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Si le scénario peut être qualifié de "léger", (mais il ne l'est en fait pas tant que ça), le film est transcendé par le jeu des acteurs. Charles Denner livre sans doute ici la meilleure prestation de sa carrière. C'est passionnant et remarquablement bien fait. Un grand Lelouch à (re)découvrir.
Aucune surprise, aucune tension, aucun suspense, aucune intelligence dans le comportement des personnages qui se laissent ballotter par l'histoire, et l'histoire parlons-en : on fait un copier-coller du 4 et ça nous fait un 7. Le scénario est un recyclage, avec les même bêtises mais en plus pire, ces combats débiles au laser, les vaisseaux qui font boum-boum dans l'espace, et l'aspect cornélien, "J'essuie ton Père, je suis le beau-frère ...
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La vision de ce film s'apparente à un supplice, il n'y a aucune tension puisqu'on devine tout de suite spoiler: que la scientifique rationaliste va se faire ramasser par les scénaristes au détriment du religieux de service
. Le film se transforme alors en plaidoyer proreligieux, Cela est parfaitement le droit du réalisateur sauf que je n'aime pas les semeurs de certitudes. Et si encore c'était bien joué, mais non Matthew ...
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Ce film pose une question qui leurs auteurs n'avaient sans doute pas prévu. Peut-on se réjouir de l'insupportable ? Sachant que dans ce film l'insupportable est partout aussi bien dans la forme que dans le fond ma réponse est non. Alors pourquoi tant d'éloges, ma foi, je n'en sais rien ?
Deux heures d'ennuis. Aucune tension, on reprend les vieilles recettes mais on oublie de doser convenablement les ingrédients, c'est inintéressant, Craig cachetonne, Léa Seydoux est ridicule. Un pas bon James Bond comme disait un spectateur à la sortie en se redonnant un coup de peigne.
Un film qui ne commence qu'une heure après son début ne saurait être bon. C'est inintéressant, potache (dans le mauvais sens du terme) bavard, gavant et réalisé avec des bouts de bois. Comme disait je ne sais plus qui : ce n'est pas parce que c'est filmé avec une caméra que c'est du cinéma
Ce film sous-estimé est pourtant l'un des films martiens les plus réussis (De Palma et Scott se sont plantés). Une bonne ambiance, des rapports entre les protagonistes qui s'efforcent d'être réalistes, de la tension, de bons acteurs, un scénario qui tient la route. Il serait peut-être temps de réévaluer ce bon film injustement noté.
Oh qu'il est malin Matt Damon, il a un problème, il a aussitôt la solution et il la met en pratique, le film fonctionne de cette façon pendant les deux tiers de sa durée, c'est dire si c'est passionnant. On apprend au passage qu'on peut réparer l'étanchéité de plain de truc avec un rouleau de scotch large. Les personnages secondaires sont tous plus clichés les uns que les autres (les astronautes qui acceptent sans broncher une mission ...
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Avec ce film, Lang a probablement voulu réaliser le film qu'il rêvait de faire dans son enfance (il en existe aussi une version muette). Peut-on lui reprocher, bien sur que non ! Tout le monde à le droit de réaliser ses rêves. Cela dit le Tigre du Bengale est un mauvais film d'aventures dans lequel rien ne fonctionne, de toute façon Lang ne savait pas faire des films d'aventures (les contrebandiers de Moonfllet étaient déjà ratés), ...
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La perfection ! Woody Allen n'est jamais aussi bon que quand il insère dans ces films une dose de suspense, voire de cruauté perverse. Le film peut se lire à au moins trois niveaux, une réflexion désabusée sur la vacuité de la philosophie (du moins quant à sa capacité à résoudre les questions existentielles), un thriller psychologique, mais aussi une intéressante illustration sur la contradiction entre l'engagement réciproque en ...
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C'est laid, c'est incompréhensible, c'est ininteressant, c'est ennuyeux, c'est prétentieux mais c'est en couleur..
Que le scénario soit stupide passe encore, il est prouvé que la plupart des sérials-killers ont un QI supérieur à la moyenne et nous pondent parfois des itinéraires aussi sanglants que tordus. Ce qui passe moins c'est toutes ces petites phrases complétement décontextualisées qui égrènent le film comme s'il était commenté par on ne sait quelle ligue des buveurs de comptoir aux idées reçues. Et ce qui passe encore moins, c'est cette ...
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Le cinéma peut tout oser ! Mais ce n'est pas parce qu'on ose qu'on réussit. Car ici pour paraphraser Jules César, "rectore audeat plantavit" (le réalisateur a osé et il s'est planté). Ce film nous massacre les tympans et nous fait mal aux yeux. Le réalisateur n'a pas compris que la "clip-touch" ne convenait pas à un long métrage et ses choix visuels tournent rapidement au grotesque tandis que ses choix musicaux confinent à l'absurde. ...
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Un film qui me fait penser à cette coutume stupide appelé enterrement de vie de garçon (ou de jeune fille), On rigole on s'amuse, on est un peu borderline, mais à la fin on rentre dans le rang. On est donc en plein dans la philosophie des faux semblants. Sinon Renée est très bien. Le réalisateur a voulu rendre Hugo antipathique et Colin sympathique, mais il s'est pris les pieds dans les pinceaux et c'est le contraire que l'on ressent.
Je n'ai jamais ressenti pendant la vision de ce film l'impression d'être devant un objet cinématographique. L'idée de départ n'est pas plus idiote qu'une autre mais sa mise en images est une catastrophe, aucun humour, aucune tension et surtout aucun intérêt (au sens littéral du terme)
On aurait tort de sous-estimer les films d'espionnage d'Alfred Hitchcock ("Correspondant 17", "4 de l'espionnage", "Les 39 marches" sont des petits bijoux. L'étau est arrivé en France au pire moment, le rideau déchiré avait déjà eu du mal à passer (alors que c'est un très bon film) mais là on est en pleine guerre du Viêt-Nam, les Etats-Unis n'ont pas la côte et Cuba est idéalisé. "On ne saurait montrer Cuba sous un mauvais jour". Or ...
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Jackson a compris que le cinéma fonctionnait comme un cirque, venez mesdames et messieurs vous allez en recevoir plein les yeux. Et effectivement ce n'est que déluge d'effets spéciaux plus bluffants les uns que les autres, mais qui à la longue deviennent pachydermiques. Mais à part ça, ben il n'y a rien sinon une reprise du scénario de 1933 auquel le très réactionnaire réalisateur s'est cru obligé d'ajouter des scènes où il clame a ...
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Si Saw est en soi le summum du plaisir coupable, je trouve étrange qu'on puisse encenser de pareilles choses, non seulement c'est d'un sadisme insupportable, mais ça reflète bien le mal être et la contradiction fondamentale de notre société dans lequel le sexe est tabou, mais la violence gratuite considéré comme u spectacle. Et si au moins le film était intelligent, mais non, c'est bourrée d'idioties scénaristiques. Poubelle !
De Palma, reprend la situation de départ du dernier Corneau "Crime d'amour", ainsi là où ce dernier nous décevait par la fausseté des situations, le réalisateur nous livre ici une réalisation magistrale, éblouissante, bluffante et, envoutante, un scénario dément, et une musique excellente. Seul bémol, le casting, les deux actrices se donnent énormément mais ne m'ont pas paru à la hauteur des grandes héroïnes Depalmiiène.A voir ...
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A placer dans le top 10 des meilleurs westerns de tous les temps. Un film intelligent qui évite le piège du manichéisme et où les" chevaliers blancs" sont remplacés par des aventuriers vénaux (mais néanmoins sympathiques) . Et puis qui résisterait au sourire de Burt Lancaster ?
Formellement sans aucune imagination et s'inspirant d'un roman très pimaire, le film choque surtout par les idées qu'il véhicule : culte de la force, aphorisme pseudo philosophique en guise de pensée, rejet de l'autre, haine revendiquée et assumée. Un très mauvais film au sens premier du terme.
Alors c'est Michel qui fait du Kayak, il est content Michel sur son Kayak et nous on se demande ce qu'on fait là à le regarder en train de ne pas avancer, car à l'image de son anti-héros ce film n'avance pas, il fait du surplace.. Ne vous fiez pas aux critiques de la presse, cette non-comédie est vraiment un désenchantement. Difficile de ne pas succomber à l'ennui que provoque ce film.
Godard aura été l'homme d'un grand film, Pierrot le fou, (Le Mépris ne devant sa bonne réputation que grace aux plans érotiques que le producteur a fait ajouter), sinon tout ce qu'il afait depuis ne sont que balbutiement et impostures. Godars est devenu dans ce film le roi du stabylo, il note des "belles" phrases un peu partout et veut les faire partager par ses fans. Comme disait mon chapelier devant un chapeau écrabouillé, ça n'a pas de ...
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Il est simplement dommage qu'on ne s'intéresse aujourd'hui qu'aux effets spéciaux (c’est-à-dire à l'esbroufe) à ce point que le vide scénaristique de ce film deviendrait secondaire. Désolé, mais moi je veux une histoire qui m'intéresse, ce n'est pas le cas ici, je veux des personnages qui ressemble à des personnages, ce n'est pas le cas ici. Ce genre de film n'est qu'une démonstration sans âme.
Tati me fait un peu penser à ce personnage qui à table nous faisait rire aux éclats pendant dix minutes, il nous fascinait, et puis au bout d'un moment on avait envie de passer à autre chose parce son humour devenait répétitif, tellement répétitif que c'en était ennuyeux. Tati c'est exactement ça, la découverte d'un univers enchanteur pendant vingt minutes, puis une impression de redite, puis l'overdose. Chaplin avait compris que pour ...
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Avec Forest Gump Zemekis entame son virage réac, anti intellectuel et antiscientifique qui trouvera son apogée dans le nauséeux "Contact". Certes le film est réalisé de main de maître, la performance technique est magistrale, la performance de Tom Hanks également mais rien ne peut sauver l'idiotie du message qui nous est servi et qui peut se résumer ainsi "L'intelligence ne sert à rien, le bon sens suffit" ou dit autrement "La vérité ...
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Il n'est pas gros, Lebowski, il est lourd, lourd et ennuyeux, l'intérêt de ce film m'échappe complétement, ni divertissant, ni distrayant, ni esthétique.
Déjà Kubrick n'a aucune maîtrise des dialogues, ça parle lentement, ça laisse passer des silences, ça reformule, ça patauge, ça se traîne. Kubrick aurait du prendre des leçons chez Woody Allen qui lui sait ce que dialoguer veut dire. Ensuite on se demande dans quel monde vit Kubrick pour en arriver a confondre partouze et société secrète ? On ne sait pas ce qu'il a voulu nous montrer, on ne sait pas où on va. La seule scène à ...
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Un acteur principal insupportable, une histoire tirée à la ligne comme ça ne devrait pas être permis et qui ne décolle jamais, un scénario absurde. A quoi se raccrocher ? Je me le demande encore ?
Ce film est laid et les acteurs sont mal dirigés, mais ce n'est pas le plus important. C'est l'idée de base qui est nulle : Il faut, bien qu'on finisse par admettre qu'on ne peut pas résoudre le problème du paradoxe temporel, c'est tout simplement impossible, et le film se plante en croyant l'avoir fait alors qu'il ne le fait pas. Les histoires de voyages temporels sans paradoxe, d'accord, Les paradoxes en mode fantaisistes (retour vers le ...
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Bon on n'est pas idiots, on sait très bien que la colocation va sombrer dans le drame, seulement on ne sait pas comment, et quand on commence à deviner les choses ça se complique bougrement. Les deux actrices porrtent littéralement ce film délicieux et réalisé avec classs et malice. Un régal.
La rencontre inopiné d'un auteur à l'égo démesuré et d'un acteur ringard donna Alphaville. Que dire sinon qu'on a du mal à s'intéresser à ce fatras construit autour de 2 ou 3 bonnes idées et compensant sa vacuité par des propos pris au hasard dans un dictionnaire des citations
Evidemment les amateurs d'Agatha Christie risque d'être déçus, car ici plus encore que dans les deux autre volets de cette trilogie, l'enquête policière n'est que prétexte, on a là un vieux couple qui mène son enquête comme s'il allait cueillir des champignons, on bifurque, on digresse, on parle d'autre chose, on y revient et on recommence. Cela permet à Thomas de régler ses comptes avec les sales mioches et de nous offrir une fessée ...
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Si on enlève Marilyne et les chutes du Niagara, que reste-tl ? Un histoire d'adultère qu'un classisisme confondant dotée dd'une double erreur de casting avec un Joseph Cotten transparent et un Casey Adams tête à claques.Quant au comportement du personage joué par Jean Peters, force est de constaer que le scénariste ne s'est pas foulé. Une déception.
Evidemment c'est moins puéril que le premier épisode, évidemment on en recoit plein la vue avec des images somptueuses qui en arrivent à nous faire oublier combien elles sont farfelues. Mais le scénario, car il faut bien en parler ne ressemble à rien, linéaire, sans surprise, d'un classicisme désespérant. Quant au jeu des acteurs, à part Harison Ford, ce n'est pas vraiment le top. Et quand je pense que cet épisode est considéré comme ...
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Un film sublime, l'un des meilleurs Almodovar (mais pas LE meilleur !) Bien sûr, il faut aimer le monde de la nuit, ses côtés un peu glauque et ses minorités sexuelles qui fascinent tant le réalisateur, mais le résultat est magnifique, stupéfiant et parfaitement maîtrisé, Quant à Vittoria Abril, on en croquerait. Qu'on se le dise : Almodovor ne réalisera jamais de remake de Love Story. Les relations vanilles ce n'est pas son truc et tant mieux !