autres, mais plutôt plaisante. De très bons acteurs sauf un. C'est pas Kev. Je ne dirai pas qui c'est car je l'aime bien.
Un road movie sexuel qui m'avait mis une sacré claque à l'époque. La claque n'est plus là mais le souvenir de la claque est toujours là. Les mœurs ont changé. Des seconds rôles féminins de grand luxe. Et surprise, la présence de Jugnot et de Lhermitte dans des petits rôles de moins de 30s
Une Sandra Bullock qui porte le poids du film, premier rôle et production, énorme poids et cela malgré la gravité. Des contrastes étonnants et très bien mis en valeur par le réalisateur : lenteur et violence des chocs, beauté des images et horreur des cadavres qui volent gracieusement au dessus de la planète bleue.
Une aventure messianique qui en rappelle une autre du temps de notre catéchisme. Mais l'aventure est plus flamboyante et les méchants plus diaboliques. Vivement le troisième volet!
Quand on aime le cinéma et les maths on est comblé. Deux acteurs superbes et une révélation Ella Rumpf capable de jouer la première de la classe et une escort dans Tokyo vice ; je ne l'avais même pas reconnue. Un Julien Frison parfait. Je ne comprends pas pourquoi un certain film a tant de récompenses et d'autres si peu. Mais il y tant de façons d'aimer le cinéma.
42 ans après j'avais oublié le principal : la fin. L'ouverture vers une vie pour une remplaçante avec le Blade runner. Je suis un peu à l'envers car cela m'a permis de comprendre la suite.
Il m'a fallu une deuxième pour l'apprécier enfin. Oui il est bon, à la hauteur du premier même s'il n'en a pas la magie. Quelques longueurs mais qui permettent peut-être de mieux intérioriser notre futur monde que j'espère ne pas connaître.
J'ai cherché pendant tout le film qui était le serpent l'ennemi de l'oiseau chanteur et j'ai compris à la fin. A condition qu'il y ait une suite. Un bon film!
Ce film a vingt ans et pas une ride. Il était d'avant-garde et n'a pas plu au public. Je comprends. Il faut avoir vécu l'or des indiens pour comprendre. Les scènes sous breuvage sont exceptionnelles et si près du vécu. Un grand moment de cinéma pour moi.