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Encore un peu de catho-p*rn... mais là, c'est le talentueux Paco Plaza qui le met en scène. Le film tient grâce à un scénario qui tient la route et quelques scènes de flippe bien senties. Ce n'est pas LE chef d'œuvre (en dessous de La Abuela), mais c'est très honnête.
Que ça fait du bien de voir enfin un film de science-fiction hollywoodien qui est une histoire originale (ne tirant pas son récit d'un livre etc) et qui n'est pas une enième suite d'une saga.
Gareth Edwards a un don pour le gigantisme et il le prouve encore avec The Creator. Avec un maigre budget (80 millions de dollars), le réalisateur met une claque aux Marveleries à plus de 200 millions. Comme quoi, quand c'est dans de bonnes mains, ...
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Le cinéma de genre français a besoin de films comme ça (et de budgets comme ça). Thomas Cailley a pu avec Le règne animal faire ce qu'il voulait. Visuellement, les créatures sont sombtueuses, l'ambiance et l'univers sont typiquement français. Le film a cette patte française, bien moins bourinne qu'aurait pu l'être une version américaine.
Le principal problème pour moi réside dans le jeu Paul Kirchner et Romain Duris. L'un lui ...
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Rien de nouveau offert par ce nouveau film d'exorcisme. David Gordon Green est un faiseur, filmant de façon hyper banale l'horreur. Le film se tient quand même et réussi un minimum à nous garder en haleine. Mais bon, pour les moments de flippe, on repassera.
Après l'encensé 120 battements par minute, Robin Campillo revient avec le très discret L'île rouge.
Malheureusement, c'est raté à quelques endroits pour le réalisateur. Le cinéaste propose quelques belles images (point fort : les passages Fantomete) et une super musique permettant de parfaitement rentrer dans le récit.
Mais le problème réside dans ce récit. On ne sait pas ce qu'il souhaite nous raconter. On navigue sans vraiment ...
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Toujours plus... L'exorciste du Vatican est risible. Dès les premières minutes on sait que l'on a affaire à un nanard. Tout va trop vite, le démon est présent tout de suite, il n'y a aucun travail d'ambiance, rien... Après comme tout s'enchaîne vite, au moins c'est un minimum divertissant
Quelle déception ! Acide fait fort dans sa première scène de pluie, vibrante et tendue. Puis, quasiment plus rien. Les scènes d'actions sont bien gérées car Philippot a du talent, c'est sûr. Mais, le gros point noir du film tient dans son scénario. On passe d'une scène d'action assez palpitante au calme plat avec des scènes mal écrites.
Le personnage de la fille est insupportable. Certains choix de personnages sont assez peu compréhensibles.
Le personnage de la fille est insupportable. Certains choix de personnages sont assez peu compréhensibles.
Nathan Ambrosini, voilà un réalisateur de grand talent. Brillant récit d'une mère qui essaye comme elle le peut de changer de vie et de gérer à elle seule celle de ses 5 enfants. Camille Cottin est géniale et délivre une performance qui mériterait d'être nommé au César.
L'écriture y est aussi parfaitement maîtrisée. Pour une fois les jeunes parlent comme des jeunes.
L'écriture y est aussi parfaitement maîtrisée. Pour une fois les jeunes parlent comme des jeunes.
Super concept mené avec brio par un Raphaël Quenard au sommet de son art. Un film fait en rapide, avec 3 franc 6 sous, très court et terriblement divertissant. Le film n'est néanmoins pas que ça, et nous pousse à réfléchir sur certains points.
Quelques parties sont, dommage, un peu en dessous et tire légèrement.
Quelques parties sont, dommage, un peu en dessous et tire légèrement.
Pas du tout embarqué par les deux premiers tiers du film, le dernier tier sauve le film. Je n'ai jamais vraiment été embarqué par l'histoire, qui est est trop rushé, laissant que très peu de place à l'émotion et aux émotions des personnages. Ça va a 100 à l'heure, cela dû au montage qui a dû être raccourci à bien des endroits. Pour moi le film commence au moment où la bombe explose.
Exceptionnel est le mot pour décrire le nouveau film de Justine Triet. Ce genre d'œuvre parfaite où rien n'est à enlever. L'écriture est formidable, la réalisation soignée, mais ce qui bluffe plus que tout, c'est le jeu d'acteur. Même les acteurs secondaires sont parfaits pour les rôles. Justine Triet a peut-être déjà tué sa carrière tant il est difficile de faire mieux après ce film.
Un divertissement plutôt honnête. Souvent illogique, mais plaisant dans sa grosse première moitié. La deuxième partie, sur la côte est un peu redondante.
Une comédie audacieuse mais qui se casse la gueule. Quelques très bonnes idées sont perdues dans un film qui ne sait pas vraiment où se placer. Calamy est par contre toujours géniale.
Ce 6e opus est bien meilleur que le 5e. Bien mieux rythmé, les réalisateurs apportent quelques nouvelles idées intéressantes (sont LES scènes d'intro). Le 5e était bien trop redondants dans sa réalisation. Le 6 ne réinvente pas Scream, mais le fait qu'il se déroule à New York aide à proposer d'autres choses.
Le projet Barbie était casse-gueule en bien des points, mais il a été donné à la bonne personne.
Greta Gerwig prouve une nouvelle fois son talent. Elle réussit le pari de nous faire plonger totalement dans l’absurde de son métrage.
Margot Robbie est faite pour le rôle.
Après The Nice Guys, Ryan Gosling prouve une nouvelle qu’il est un grand acteur comique.
Visuellement, c’est jusqu’au-boutiste et ça marche. Little Women ...
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Une nouvelle fois, Serebrennikov est virtuose avec sa caméra. Les lumières sur les visages embellissent une image déjà fascinante. Le point faible de son histoire réside dans son personnage principal qu'on a un peu de mal à comprendre et à aimer.
Voilà un film qui nous met dans tous nos états. Horreur, folie, rire, on passe par tout. Chazelle prouve à nouveau qu'il est un virtuose, bien aidé par un excellent Justin Hurvitz. Les acteurs sont impeccables. Une vraie leçon de cinéma, qui divisera c'est sur !
Assez déçu par Enquête sur un scandale d'état que j'attendais avec impatience. Je ne suis tout simplement rentré que très peu dans ce film que je trouve mal aimable. Cela dans le sens où la mise en scène n'aide vraiment pas à l'implication du spectateur. Fort de son casting, le film échappe au film plutôt classique dans sa forme mais malheureusement est compliqué à la compréhension alors qu'en 5 minutes on aurait pu comprendre les enjeux.
Disney tente des choses dans ce long-métrage parfois inventif, souvent marrant et efficace. Un film qui, je pense, peut marquer avec le temps. Le métrage est tout de même plombé un peu par le cynisme de Disney.
En Corps est sûrement visuellement le plus beau Klapisch. On y retrouve des acteurs de talents ainsi que tout ce qui fait le cinéma du réalisateur. On s'attache à tout les personnages et on suit volontiers cette reconstruction de la danseuse. Klapisch donne encore une fois envie de sourire, vivre à fond et de rencontre du monde !
Comme d’habitude, Robert Eggers s’attaque aux mythes. Cette fois-ci, les mythes nordiques. Bien moins horrifique et plus grand public le film n’en reste pas moins intéressant visuellement. Porté par un Alexander Skarsgard charismatique et musclé comme jamais ainsi qu’une trame entre actions et poésie, The Northman est une réussite ! Eggers nous offre une vraie plongée dans ce monde masculin et très violent. À voir absolument au cinéma.
Ça faisait longtemps qu'on avait pas senti qu'il y a un vrai réalisateur à la barre d'un film Marvel. Sam Raimi insuffle un peu de vie et d'idées dans ce film divertissant et rythmé. Malheureusement, il y a toujours ces facettes du MCU qui plombent un peu le récit (dialogues plats et effets spéciaux pas forcément très travaillés).
Après 8 ans sans film du réalisateur, Cronenberg fait son retour. Un retour mi-figue mi-raisin tant de bonnes idées sont présentes dans le film et que l'œuvre a son propre univers (et un univers très spécial). Malheureusement, le film souhaite perdre le spectateur et le perd un peu trop, faisant que je n'ai pas pu être totalement emmené par la proposition.
Un premier film très encourageant et réussi pour Vincent Le Port. Bruno Reidal, ne ressemble à rien d'autre, est jusqu'au-boutiste et derengeant comme il faut. Le rythme assez plat et calme du tout pèse un peu sur le film qui reste néanmoins intéressant. L'acteur principal campe parfaitement le jeune tueur.
À voir parce que le film est un ovni et une vraie proposition de cinéma.
À voir parce que le film est un ovni et une vraie proposition de cinéma.
Mystérieux, ambiance parfaitement maîtrisé et climax réussi, Paco Plaza nous offre, avec La Abuela, sûrement l'un des meilleurs film d'horreur qu'on verra cette année. Il faut ajouter à ça l'actif parfait de l'actrice principal et la terrifiante grand-mère.
Avec Alerte Rouge, on est face à l'éclosion d'une future grande réalisatrice de l'animation. Tout est maitrisé dans la mise en scène, la texture des visuels, le rythme. Le long-métrage aborde la pression de la famille de manière efficace, mais très convenue. Cela fait du film un Pixar mineur mais plein d'espoir pour le futur.
Avant d’être un film de super-héros, Batman c’est une enquête pour (re)découvrir ce qu’il y a de plus poisseux et gangrené à Gotham.
Le tout étant servi par un Matt Reeves qui a littéralement une idée par plan et une parfaite photographie retranscrivant l’ambiance de la ville.
Le tout étant servi par un Matt Reeves qui a littéralement une idée par plan et une parfaite photographie retranscrivant l’ambiance de la ville.
Film qui résume parfaitement le monde du blockbuster actuellement à Hollywood : pas mauvais mais qui sera oublié dans 1 semaine. Très peu à dire sur un film qui est porté par la sympathie de Tom Holland mais plombé par un réalisateur, Ruben Fleischer, qui n'a aucune idée de mise en scène.
Je continu de chercher ce qu’il y a de bon dans Maigret… 🔍
Toujours gris, jamais beau.
Toujours ennuyeux, jamais passionnant.
Le film de Patrice Leconte n’est même pas sauvé par Gérard Depardieu qui est quant à lui… présent. Juste présent.
Toujours gris, jamais beau.
Toujours ennuyeux, jamais passionnant.
Le film de Patrice Leconte n’est même pas sauvé par Gérard Depardieu qui est quant à lui… présent. Juste présent.
Ce n’est pas hilarant mais on passe un bon moment devant Les Vedettes.
Le duo du Palmashow connaît parfaitement le monde de la télé et ça se sent !
Un respect du duo de personnage, on ne rigole pas d’eux, on les aime.
Le duo du Palmashow connaît parfaitement le monde de la télé et ça se sent !
Un respect du duo de personnage, on ne rigole pas d’eux, on les aime.
Un matériau de base très intéressant qui permet à n'importe qui de rentrer dans l'histoire. Le tout est copieusement fourni de videos et de conversation rythmant efficacement le tout.
Licorice Pizza c'est rythmé, généreux et plastiquement parfait. Les acteurs sont superbement dirigés et Alana Haim resplendit. Les deux acteurs principaux ne sont pas spécialement beaux et c'est là l'un des forces du film. Chacun peut se retrouver dans les 2 personnages qui sont physiquement banals. Le seul petit défaut du film c'est que parfois on sent que Paul Thomas Anderson fait le film pour lui (quit à en laisser certains sur le côté)
UN MONDE va droit au but. Le premier film de Laura Wandel nous enferme efficacement pendant 1h10 dans cette primaire aux airs de prison. La réalisatrice fait le choix efficace d’avoir une caméra toujours à taille d’enfant, rendant le tout très immersif.
Fabuleux film sur les laissés-pour-compte de l’Amérique, Red Rocket brille par son casting. L’acteur Simon Rex campe énergiquement un loser antipathique au possible dans un film à la plastique sundancienne.
C’est cru, parfois drôle et souvent dérangeant. Un film à voir, et vite.
C’est cru, parfois drôle et souvent dérangeant. Un film à voir, et vite.
Prometteur dans sa scène d’intro, Scream s’essouffle dès le 2ème meurtre. Répétitif dans ses idées de mise en scène, le film ose même se croire intelligent alors qu’il n’a pas compris grand chose aux 4 premiers volets.
Sydney, Gale et Dewey sont anecdotiques…
Sydney, Gale et Dewey sont anecdotiques…
Spencer est étouffant. Porté par une Kristen Stewart au sommet de son art, Pablo Larrain nous offre un film à la beauté plastique merveilleuse mais terriblement claustrophobe. On souffre avec elle et on n’attend qu’une chose : qu’elle envoie tout balader.
Une terrible fable.
Une terrible fable.