Films
SériesEmissions
Vu en avant première, décevant ; les deux pré tiers sont longs et intéressants seul le dernier sauve (et encore) du désastre.
N’en déplaise à notre hôte, Merlusse est sorti le 6 décembre 1935.
Qui pense encore que c’était mieux avant, avec ce Pagnolesque film j’apprécie ma situation passée d’interne des années 80.
Qui pense encore que c’était mieux avant, avec ce Pagnolesque film j’apprécie ma situation passée d’interne des années 80.
L'espoir est le pire des maux, car il prolonge les tourments de l'homme.
Marko perdu entre des adultes défaillants : (invisible aux yeux de sa famille), abandonné par ses enseignants à la tyrannie et l’impunité d’un groupe de camarades, trouve refuge dans un cimetière de trains où il peut trouver un havre de paix et refaire le monde cherchant le moyen de quitter cet enfer, mais faute de solution , il boit jusqu’à la lie son calvaire.
Marko perdu entre des adultes défaillants : (invisible aux yeux de sa famille), abandonné par ses enseignants à la tyrannie et l’impunité d’un groupe de camarades, trouve refuge dans un cimetière de trains où il peut trouver un havre de paix et refaire le monde cherchant le moyen de quitter cet enfer, mais faute de solution , il boit jusqu’à la lie son calvaire.
Pour un film contemporain de la crise de Cuba, il est très peu America America ; les enfants comme les adultes doutent de leur gouvernement à les protéger d’un danger nucléaire.
Bon un film d’une heure vingt pour un risque potentiel nucléaire c’est un peu long car le temps entre la sortie du missile de son silo et l’impact est entre 15 et 30 minutes et sa détection entre 5 et 15 minutes en conséquence il reste que quelques ...
Lire plus
Lire plus
En préambule, je regrette l absence de ce film en DVD zone 2 et en VOSTF. Je me contente donc d un dvd zone 1 avec sous titre anglais.
Ce film est un éblouissant témoignage sur la déportation des juifs Hongrois (pour mémoire, Paris se libérait de l occupation Nazi cette même fin d été 1944).
Autre regret, la seule partie transcendante du récit de Kertész (L entrée dans le camp après La Sélection) fut supprimée lors du passage au ...
Lire plus
Lire plus
Une version 2.0 de poil de carotte, un ado trop tard-venu, délaissé par sa famille, laisse aller son vague à l'âme.
Mais en un siècle, l'idiosyncrasie des ados a évoluée et John réplique en millenium là où François fut d'une abnégation sui generis au romantisme de son époque.
A voir car le film mérite d'être vu.
Mais en un siècle, l'idiosyncrasie des ados a évoluée et John réplique en millenium là où François fut d'une abnégation sui generis au romantisme de son époque.
A voir car le film mérite d'être vu.
Gentille histoire de famille, le fond est intéressant, c'est la forme qui pêche énormément : un montage et un rythme avec trop imperfections ; pour un premier film ce serait acceptable mais pour une réalisatrice aussi expérimentée cela flirte avec inacceptable.
Ne démarre jamais noyé sous le bien pensants et les bons sentiments.
Le film s'arrête avant la réponse à la seule question : Antoine va-t-il réussir quelque chose dans sa vie ou va-t-il continuer à ne pas finir ce qu'il commence ?
Le film s'arrête avant la réponse à la seule question : Antoine va-t-il réussir quelque chose dans sa vie ou va-t-il continuer à ne pas finir ce qu'il commence ?
Ce film est classé dans la catégorie horreur - épouvante mais soporifique est sa véritable place., une torture à regarder jusqu'à sa fin.
Une adorable comédie sur les avantages des Neo ruraux (cadre de vie idéal pour l’épanouissement d’une famille , sophistication des relations entres voisins de village), versus les désavantages des citadins (une petite pensée pour les galériens des banlieues ne fut pas oubliée).
À prendre comme un jeu, ne surtout pas chercher une logique ou du réalisme. Deux agréables heures passées entre ami(e)s.
Thématique délicate mais traitée avec une talentueuse délicatesse. Ou comment vivre ses ou ces sentiments - (comprendront ceux qui verront le film) inclinations lorsqu'on grandit dans un environnement lacunaire.
Trop d'égalité sexuelle tue l'égalité sexuelle.
Jusque là, "La père est toujours incertain.""
Maintenant, la mère aussi.
Non trop c'est trop.
Décevant.
Jusque là, "La père est toujours incertain.""
Maintenant, la mère aussi.
Non trop c'est trop.
Décevant.
Seule la musique est juste.
Un patient incurable passant consciencieusement chacun des cinq stades du processus de deuil avant de (tré)passer.
Un personnel soignant perpétuellement en réunion donc jamais auprès de patients, si, bloqué sur le pas de la porte de la chambre, s'excusant pour le dérangement et proposant de repasser ultérieurement, soit partageant le même espace à contempler les interventions des bénévoles.
Encore un film ...
Lire plus
Lire plus
Terrible époque que celle de ce film. Un(e) petit(e) chaperon rouge aux dents acérées comme celles d'un(e) loup(ve) prédateur(tricé) maquignon(ne).
Pour mémoire, avant de rencontrer son grand méchant loup, le petit chaperon rouge rentrait chez elle contenté par le viol qu'elle perpétra sur son partenaire d'une nuit (il lui dit : "Non, pas comme ça", "arrête" ) Pour les septiques, je vous renvoie au clin d'œil qu'elle fait à la ...
Lire plus
Lire plus
Un chamallow sirop d érable bien collant et tellement sucré que j ;ai encore la nausée deux heures après.
C est une suite de poncifs plaignîtes desservant l'histoire.
Du sorte qu'il trouve sa place sur une plateforme de streaming et est malencontreux sur grand écran.
C est une suite de poncifs plaignîtes desservant l'histoire.
Du sorte qu'il trouve sa place sur une plateforme de streaming et est malencontreux sur grand écran.
Je sais ce que je vais (a)voir en allant voir un F&F ; un EEG en mort cérébrale.
Donc aucune surprise, j'ai eu ce que j'allais chercher.
Le Véritable intérêt fut dans la salle (4DX et 3D)
Donc aucune surprise, j'ai eu ce que j'allais chercher.
Le Véritable intérêt fut dans la salle (4DX et 3D)
Une synopsis déjà vu mais pourquoi pas !
Rien de marquant ne ressortant de ce long (très long) métrage.
Seule Rose DE KERVENOAËL est crédible dans son/ses role(s).
Attendez quelques mois pour la SVOD si vous ne poussedez pas de carte d'abonnement.
Rien de marquant ne ressortant de ce long (très long) métrage.
Seule Rose DE KERVENOAËL est crédible dans son/ses role(s).
Attendez quelques mois pour la SVOD si vous ne poussedez pas de carte d'abonnement.
Tout mignon, un adorable film de braquage de banque pendant ses heures de fermeture sucré à souhait. Rien de dépassé même pas une brindille d'imagination.
Pour la défense du film, le scénario date de la fin des années cinquante ; juste avant le boom du power of love. Le film lui du début des années dix ; dommage que le scénario ne fut pas actualisé pour tenir compte des cinq décennies séparant l'écrire du tournage.
Un bon sujet, mais aucune logique dans le scénario résultat, c'est totalement incompréhensible. De plus comment est-il possible que ces enfants jouent si mal ?
Je n'aima que le second tiers du film, je ne comprends pas le premier et me suis ennuyé la troisième partie du film.
Intéressant mais sans intérêt. Est-ce une critique du consumérisme ? Nous ne voulons pas savoir comment est fabriqué et transporté tant que l’on peut consommer ? Ou bien je suis passé à côté du message.
La vie est une suite de choix. Parfois nous ferons les bons d’autres fois non. Je ne peux pas en dire plus sans « divulgacher ».
Une tranche de vie de jeunes suédois un hivers froids. Le film déroule presque en temps réelspoiler: le vol d'un iPhone par un groupe de jeunes usant de patience afin de ne pas utiliser de violence d'où
une après-midi de labeur.
spoiler: Seul un film suédois peut montrer face caméra une personne déféquer.
Lire plus
Lire plus
L été charnière de deux amis à l aube de l adolescence. Tous deux ébranlés par leurs sentiments et leurs natures incompatibles avec la vie (rurale) Islandaise. Le premier : Christian découvre son homosexualité et ses sentiments pour son ami. Le second Thor pour sa part trop romantique ne peut pas objectiver son amour naissant pour Beta véritable bulldozer islandaise.
Le club des divergents ou comme débuter la sensibilisation des jeunes au totalitarisme.
Le film est simpliste voir benêt mais il est destiné aux petites têtes blondes avide de SVOD, alors il fait parfait le job.
Le film est simpliste voir benêt mais il est destiné aux petites têtes blondes avide de SVOD, alors il fait parfait le job.
Étrange film sans action ; une tranche de vie à la plage comme chaque été - pour distraire les actifs sans vacance en été ?
Mais comment comprendre l'attitude des parents et du grand frère à l'éclairage de la première scène (celle de Madrid) ?
Mais comment comprendre l'attitude des parents et du grand frère à l'éclairage de la première scène (celle de Madrid) ?
Bon film japonais (un climat unique à ce type de cinémas). L'intrigue simpliste devient plus complexe lorsque que l'on s'attarde un peu sur l'étrangeté du personnage de l'infirmière.
Le film aborde le roman de Bazin à travers la condition (en fait la non condition) de la femme dans la société des années 20 ou 70 ? (était-elle si différente ?) alors que la version de 2004 aborde plutôt l’héritage de l’éducation et les névroses qui y sont liées.
Au secours sortez moi de cet enfer. Fuyiez avant que votre cervelle ne vous coule des narines.
L'intégralité des bagues et des scènes intéressantes sont dans la bande annonce. Donc si vous avez vu la BA, alors vous avez vu un bon film, restez en là.
L'intégralité des bagues et des scènes intéressantes sont dans la bande annonce. Donc si vous avez vu la BA, alors vous avez vu un bon film, restez en là.
Bof, un bon film pour un dimanche soir sur TF1 (du temps de cerveau disponible pour la pub). Que des longueurs et une absence de scénario. Seuls les jeux des acteur(triche)s sauvent du naufrage.
Un bon mixte entre films de bagarre dans le style du "Raid" ou "la fureur du dragon" et de courses poursuites style "mad Max". Gros plus : laps de fond vert ce qui le démarque et fait le charme du film.
Je n’arriverai jamais à entrer dans l’univers de Dupontel ; il métamorphose très bien un drame en comédie mais non je ne rentre pas dans son univers résultat je me suis ennuyé pendant toute la séance.
Aborde une tragédie sans y toucher, la scénariste ose déboulonner la statue de "Monsieur" Staline mais s'arrête là n'osant pas destituer la dite statue de son pied d'escale.
"La valeur n'attend pas là le nombre des années."
Je compatis scène après scène au supplice de jeune Campion face au désastreux jeu de Baldwin.
Je compatis scène après scène au supplice de jeune Campion face au désastreux jeu de Baldwin.