Furaxnrv
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N'ayant trouvé aucun commentaire à propos de la médiocrité du doublage francophone de la version Netflix, j'en déduis que la qualité est meilleure au cinéma. J'ai dû activer les sous-titres à l'arrivée de la scientifique pour y comprendre quelque chose, même avec des écouteurs à 400 balles elle continue de parler avec une patate chaude dans la bouche.
Comment se fait-il que ce nanar ait eu autant de succès ? Ce n'est qu'une succession d'imbroglios aussi poussifs qu'inutiles. J'ajouterais que la diction globale des acteurs quels qu'ils soient est à l'image de la mollesse française vis-à-vis de notre belle langue, ils parlent tous avec une patate dans la bouche, même Isabelle. Même avec un casque à 400 € optimisé pour l'écoute vocale j'ai parfois été obligé de mettre les ...
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Ok c'est mignon, sans plus. J'aurais souhaité que les soi disant virtuoses soient un peu plus à l'aise avec leur instrument, visiblement c'était la première fois de leur vie qu'ils touchaient un violon. C'est quand même pas ce qui manque, des bons violonistes, lorsqu'on prépare le casting. Du coup, à chaque fois que c'était eux qui jouaient, je détournais le regard pour n'apprécier que la musique.
[spoiler] Depuis le début, ils nous font baver sur cette merveilleuse chanteuse que l'on n'entend jamais chanter, on se dit qu'on sera éblouis à la fin et que cette diva finira par enfin chanter, mon cul. Je suis furax.[spoiler]
Quelle idée d'avoir imaginé que j'allais m'évader dans le cosmos comme nous le laissait présager un début très annonciateur ! Soudain on se retrouve enfermés dans un intérieur Ikea, avec une population de bobos qu'on pourrait croiser sur une plage de vacanciers smicards, et un commandement de ville volante dont je suis certain qu'aucun d'eux serait foutu de fabriquer un avion en papier.
Aux premiers instants j'ai cru à une comédie, et petit à petit je me suis laissé bercer par ces paysages incroyables. Parallèlement je me demandais bien comment tout ça allait bien pouvoir rebondir, vu qu'il ne se passe pas grand chose. Globalement je dois avouer avoir passé un bon moment, et découvert une nouvelle facette de Tom Hanks.
La doublure française de Meloni m'a donné envie de zapper après 20 minutes mais je me suis forcé à le finir après 3 verres de whisky. je fais un blocage sur sa diction qui foire un "s" sur deux. Jérôme Rebbot, doubleur français qui m'a déjà pourri plusieurs longs métrages et plusieurs séries dont Colony avec la voix d'Éric Broussard. Après avoir réussi à oublier ce défaut majeur, Marauders permet de mettre le doigt sur le sujet ...
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Franchement si j'avais suivi les critiques je n'aurais jamais tenté de voir ce film, mais finalement je me suis marré tout du long. Rien de tel que de s'attendre au pire pour être agréablement surpris.
Ce film dépeint l'honorable lutte dénonçant un fléau terrible et réel. Beaucoup de chorégraphies de combat savoureuses et impressionnantes, de magnifiques images d'un certain quotidien asiatique, mais tout ceci ne suffit pas à faire oublier les dialogues d'une pauvritude navrante.
OK c'est pas terrible malgré quelques sourires, mais si on consulte les avis avant de voir un film, ce n'est pas pour se faire dévoiler tous les détails, c'est juste pour se faire une idée. Hein Fred ! :) Le fait est qu'ils maitrisent tellement peu les combats qu'ils utilisent des flashes dans le noir, et les effets spéciaux ne valent pas mieux. Malgré tout j'aurais été moins déçu s'ils avaient trouvé une fin moins abrupte, parfois ...
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Pour une fois j'ai bien fait de lire les critiques avant. Je m'attendais à un nanard et j'ai été agréablement surpris. Ça pète dans tous les coins mais cette honnêteté globale rafraîchissante de la part de tous les intervenants me rassure. Aucune sournoiserie ne vient nous faire regretter d'avoir fait confiance à tout le monde. Il y a les bons d'un côté et les pourris de l'autre, et ça ne change jamais. Nous avons bien besoin de ce ...
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Fadaises et gesticulations, j'avais osé espérer que le cinéma sud coréen en avait fini avec le style Laurel et Hardy mais non. Eux au moins avaient un talent suffisant pour rendre le ridicule drôle. Verdict : poubelle.
Superbe fresque sociale des années 90 d'un réalisme bluffant, on s'y croirait. Bezace se promène comme un poisson dans l'eau avec ce rôle magnifique de flic intègre et humain. Du grand Tavernier !
Introduction fade faisant penser à un reportage sur les dessous d'un service d'espionnage en période d'apprentissage, et doucement ça prend de l'amplitude, jusqu'à presque être aussi bon qu'un Taken. Un bon Besson qui a su nous faire re aimer Costner.
En tant que fan de ce genre de sf, je dois avouer que c'est le premier super navet de mon existence. À peine quelques minutes intéressantes lorsqu'il bricole l'ordinateur de bord, et quelques idées inédites dans le genre, mais quel est le décérébré qui a écrit les dialogues ? C'est tout simplement flippant de stupidité.