Jeune et Jolie passe un peu -franchement- à côté de beaucoup de choses dans le traitement de ses personnages et de leurs rapports. Au final, on dirait qu'on veut plus buzzer en parlant de boule, qu'autre chose.
Isabelle n'a pas besoin d'argent et pourtant, elle se prend dans les rouages de l'escorting et accumule les liasses dans le placard. Ce long métrage aborde avec une certaine justesse les engrenages, routines et risques de cette ...
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Malgré une tension qui se déplace pour garder en haleine, le truc reste tout de même vachement mou. C'est un peu à se demander pourquoi ce truc est culte. A noter que je suis totalement insensible au sang à l'écran, ça me fait ni chaud ni froid.
Le plot vise simple : éradiquer le requin pour sauver l'été d'Amity. Au départ, le film nous prend clairement de court. Même pas 5 minutes se sont écoulées qu'on se sent déjà étouffé ...
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After est un condensé de fantasmes d'une ado. La meuf qui a écrit ce truc a bourré son "œuvre" de tous les fantasmes qui l'émoustillaient. Alors, on se vautre juste dans du sentimental pendant 2 heures. Car tout, je dis bien tout, a déjà été vu et revu. Un jeune fille fan de littérature qui tombe amoureuse d'un brun ténébreux au passé trop dark, lui aussi fan de bouquins. Si invraisemblable…
La réalisation non plus, ne témoigne ...
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Ready Player one, c'est de l'Entertainment pur et dur. Faut donc se préparer à se bouffer pendant 2 heures des ados totalement oubliables, une nostalgie des années 70/80 insipide et du pan pan boum boum bien américain.
Le concept de base dystopiques est vachement intéressant; se lancer dans une toute nouvelle dimension vidéo-ludique en kiffant et pointant du doigt les dérives et abus liés. D'autant que les décors sont dantesques. Les ...
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Ce film pêche sur énormément de points dans ses premiers moments, mais étonnamment, au bout d'un certain temps, la sauce prend. Pour en revenir à ces débuts laborieux, les répliques sont nazes, les personnages secondaires ubuesques, les plans ne font aucun effort, Baye se trimballe en fringues froissées. Les scènes de colère sont toutes plus abracadabrantesques les unes que les autres, aucune n'est crédible; j'ai pas pu m'empêcher de ...
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Cet opus tente tant bien que mal de redonner un second souffle à ce concept mythique. Malheureusement, malgré les avancées technologiques, on gravite trop autour de déjà-vu.
Le cast féminin apporte une première dose de rafraichissement du récit. Bien que ce choix soit 100% politique : un crew composé d'une grosse, une femme de couleur, une autre aux allures LGBT et une lambda de 45 piges, c'est quand même vachement peu vraisemblable. ...
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Il ne faut pas attendre de grandes choses de ce petit film. On passe un bon moment, tout au plus, devant Lou et l'île aux sirènes. Rien dans les thèmes évoqués, aux graphismes, en passant par les personnages ne révolutionne quoi que ce soit.
Ce long-métrage s'inspire des vieux mythes liant les sirènes à la musique, on peut l'envisager comme une sorte de réécriture moderne. Et, rappelle aussi fortement *Ponyo sur la falaise* dans le ...
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Parler de Queen; le challenge est énorme, le pari est risqué. Ce film s'en sort, dans son ensemble, assez bien. C'est juste qu'il s'attaque à un trop gros morceau impossible à condenser en 2 heures chrono.
Rami Malek est top ! Très convaincant, tant dans les dialogues que sur la scène du légendaire Live Aid, on aurait pas rêvé meilleur hommage. Toutefois, le pauvre doit interpréter un personnage si extravagant, si unique…Première ...
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Luc Besson n'a pas réussi à faire quelque chose de convaincant avec son sujet. On dirait même que le truc a été un peu bricolé à la va-vite. Le squelette est là : on part d'un postulat plus ou moins scientifique pour basculer dans la science fiction. Mais, au final, Lucy ne fait pas grand chose de tous ces pouvoirs…
1h30, c'est très short pour ce sujet. Dès lors, l'accès aux 100% arrive très vite sans qu'on ait pu voir grand chose. ...
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Dans un recoin de ce monde conte l'histoire d'une debilos vivant la seconde guerre mondiale. Qui dit donc personnage principal bête comme ses pieds, dit scénario à s'endormir debout.
J'ai rarement vu un protagoniste aussi insupportable. Étant limitée intellectuellement, elle ne se contente que de se laisser guider par le scénario et les autres personnages qui lui ordonnent de faire ceci-cela. Impossible de s'attacher à un portrait aussi ...
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Un monstre à Paris a tout d'un dessin animé qui passe le matin sur France 3. C'est pas franchement beau, les persos n'ont rien d'extraordinaire et l'intrigue laisse à désirer.
Ce long-métrage émane d'un petit studio français qui semble avoir voulu viser trop haut. Paris est encore plus vide et morne que pendant le premier confinement, si c'est dire l'échec. Toutes les couleurs sont fade, rien ne ressort. Bref, la tristesse.
Les ...
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Je trouve, globalement, le concept bancale, incohérent. La femme est enceinte, va théoriquement accoucher à l'hôpital mais le bébé arrive à la maison en taxi ? Donc, par ricochet, les adultes ne se doutent-ils pas qu'il se passe des choses pas nettes avec les bébés ? Soit.
Le développement souffre aussi de quelques mauvais points. A commencer par la relation entre les deux frères dont l'évolution est totalement prévisible. Les ...
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Il n'y a pas grand chose qui tourne rond dans ce dessin animé. Sans relever du supplice, son visionnage suscite rapidement une certaine lassitude et de nombreuses interrogations.
Le personnage principal, dont je me souviens déjà plus du nom tellement il est oubliable, est insupportable au possible. Lourdingue, pas drôle, moche; une grosse tête à claque. Ce pauvre extraterrestre n'a absolument rien pour lui. La gamine, quant à elle, ...
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Voici encore un film de réalisateur qui ne se sent plus. Le truc veut t'en mettre plein la vue avec ses citations Facebook qui poppent en gras à l'écran, ses jeux de couleurs et sa caméra qui tourne dans tous les sens. En mode : regardez-moi vous submerger par mon talent et ma science; je fais des trucs d'esprits supérieurs, moi.
Climax fait primer la forme sur le fond pour prendre son spectateur par les sentiments les plus primaires. On ...
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Cette suite elle-même est un péché au vu du produit fini; elle ne mérite clairement pas d'exister. One ne retrouve absolument pas l'essence du premier volet. Pire, on tombe dans du film d'action pas terrible et cliché à vomir.
On prend les mêmes et on recommence : 3 intrigues et un mec qui tue pour sa belle. En moins bien, nécessairement. Parce que, naturellement, ça sent le déjà-vu. Cette suite n'arrive pas à renouveler les ...
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Dès l'introduction, on comprend à quel point cette chose s'annonce atrocement fade. Parce que pour coller au mieux à la réalité, on évince toute couleur trop vive, tout comportement trop exagéré. Pumba se transforme donc en grosse cou*lle mal rasée répugnante, la savane en pauvre étendue jaunâtre et la jungle en forêt lambda où se courent après 3 ou 4 arbres.
En gros, cette chose n'a pas d'âme. Les prouesses techniques ...
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Dès les premières secondes, j'ai su que ça n'allait pas être possible. Trop lent, trop long, trop obscur. C'est à se demander comment Scarlett Johansson s'est retrouvée dans ce truc expérimental.
Dans Under the Skin , tout est torture. Ces séquences interminables au volant de la camionnette. Ces dialogues atrocement lents. Ces scènes olé olé répétitives (à l'exeption de la dernière). Un de ces films qui mise tout sur ce côté ...
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Je me demande vraiment à qui s'adresse ce dessin-animé. D'un côté, l'aventure est totalement accessible aux enfants; logique d'un dessin animé. De l'autre, les références et comportements montrés sont parfois destinés à un public plus mature.
Royal Corgi expose sans pression aux enfants qui le regardent : deux chiens remuer frénétiquement dans leur panier, se renifler avec insistance et se frotter, ou encore un autre sniffer un ...
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Je me réjouis que cette suite ait été moins médiatisée que le premier opus de cette saga de la déviance. Ce malade mental de Christian est de retour pour jouer des mauvais tours. Très mauvais tours. Le mec se montre encore plus malsain que précédemment. Oui, c'est possible.
Cette suite introduit par ailleurs de nouveaux personnages pour ajouter un peu de piment à la chose. Parce que les "oui non, oui mais non, je t'aime, moi non plus" ...
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50 nuances de Grey , c'est l'illustration parfaite de la société décadente dans laquelle nous vivons. A quel moment on interdit aux seulement moins de 12 ans des scènes XXX sadomaso ? Sachant que j'ai vu la version calibrée pour passer à la télé, dont je suppose fortement que des scènes ont été tronquées. Bref, ce film est dangereux pour les plus jeunes qui le regarderaient.
Parce que, même s'il se vante comme soi disant didactique ...
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Prenez un chaudron; balancez-y Kiki la petite sorcière, Harry Potter et quelques autres récurrences du studio Ghibli. Faites mijoter le tout pendant 3 bonnes heures et vous obtiendrez ce met médiocre qu'est Mary et la fleur de la sorcière.
Cette production n'arrive clairement pas à s'extraire des thèmes déjà vus et revus de son studio père. Ponoc fait du Ghibli, sans aucune innovation. Je dirais même qu'on a bien perdu en qualité. ...
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Avant d'entamer cette critique, il me parait important de préciser que j'aime me faire du mal en regardant des reportages et documentaires autour de ces thématiques. La scène d'introduction de ce film m'a alors instantanément rappelé l'épisode de Strip Tease intitulé "Ma petite chérie". Car, sil elle ne s'en inspire pas directement, les ressemblances sont quand même troublantes. Dès lors, bien que Polisse s'inspire de faits bien réels, ...
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Les débuts de ce film se montrent particulièrement durs à suivre pour qui n'a pas lu ce pavé de Laclos en amont. Les personnages nous balancent allègrement plein de noms et de titres à la figure sans qu'on ne sache réellement à quelle tête les relier, car les femmes ont plus ou moins toutes la même tronche. On ne comprend pas trop non plus pourquoi tant de haine dès le départ. On semble atterrir en pleine querelle sans trop savoir ...
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Sous couvert d'hommage à ces moines morts sous le coup de la barbarie, ce film expose en réalité une vision affreusement manichéenne des évènements. C'est effrayant, voire malsain de voir un discours si orienté se faire primer, parce qu'il ne fait que cristalliser les opinions. Un hommage, oui. Un culte à la civilisation occidentale catholique réalisé en piétinant les autres, non.
Il n'est pas non plus question de faire l'apologie du ...
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J'ai cru mourir devant ce film nous vomissant à la figure, sans retenue aucune, des dialogues assommants de pseudo philosophie et prises de tête. Winter sleep nous plonge dans un cadre austère, en dépit des très beaux jeux de clair-obscur. Désolation et tristesse me semblent, dès lors, les maitres mots pour décrire cette abomination de 3 heures.
On ne peut reprocher à ce film de disposer de dialogues dévoilant peu à peu les ...
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Si c'est pour nous pondre ce genre d'œuvre féministe, je crois pas que ce soit nécessaire de rester entre utérus. Les femmes dépeintes ici sont toutes plus déprimantes les unes que les autres, à tirer la tronche en continu. Leurs dialogues n'arrangeant en rien la sensation d'agonie devant ce truc, puisque sonnent terriblement faux.
L'absence de bande-son amplifie cette ambiance de vide absolu dans lequel évoluent les personnages. Parce ...
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Jusqu'au moins une bonne heure et demi j'étais convaincue que Titanic, c'était nul. Puis, à partir du moment où il a commencé à couler, j'ai kiffé (tout en étant consciente des multiples choses qui ne vont pas dans ce film).
A commencer par la longueur. On aurait clairement pu se passer du prétexte de l'exploration sous marine des scientifiques. Ca ralentit trop le démarrage du film et ça le coupe dans son élan tout le long. Un bref ...
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Encore un film que l'on encense pour ses plans taillés pour décrocher de belles récompenses, pour son acteur principal génial, pour son décalage et tout le tralala. Mais, là dessous, se cachent tout de même vachement de défauts. Je m'attarderai sur les deux qui m'ont fait le plus grincer des dents. 1 : l'histoire du Joker ridicule à mourir. 2 : la bande son juste insupportable.
Ma connaissance de l'univers Batman se résume aux ...
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Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait part d'un bon sentiment. Exposer le décalage entre les paroles et les actes en faisant déblatérer ses personnages pendant 3 plombes. Ce qui, je n'en doute pas une seconde, peut aider de nombreuses personnes à mettre des mots sur leurs états d'âmes. L'ensemble oscille alors entre discussions plus ou moins philosophiques et récits personnels. Toujours autour du même sujet. Toujours. ...
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Antoinette dans les Cévennes ne nous cache aucunement ses intentions, loin de là. Ce film se présente et se vend comme une comédie légère et rafraichissante idéalement pondue en période de détente estivale. Mais qu'est ce qu'on reste au ras des pâquerettes, c'est affligeant.
Ce film se construit et se dénoue sur des prétextes et et évènements tous plus absurdes que bidons. Le rythme de ce film compact d'1h30 se montre ...
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Pour moi, ce film n'est pas enveloppé de la fameuse aura de la nostalgie qui nous fait aduler même les plus infames purges. Le Corniaud, c'est alors un film qui traine salement en longueur dont même Bourvil et De Funès peinent à sauver le navire.
Hormis deux ou trois blagounettes sympas, cette course poursuite à travers l'Italie se déroule en vaudeville classique. Les comiques s'enchainent platement au rythme des péripéties débiles et ...
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Yao offre une bonne dose de dépaysement en nous emmenant sur la terre natale d'Omar Sy, le Sénégal. Ce dernier s'y rend pour promouvoir son bouquin. C'est là qu'il rencontre le jeune Yao et qu'il décide de le ramener chez lui. Voilà Yao résumé en 3 lignes.
J'ai clairement le seum parce que ce film partait avec une idée de départ géniale. Un réa qui célèbre l'Afrique dans une œuvre destinée au public occidental, ça mérite ...
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Rocky IV prend ses spectateurs pour des pigeons. Entre les clichés, le recyclage ou encore les incohérences, ce quatrième opus éprouve grand mal à sa montrer digne de cette saga.
Rocky IV tente toujours tant bien que mal de s'inscrire dans une réalité forte pour donner du volume à ce qu'il raconte. Chose faite ici avec l'évocation de la guerre froide. A savoir la confrontation technologique et sportive entre les Etats Unis et l'URSS. ...
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Il faut du toupet pour oser sortir une suite aussi feignante. Ghostbusters II, c'est un recyclage honteux de tout ce qui a fait le succès de son prédécesseur. On prend les mêmes et on recommence : un gros vilain qui veut ressusciter et qui a besoin de réceptacle, Bill Murray mis en avant de façon indécente et une chasse aux fantômes qui atteint son apogée dans une fin délirante.
De quoi faire hurler au scandale, c'est vrai. Mais c'est ...
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Ce titre appelle à une intrigue un peu plus poétique que Marion Cotillard se faisant soulever moignons en l'air tous les quatre matins par un gros fatigué. M'enfin, il faut toujours qu'on se coltine du boule dans tous les films de nos jours…
De rouille et d'os , c'est une estropiée qui se demande si elle est encore désirable. Parce que ce film tourne clairement et uniquement autour de thématiques plutôt primaires. C'est bien connu, ...
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Que de figurants, que de panpan boumboum, que d'effets spéciaux ont été déployés pour cacher la misère. Dunkerque, c'est la guerre avec un grand G : navires, avions de chasse, torpilles… beaucoup d'acier quoi. Nolan en a fini par oublier que ce sont des êtres humains qui font sa guerre. Parce qu'ici, on m'expose juste des randoms qui essaient de quitter la France pour rentrer en Angleterre. Des sans noms, sans famille, sans âme. De ...
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