cortomanu
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Un thriller au Vatican !
Un film malin, efficace qui réussit à brasser des sujets d'actualité sensibles, mais je ne spoilerai rien.
Ralph Fiennes, Stanley Tucci et les autres font une prestation impeccable. Et ça fait plaisir de revoir Isabella Rossellini au cinéma.
Le décorum du Vatican est très bien employé, et ajoute de l'intérêt au film.
Un bon moment de cinéma.
Un film malin, efficace qui réussit à brasser des sujets d'actualité sensibles, mais je ne spoilerai rien.
Ralph Fiennes, Stanley Tucci et les autres font une prestation impeccable. Et ça fait plaisir de revoir Isabella Rossellini au cinéma.
Le décorum du Vatican est très bien employé, et ajoute de l'intérêt au film.
Un bon moment de cinéma.
M. Hazanavicius réussit là un très beau film, dans un domaine qui n'est habituellement pas le sien : le dessin animé et le récit historique.
Il ajoute ainsi un domaine nouveau à sa palette filmographique.
Cette "marchandise" est un très beau film, aussi bien du point de vue de l'histoire (à partir d'un conte), que du graphisme et sa mise en scène.
Un dessin animé qui conviendra à tous, quelquesoit l'âge, qui n'élude rien de son ...
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Un film qui rappelle Les Virtuoses (Brassed Off), pas seulement parce qu'il y est question de fanfare (pardon, d'Harmonie), mais parce que le film réussit à mêler musique, et histoire sociale comme trajectoire(s) personnelle(s).
Et le fait de belle manière.
Même si par moments on s'attend à trouver les situations que propose le film, il parvient à ne pas trop en rajouter et à sonner assez juste. Entre autres grâce à un très bon ...
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Si ça c'est une palme d'or, je ne suis pas pressé de découvrir le reste de la sélection. Passé l'effet tape à l'oeil digne de nouveaux riches russes qui sont dans le film, il ne reste plus grand chose de ce film à part un grand vide. Et quelques personnages attachants auxquels le réalisateur ne propose finalement rien. Mais rien, c'était peut être le vrai sujet !? Mais dans ce cas, pourquoi aller au cinéma ?
Un dessin animé splendide, autant par le sujet, que l'animation ou le traitement de l'histoire. Les quelques instants un peu boy scout n'enlèvent rien au film. On se prend d'affection pour les aventures de Roz à travers un monde animal qui en fait parle beaucoup de nous, évidemment.
La vie de Lee Miller méritait un film depuis longtemps. C'est chose faite et rien que ça, c'est déjà un bon point. Le film veut ensuite peut être traiter trop d'éléments à la fois dans cette vie et personnalité hors du commun mais il n'y parvient pas. Il aurait peut être fallu resserrer le sujet pour mieux l'exprimer. On a à la place une sorte de patchwork sur Lee Miller, enrobé d'un discours féministe justifié mais qui finalement ...
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Ces dernières années Eastwood s'évertue à déjouer les discours simplets et les idées toutes faites. Loin d'un conservatisme bas de plafond qu'on lui prête souvent. Les apparences sont souvent trompeuses, les personnages ne sont jamais uniquement ce qu'ils semblent être, les questions simples n'ont que des réponses qui ne le sont pas, nos choix ne sont jamais justes où innocents. Si c'est ce qu'Eastwood veut raconter, le 12e juré y ...
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Ce film, comme souvent chez Ozon, pose des sujets originaux qu'on ne croise pas souvent. Celui-ci s'intéresse aux non dits qui se transmettent de génération en génération, à ce qu'on hérite et ce qu'on transmet aussi d'histoires qui ne sont pas directement les nôtres. C'est plutôt joliment montré et chaque acteur trouve le ton juste. Rien de vraiment spectaculaire, mais beaucoup de justesse. À voir.
Un film sur un thème fréquemment visité au cinéma. Il réussit à se démarquer par un souffle et une ambition renouvelée. La photo, le caractère en partie onirique ajoutent de la densité à des personnages dont chacun apporte sa spécificité à l'histoire. Mérite d'être vu.
Une comédie à partir d'un fait réel, mais qui n'est pas que comique et trouve les moyens d'interroger la justice, la place des justiciables et nos préjugés dans ce domaine. Un film pas bête mais qui manque un peu de chien et de mordant par moments, pour passer le cap qui en ferait un film marquant.
J'avais vu le premier film et j'avais bien aimé. Logique que j'aille voir celui là. Le film renouvelle bien l'intrigue en se situant à New York et avec Lupita Nyong'o dans le rôle principal. Mais il manque un peu de substance et de variations pour vraiment faire décoller le film. La tension est la même, mais un cran en dessous.
Un bon dessin animé, comme le précédent. Choisir la puberté comme thématique permet de renouveler le contenu tout en conservant ce qui faisait le charme du précédent film. Là aussi, chacun pourra s'identifier à un où plusieurs moments de sa propre histoire.
À vrai dire je ne comprends pas bien les polémiques idiotes qui accompagnent ce film, genre France d'en bas contre le reste du monde, etc. On peut toujours trouver matière à ratiociner ici ou là, sur ce film où n'importe quel autre. Ça ne change rien au fait que c'est une comédie bien enlevée, bien rythmée et qui fonctionne bien. C'est déjà ça. Le spectateur passe un bon moment, même si l'ensemble reste au fond bien sage et sans ...
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Film à ne pas spoiler. Je suis allé voir Memory sans trop savoir de quoi il en retournait. Bonne pioche ! Après un début un peu laborieux, l'histoire prend toute son ampleur, pas à pas et dévoile chaque facette de son ampleur. Le casting est parfait, sans que personne n'en fasse des tonnes, sans larmoyance non plus. Beaucoup de beauté et de subtilités, une belle façon de raconter la complexité de vies cabossées. Un grand film.
Un film qui voit trop grand et veut brasser trop de genres de cinéma sans y réussir. La débauche de moyens n'ajoute rien de bon. Seule l'évocation jusqu'à la chanson du générique de fin, sur la série éponyme l'homme qui tombe à pic et Colt Seevers fait enfin sourire. Beaucoup de bruit pour rien.
Un film qui n'est pas sans défauts ni longueurs, mais là n'est pas l'important. Difficile de parler de ce film qui brasse de nombreux thèmes en procédant par ellipses, songes, évocations, souvenirs. Il en reste un moment agréable et délicat, de séduction le plus souvent, qui ressemble beaucoup à du Mastroianni.
Il n'y en a pas deux pour faire des films comme Georges Miller. Et il n'a pas perdu la main. Seule modification depuis et avec le précèdent, la place auparavant donnée à Mad Max est maintenant détenue par des personnages féminins. Ce qui ne change rien. 2 où 3 scènes qui manquent de cohérence m'empêchent de cocher la 5eme étoile. Mais pour un vrai bon moment de cinoche grand spectacle, allez voir Furiosa.
Avec Dupieu, ça passe ou ça casse. Chance, celui-ci est du côté ça passe. Ses films ne ressemblent à aucun autre, c'est aussi pour ça qu'on les aime. Le résumer serait donc tout à fait vain, disons qu'il s'agit du film de Dupieu sur les films. Un passage obligé, parfois très beau (Truffaut), parfois bien foiré (Hazanavicius). Pour le reste, c'est toujours aussi poilant et hélas tout aussi inutilement bavard. C'est comme ça.
L'intrigue principale sur le milieu des ventes aux enchères et les intrigues secondaires autour des histoires de chaque protagonistes s'assemblent et fonctionnent bien. Ce qui rend le film très plaisant à découvrir, avec son lot de surprises qui se dévoilent petit à petit. Le casting en finesse fait le reste et permet de passer un bon moment devant ce tableau volé.
ce nouvel opus est un peu longuet à se mettre en place et sert visiblement de tremplin pour toute une nouvelle série d'épisodes. On ne comprend pas bien d'où viennent certaines situations, mais on entrevoit déjà celles à venir, avec une nouvelle humaine et un nouveau César en tête d'affiche. On reste quand même un peu sur sa faim.
Sabine Azéma, André Dussolier et Thierry Lhermitte ont un potentiel comique qui n'est plus à prouver. Les comédies qui reposent sur le mensonge et la tromperie aussi. Le film déroule donc avec plaisir ces ressorts là. Il manque malheureusement un peu de transgression et d'irrévérence par rapport aux nouveaux standards de la bonne morale de notre époque. Tout est un peu trop bien à sa place, et ça c'est pas idéal pour la comédie. Pas ...
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Où allons nous si le ciné français nous surprend de plus en plus avec de bons films !? Voilà une bonne surprise, sur un sujet au départ pas forcément super décisif : une femme à barbe, à la fin du 19e siècle dans un coin un peu paumé. Mais ce film s'avère plein de vie, celle de Rosalie et est conduit avec intelligence et subtilité. Le casting est au diapason, tout comme la mise en scène, photo, costumes... Une réussite.
Bon ok, le titre est trompeur, ce n'est pas un film sur la délinquance, la combine, s'échapper de son existence. C'est pas un moment de poésie non plus. C'est juste un film beaucoup trop long pour dire ce qu'il a à dire, et bien trop ennuyeux par rapport à ses ambitions. Une très longue attente pour atteindre le générique de fin pour ceux qui arriveront à tenir jusque là.
Un film particulièrement réussi sur les paradoxes de la vie scolaire aujourd'hui. Sur l'échec des mécanismes de dialogue et médiation, détournés de leur buts, sur l'impuissance d'une enseignante prise malgré son engagement et sa bonne volonté dans une mécanique folle qui lui échappe. C'est brillant et subtil. Un réalisateur et une actrice à suivre. Seul regret, l'absence de dénouement qui laisse volontairement le spectateur en suspens.
Un film qui ne plaît ni au public ni à la presse. Drive away dolls reprend les codes du road movie pour les passer à la moulinette d'un délire sexo lesbien déjanté. Avec toujours cette panoplie de seconds rôles venus d'une Amérique complètement cintrée. C'est pas toujours très fin, mais c'est souvent très drôle, un peu comme chez les frères Farelli. Je dis oui.
Avertissement : ce film n'est pas sur une guerre civile aux USA. Il prend pour acquis que cette guerre est là, n'en explique rien, ne prend pas parti. Le film parle plus de notre fascination pour l'image la plus violente, comment elle nous atteint, nous détruit à travers la figure de 2 photographes de guerre. Une expérimentée et l'autre qui veut en être. Leurs clichés, esthetisés par le noir et blanc soulignent la violence en couleur, pas ...
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Un couple qui n'en est plus un invité un couple voisin libertin. Évidemment, au fur et à mesure du film on découvre que chacun n'est pas tout à fait celui qu'il prétend être. Tant que le film est sur le registre de la comédie c'est réussi. Chacun joue très bien son rôle, c'est rythmé, le huis clos fonctionne bien. Ça marche moins quand le film s'oriente vers une fin consensuelle et morale, tout va bien qui finit bien. C'est dommage ...
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La réalisation de ce film est réussie et la tension imposée par le personnage d'Henry VIII palpable. Mais finalement le caractère imprévisible du personnage disparaît derrière l'opposition entre la reine et l'église. Cette intrigue secondaire a presque plus à raconter que le personnage du roi psychopathe, qui tourne un peu en rond. De ce point de vue, on reste un peu sur sa faim.
Malgré quelques longueurs ce dernier Kung-fu Panda est dans la lignée de ses prédécesseurs, avec toujours autant de trouvailles et une animation au cordeau. Les personnages de la Renarde et de la Caméléon sont parfaits. Manque un peu de surprise mais on en est au numéro 4.
On retrouve la veine des films témoignages engagés qui ont pu faire le succès d'un certain cinéma français depuis longtemps. Et ça c'est pas mal. Il y a évidemment peu de surprises. Chaque chose et chaque rôle est à sa place. La mise en scène comme le jeu des acteurs est sobre. Peu de surprises et d'imprévus ici. Ceux qui ont aimé l'adaptation de "Algues vertes, l'histoire interdite" devraient apprécier ce film.
Comme le 1er opus, celui-ci est très, trop long. Mais comme il s'y passe plus de choses que dans le premier, on s'y ennuie heureusement beaucoup moins. Ça rattrape un peu. Reste à être convaincu par T. Chalamet dans le rôle. Pour ma part, le côté jeune premier qui convient au personnage ne suffit pas à effacer le trop plein de mièvrerie.
une chronique de mœurs dans l'Angleterre ultra guindée de l'entre deux guerres. Une sorte d'anti Downtown Abbey, un Vestige du jour, mais chez les Groseilles. C'est très drôle, la distribution féminine s'en donne à coeur joie dans le démolissage du paternalisme Victorien et on le devine, ses héritiers de notre siècle. J'ai perfectionné quelques insultes pas dégueu en VO. Un moment parfait !
Une comédie française d'un niveau au dessus de la médiocrité habituelle des comédies françaises. C'est déjà ça. Sinon, un film à sketches, là aussi, c'est pas souvent. Avec des comédiens qui ont l'abbatage nécessaire, c'est encore mieux. Seul bémol, un manque de surprises et d'inventivité dans le déroulement des différents sketches. On les voit venir. C'est dommage.
Un film "social" et d'actualité sur les violences familiales, qui mélange plusieurs genres. On y trouve du réalisme (souligné par le noir et blanc), de comédie musicale, de suspense, de dramatique, de comédie. Ça ne fonctionne pas toujours très bien, avec des situations parfois surjouées inutilement. Mais tous les moments réussis du film, son caractère comique italien très réussi et drôle, l'usage de la musique, l'utilisation ...
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Les Anglais ont un sens de l'histoire et de la tradition particulier qui fait merveille pour raconter ce genre d'histoires. Tout est ajusté et réglé au millimètre sans donner l'impression d'être fabriqué pour ça. Et le film est réussi ! Alors autant en profiter ! D'autant plus que c'est un discours qu'il est bon de rappeler par les temps qui courent
Vu à l'occasion de sa ressortie avant le 4. Peut être un poil plus longuet que le 1, mais toujours aussi bien. On fait plus connaissance avec toute la bande kung-fu. L'animation est nickel et la créativité est toujours là.