Renaud
Membre depuis le 23 novembre 2016
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Ce film illustre bien l'immensité qui sépare le monde occidental des pays pauvres, et la guerre asymétrique avec ses nombreux et divers dégâts apparait inéluctable si nous ne savons pas changer le système.
Ce film illustre si bien le mal qu'on peut faire, combien il peut marquer une vie, la guérison que l'on désir, qui n'est peut-être pas celle dont nous avons besoin...
Que c'est bon le rythme de ce film qui ne cède en rien à la vitesse de ce monde, illusion de performance, pour adopter la lenteur nécessaire aux relations. Ainsi accueillir l'autre là où il en est, ne pas réagir de manière impulsive, et subtilement donner une chance d'oser avancer dans la liberté.
Sincérité, justesse, pudeur des sentiments, carapaces à fissurer, bref ce film m'a redonné de l’Espérance dans l'humanité
J'espère que vous n'avez pas payé trop cher votre place!
Pour tenter de sauver cette œuvre, en cherchant on a trouvé 5 idées intéressantes et remarqué quelques scènes bien jouées. Globalement c'est tellement ennuyeux de devoir observer 1h20 le monde du cinéma contempler son nombril.
Pour tenter de sauver cette œuvre, en cherchant on a trouvé 5 idées intéressantes et remarqué quelques scènes bien jouées. Globalement c'est tellement ennuyeux de devoir observer 1h20 le monde du cinéma contempler son nombril.
Très beau chemin de vie qui donne de l'espérance.
spoiler:
Elle guérit progressivement en dépassant les impacts profonds de l'enfance qui marquent son rapport aux hommes.
Film thérapeutique recommandé à tout être urbain qui souffre de manque de simplicité chronique, merci pour la dose.
L'humanité crue, sans paillette, nos parcours de vie en simple vérité. Ce film met à l’honneur le don de soi et nos quêtes maladroites de la foi.
Il est bon que nous voyons cette histoire, filmé avec pudeur et sensibilité, que je sache que la souffrance des pauvres prend aussi cette forme destructrice de vies, pour le plaisir de certains riches ou puissants.
Tout en vérité, sans masque et sans fard, experts en humanité, ceux qu'on l'on peut croire statique sont toujours en mouvement. Je recommande.
La mémoire des crimes de la phalange espagnole sert ici seulement à renforcer le contraste culturel avec le féministe moderne extrême. Les grand-pères disparus sont idéalisés alors que les hommes de maintenant sont absents ou relégués à des rôles de grincheux, violeur ou gêneur utile quand on en a besoin. C'est dans l'air du temps, mais la réaction aux drame du passé nécessite t il de tomber dans les extrêmes inverses.
Au delà des émotions suscitées par le sujet et par la qualité des acteurs, ce film est en filigrane un appel à la vigilance: nos sociétés occidentales,dites démocratiques, sont aussi sujet à des lois scélérates. Renseignez-vous dans le détail, votez, engagez vous en politique... ne faites pas confiance aveuglément à ceux qui suscitent, rédigent et votes des lois.
Séance thérapeutique qui dès 18 ans permet de réfléchir à la vie, la mort, le rapport au corps, tout cela avec légèreté et humour, Bravo
Finesse et suspence sont présents tout au long du film dont les paysages et plans donnent à se réjouir de la nature. Bravo aux acteurs.
Sujet souvent grave, très bien traité, avec humour, délicatesse, justesse, bref une fine analyse psychologique : MERCI
Merci pour cette comédie qui porte un regard si affuté et juste sur chaque personnage si bien croqués
Lenteurs et répliques "so British !", fine valse des personnages au fort caractère, au carrefour des milieux sociaux qui se croisent, lutte psychologique où chacun défend sa vie.
Ego portrait du milieu de la télévision, qui se délecte d'être indiscret dans la vie des gens qui n'ont rien demandé, qui s'auto-congratule d'être "des gens bien". La beauté du pays que je connais m'a permis de tenir jusqu'au bout.
J'ai bien ris, l'humour est cru et satirique du cinéma habituel. Certaines scènes sont drôles pour un adulte, je ne le montrerais pas à un enfant.
Cette histoire de la rencontre de deux casse-pieds, de ceux qui s'investissent à fond dans leur profession, écartant tout obstacle sur leur chemin, sans prise de recul.
Le choc qu'il vont devoir chacun gérer va leur ouvrir les yeux, et amorcer un virage de reconstruction salutaire !
Le choc qu'il vont devoir chacun gérer va leur ouvrir les yeux, et amorcer un virage de reconstruction salutaire !
Seul celui qui a vécu un drame est à même de savoir l'illustrer avec justesse et humour.
Bravo et Merci pour ce témoignage à la fois politique et humain.
Bravo et Merci pour ce témoignage à la fois politique et humain.
Disjoindre la personne de ses actes. Croire en l'homme malgré ses comportements asociaux. Bref merci pour ce film qui me rappelle combien le regard d'espérance sur l'autre peut élever. Stan Rougier a dit "Si quelqu'un te mord, c'est qu'il a peur, c'est qu'il a mal, console le vite de t'avoir mordu".
Enfin une belle histoire qui montre, que pour accompagner l'autre à dénouer ce qui l'entrave, est souvent légitime celui qui est aussi passé ...
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Patience, l'éloge vient après, mais avant je ne dois pas me taire :
- Le titre du film est triste, sans espérance dans la progression de tous ceux, qui comme moi, manquent parfois d’être à la hauteur de la situation.
- Le titre du film est racoleur, cédant à la mode d’être vulgaire, les jeunes n’attendent pas fondamentalement le jeunisme.
- Enfin la dernière scène est si dénigrante pour les hommes qui sont en charge du maintien ...
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Je craignais les simagrées des films américains, plein de stéréotypes. Perdu, seulement l'histoire du chemin d'une femme qui au fil de sa vie prends conscience de réalités.
Merci de donner ainsi visibilité à ce qui est caché. Quel avenir d'une société qui cache et ignore le handicape ? Qui ne tolère que ceux dont le handicape est masqué ?
Merci pour ce film qui perpétue la mémoire de l'Holodomor. Le spectateur est plongé dans l'époque et le parcours du journaliste Gareth Jones qui navigue à vue pour témoigner de l'effroyable véritée.
Sous l'apparente banalité du quotidien, la vie âpre de ceux dont le travail est fragile, la plaie du manque d'affection, ce qui peut sauver c'est l'écoute et la parole.
Ce film ose traiter du rapport à la foi aujourd'hui en occident déchristianisé. Je craignais des caricatures ridicules et du grandiloquent italien, et bien non. C'est abordé avec finesse, humour et respect de chacun.
Heureusement qu'il reste de tels films qui ne cèdent pas à la facilité d'un fin heureuse, du manichéisme...
Très belle illustration de l'amour que peuvent se porter deux soeurs que la vie incontrôlable sépare. Nous ne sommes qu'un épisode éphémère dans l'histoire du monde mais l'amour unit pour toujours.
Bravo, merci
Très belle illustration de l'amour que peuvent se porter deux soeurs que la vie incontrôlable sépare. Nous ne sommes qu'un épisode éphémère dans l'histoire du monde mais l'amour unit pour toujours.
Bravo, merci
La vrai vie: les caractères des uns et des autres, et les différentes options choisies, les coups durs, les joies simples. Plein de finesse, bravo, merci. Film tourné en 2019, l'année qui se termine par les grèves et les gilet jaunes, prophétique.
Un film courageux qui ose adresser un sujet éludé par la majorité des scientifiques, dont je suis, qui n'aiment pas ce qu'ils ne maitrisent pas.
Le sujet n'est pas si facile à traiter car la bien pensante idéologique qui nous rabâche que tout ce vaut, que la tolérance doit faire tout accepter, qu'on a une dette éternelle envers les opprimés du passé... aurait pu faire sombrer ce film dans les clichés manichéens.
Et bien le sujet est adressé avec tant d'humanité (pas niaise mais réelle) et de finesse que tous en sortent grandis.
La question de fond à laquelle chacun est ...
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Ce film est un amalgame de clichés pour constituer une image bien léchée que Hollywood veut donner des Etats Unis d'Amérique.
Ont ils besoin de s'auto-persuader ? et d'exporter cette vision idéalisée ?
Nous y trouvons bien des clichés surannés :
- les larges autoroutes embouteillées de LA pour le gigantisme.
- le générique de début façon West Side Story pour s'inscrire dans la continuité de la culture USA.
- les beaux quartiers des ...
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Superbe film qui témoigne de l'importance fondamentale de l'objection de conscience dans le contexte consensuel du nazisme. De plus, comparé aux filmes Sophie Scholl ou bien le Neuvième jour, Franz n'est pas un militant ou un religieux mais un simple quidam auquel quiconque peut plus facilement d'identifier.
Bon, c'est encore un film qui baigne dans la culture nord américaine, et j'en suis lassé. Mais le scénario est vraiment original et chacun, selon sa position vis à vis de la foi chrétienne, y trouvera matière à réfléchir sur le sens de la vie et la manière de l'accueillir.
Je n'en sors pas indemne. J'aime ces films qui soulèvent des questions fondamentales : l'étrangeté des croyances vue d'une autre culture, la faiblesse de l'homme et le pardon...