Simplicissimus
Membre depuis le 20 septembre 2014
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Un peu comme l'est "La mort aux trousses" pour Hitchcock, " la prisonnière du désert" est une sorte de sommet dans la manière, le style et les thèmes du cinéma de John Ford.
Rien que pour les superbes décors de la Monument Valley ( l'action est pourtant censée se dérouler au Texas !) et le procédé en Vista vision, qui donne l'impression au spectateur d'être dans le décor, ce film vaudrait le détour..
John Wayne montre à l'occasion ...
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Evidemment, sorti quelques mois après le film de Frears, "Valmont" avait souffert de la comparaison avec " Les liaisons dangereuses", dont il ne possédait ni la noirceur, ni la tension dramatique.
Un peu fade à côté du film de Frears, il gagne, cependant, en légèreté et en fraîcheur, comme si Forman s'était dit que dans le fond tout cela n'était pas si tragique, comme en témoigne le duel final qui tient plus de la farce que du morceau ...
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Jeux interdits, le classique de René Clément, chef d'oeuvre des amours enfantines, durant la guerre, au moment de l'exode, quand deux enfants regardent évoluer les adultes qui les entourent, avec leurs méchancetés et leurs bassesses, tout en se constituant un monde bien à eux, avec deux jeunes acteurs stupéfiants de grâce et de naturel : Georges Poujouly ( 11 ans ) et Brigitte Fossey ( 4 ans !).
Que de larmes n'avons nous pas versées en ...
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Allemagne 1919.
Une jeune femme vient tous les jours fleurir la tombe de son fiancé, Frantz, mort au front, jusqu'au jour où elle rencontre un jeune français, qui vient se recueillir, lui aussi, et qui prétend avoir connu Frantz et avoir été son ami.
Mais cet homme cache un lourd secret..
Au début, jusqu'au choix de l'affiche du film, on pourrait se croire dans un roman de Stefan Zweig ou un film de Max Ophuls, mais c'est la question du ...
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Vu en salle il y a quarante ans, revu à la TV et le même sentiment domine : ce n'est pas le meilleur film de Kubrick, encore moins un chef d'oeuvre, bien qu'on y retrouve son sens de la géométrie de l'espace et ses longs travellings, .
Et ces effets horrifiques avec déluge de sang, lourdement symboliques..
Ce n'est pas non plus un film d'horreur ou alors "même pas peur", même si Kubrick s'amuse à truffer son film de références à " ...
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Le début du film laisse présager le pire de ce que nous réserve quelques fois le cinéma américain en matière de films de guerre patriotique, heureusement il s'oriente ensuite vers un thriller militaire où un colonel, joué par Denzel Washington, doit mener une enquête pour déterminer si une femme capitaine et pilote d'un hélicoptère sanitaire, a mérité de recevoir une décoration militaire, à titre posthume, pour sa bravoure sur le ...
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Finalement, on se demande où Stanley Kubrick a voulu en venir, si ce n'est à la conclusion qu'exprime sèchement Nicole Kidman à qui appartient le mot de la fin.
Et on se dira à la fin : tout ça pour ça ? tout le film n'était donc que cela, entre fantasmes pour l'une et équipée nocturne pour l'autre, pour en arriver à une conclusion aussi banale..
On notera également qu' Eye wide Shut est un film profondément ironique, si cela avait ...
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Ce qui fait qu'on reconnaît un grand acteur, comme l'est Denzel Washington, c'est à sa capacité d'exprimer toute une gamme d'émotions, avec un minimum d'expression.
Washington retrouve son metteur en scène de Training Day, Antoine Fuqua, dans une suite peut-être plus violente que le premier Equalizer, où le danger ne viendrait plus d'ennemis extérieurs mais de son propre camp.
Côté pile : Robert Mac Call, paisible monsieur tout le ...
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Un jeune flic passe sa première journée d'évaluation ( training day) aux stups avec un vieux de la vieille, mais quelle journée !
Une journée en enfer.. où la tension ne fait que monter d'un cran à chaque péripétie, au point que le spectateur se demande jusqu'où cela va aller..
Ethan Hawk est ce jeune flic intègre et courageux, qui va aller de Charybde en Scylla tout au long d'une journée dont il ne reviendra pas indemne, rapidement ...
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Mais qu'est-ce que Pierre Niney ( peu convaincant dans son rôle de gigolo), François Cluzet et Emmanuelle Devos sont allés faire dans cette galère clinquante et kitsch ?
Film branché, superficiel, interminable aussi ( je suis allé au bout !) au montage épileptique, avec une Isabelle Adjani pathétique et une Marine Vacht qui mange ses répliques, comme si elle voulait s'en débarrasser au plus vite.
Une curiosité à regarder seulement si ...
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Entre pas terrible et moyen..
Denzel Washington, que j'apprécie beaucoup par ailleurs, aurait pu se montrer plus exigeant sur le choix de ce "Buddie movie" au fond sans surprise, où le scénario faiblard et assez paresseux est remplacé par des poursuites, des explosions et des "private jokes" entre partenaires..
D'autres films ont fait beaucoup mieux dans le même genre, ce qui fait qu'on a l'impression de déjà vu ( Washington retrouve ...
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Deux étoiles, pas plus..
Un western gore, avec indiens cannibales, sorte de curiosité, mais quand le western veut faire le malin, n'est pas Quentin Tarantino qui veut !
Préférez dans le même registre l'excellent " Vorace" à cet ennuyeux " Bone Tomahawk" qui nous laisse largement sur notre faim.
Avant d'arriver à un final en effet plutôt gratiné dans le genre, on aura eu droit à un long désert d'ennui, comme celui que traversent les ...
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Henri Verneuil n'était sans doute pas un génie, mais il a rarement déçu dans les nombreux films qu'il a laissés et qui agrémentaient autrefois les soirées du dimanche soir.
Pourtant, quelque chose ne "marche" pas, de mon point de vue.
Alors, certes, chacun est dans son rôle : Delon dans le rôle du petit voyou sans manières et ambitieux ; Gabin nous fait du Gabin sans forcer ; leur relation est celle classique entre le vieux truand qui ...
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Tout fonctionne à merveille dans le film : le polar, la comédie, la romance ( le personnage de Richard Dreyfuss se met lui même dans une situation impossible..)
On rit, on tremble : le film installe également un vrai suspense et Madeleine Stowe est d'une beauté renversante..
La réussite du film tient aussi beaucoup aux acteurs : Si Aidan Quinn, qui joue un méchant convaincant et un peu bouffon, a des faux airs de Rutger Hauer, Richard ...
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Pas mal cette adaptation solaire du roman psychologique de Patricia Highsmith ( la fin du film se démarque du roman de Highsmith..), pas mal mais un peu moins bonne que l'autre thriller vénéneux de René Clément avec Alain Delon : " Les Félins".
La faute peut-être au rythme un peu languissant d'un film qui vaut surtout pour le suspense psychologique, les failles psychologiques de Ripley et la relation dominant-dominé entre Delon et Ronet ( ...
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J'ai laissé tomber l'affaire au bout de 50 minutes..
Ca met un temps fou à démarrer, la relation amoureuse entre Andrew Garfield et Emma Stone est maniérée, on est proche du ridicule avec des dialogues à la limite de la niaiserie..
Le malheureux Andrew Garfield confirme que son manque de charisme et d'envergure est un handicap rédhibitoire pour ce genre de rôle, il est plus à son affaire pour jouer un missionnaire religieux dans le " ...
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Contrairement à ce qui a été dit ou écrit, je trouve " les Félins" supérieur à " Plein soleil", puisqu'il s'agit du même réalisateur : René Clément et de son acteur principal : Alain Delon.
Un Delon qui crève une nouvelle fois l'écran, dans ce personnage de séducteur en fuite un brin gigolo, qui trouve refuge auprès de deux riches américaines, mais un Delon avec quatre ans d'expérience en plus, par rapport au personnage de " Tom ...
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Moins coté que son frère Ridley, le regretté Tony Scott avait réalisé l'esthétisant " les prédateurs" mais aussi l'excellent " Man of fire".
Le duo se reforme, avec son acteur fétiche Denzel Washington, dans ce non moins excellent thriller futuriste, quelque part entre polar, thriller et "l'armée des douze singes" pour le thème de la relativité du temps.
Au delà du thriller survitaminé, ce sont les questions et les réflexions ...
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Mélange de suspense, d'espionnage et d'une histoire d'amour contrariée, comme souvent les meilleurs films d'Alfred Hitchcock, même si je classe " Les enchaînés" légèrement derrière la perfection de " La mort aux trousses".
Ingrid Bergman est ici magnifique de vulnérabilité et Cary Grant torturé entre ses sentiments et sa mission, qui le contraint à demeurer froid et ne rien montrer de ses sentiments..
Maurice Rains, dans le rôle du ...
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Si j'étais un poil grincheux, je reprocherais à Jean Becker d'avoir fait un film un peu vieillot et créé un village français sous l'occupation qui sent le carton pâte..
Plus de légèreté que de drame d'ailleurs, Dussolier, Villeret - les deux pieds nickelés apprentis-résistants ; Lhermitte et, dans une moindre mesure, Benoît Magimel tirant le film vers la comédie ; le drame affleurant avec le personnage du soldat-clown allemand.
On ...
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Le plus mélancolique des films de Wilder, qui revisite le mythe Sherlock Holmes, en en faisant un personnage cocaïnomane et faillible..
L'intrigue se révèle un peu légère, mais Robert Stephens est parfaitement secondé par un Colin Blakely cocasse, dans le rôle de Watson, qui fait penser à un valet de comédie, et par la troublante Geneviève Page, dans un personnage de Mata Hari.
En prime, l'élégance de la mise en scène et l'humour ...
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Une petite comédie sentimentale pas désagréable, même si on est assez loin d'"Elle et lui", qui égratigne, au passage, les moeurs du petit milieu parisien de l'édition ( savoureux Jacques Weber..).
Il faut dire aussi que Karine Viard cabotine quelque peu et qu'Eric Caravaca, dans le rôle du Rastignac de province ( il s'appelle Marsay !), monté à la capitale, manque un peu d'épaisseur..
Il faut dire aussi que Karine Viard cabotine quelque peu et qu'Eric Caravaca, dans le rôle du Rastignac de province ( il s'appelle Marsay !), monté à la capitale, manque un peu d'épaisseur..
Ce qui me semble frappant après avoir vu " Un homme nommé cheval" ou l'histoire de ce lord anglais capturé par des sioux, qui, après un apprentissage très difficile, parviendra à s'intégrer à la tribu, c'est la visible influence qu'il a pu avoir sur un film comme " Danse avec les loups".
Un western pro-indien, naturaliste, un récit d'apprentissage aussi avec le magnifique Richard Harris et un acteur québécois étonnant Jean Gascon..
Un western pro-indien, naturaliste, un récit d'apprentissage aussi avec le magnifique Richard Harris et un acteur québécois étonnant Jean Gascon..
Excellent ce thriller paranoïaque et complotiste post-Watergate de Peter Hyams, dans la lignée des " Trois jours du Condor" ou des " Hommes du président"..
Passionnant même, par moments..
Alors, on pourra toujours chipoter sur une mise en scène un peu vieillotte et reprocher des facilités scénaristiques , voire une fin proche du ridicule, mais on aura passé un bon moment.
Passionnant même, par moments..
Alors, on pourra toujours chipoter sur une mise en scène un peu vieillotte et reprocher des facilités scénaristiques , voire une fin proche du ridicule, mais on aura passé un bon moment.
Certes, techniquement irréprochable et plastiquement superbe, comme souvent avec Spielberg, mais je me demande quel était l'intérêt de faire un remake du chef d'oeuvre de 1961 de Robert Wise, sinon pour Spielberg lui même de lui rendre hommage et de se faire plaisir.
Moins de ballets et de grâce que dans le film de Robert Wise : le film gagne en réalisme ce qu'il perd en magie..
Spielberg apporte même sa petite contribution aux goûts du ...
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Terrence Malick est un cinéaste fascinant, mais à force de pousser le bouchon de son panthéisme encore plus loin qu'il ne le faisait déjà, dans " La ligne rouge", en le cherchant dans la nature, les forêts du Jurassique ou le chaos du monde, il prend le risque de livrer un film déroutant, sinon abscons.
Les images sont majestueuses, comme d'habitude, mais je préfère quand il revient à la narration plus classique de la difficile ...
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Le vrai problème de "Bon voyage", à mes yeux, est l'absence de crédibilité d'Isabelle Adjani pour un rôle qui lui aurait
parfaitement convenu, mais vingt ans plus tôt, quand elle avait 25 ans.
Son épais maquillage essaye surtout de dissimuler le poids des ans sur une actrice qui approchait alors ses 50 ans.
Résultat : elle n'est pas du tout crédible dans son rôle d'actrice-diva capricieuse et égocentrique.
Gregori Dérangère, dans ...
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Sans atteindre les sommets du genre ( on se trouve plus près des "Mariés de l'an II" que des "Liaisons dangereuses"..), le vaudeville napoléonien de Laurent Tillard nous permet de passer un bon moment, sans qu'on s'ennuie jamais.
Si un Jean Dujardin un peu empâté fait ce qu'on attend de lui, il le fait sans génie, même s'il parvient à infuser à son personnage de hâbleur et de couard un peu plus d'émotion, à la fin du film.
Mais la ...
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Un film littéraire par les dialogues et en costumes, fin et gracieux, d'Emmanuel Mouret, qui surprend et dénote dans la production du cinéma français actuel qui se partage entre comédies et sujets sociétaux.
Il démarque "Les Liaisons dangereuses", mais sans atteindre à la noirceur du film de Frears..
Ici, c'est plus léger et la charmante Cécile de France n'est pas madame de Merteuil, pas plus qu'Edouard Baer, sobre et que j'ai trouvé ...
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Le problème avec Luc Besson, c'est qu'il fait des films sans écrire de scénario, impression confirmée ici.
En dehors du siège d'Orléans, plein de bruit et de fureur, façon " la chair et le sang", son film, de l'apparition de la Pucelle au sacre de Reims jusqu'à son procès, est une bouillie plus ou moins digeste.
On ne peut pas dire non plus qu'il est aidé par le jeu très approximatif de ses interprètes : Milla Jovovich est hystérique ...
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On est loin des meilleurs Hitchcock dans un film de circonstance, sorte de film de propagande tourné au début de la guerre pour soutenir le moral des populations, comme le sera "5ème colonne", bien plus réussi.
Un ou deux morceaux de bravoure comme le suspense dans le moulin ou le crash de l'avion, et la présence du grand George Sanders, nous sauvent de l'ennui complet..
Un ou deux morceaux de bravoure comme le suspense dans le moulin ou le crash de l'avion, et la présence du grand George Sanders, nous sauvent de l'ennui complet..
L'autre grand classique du film de guerre dans un camp de prisonniers, " La grande évasion", a vraiment des airs de famille avec le "Stalag 17" de Wilder.
Ceci dit, en dépit de la qualité du suspense et de la prestation remarquable de William Holden, pour laquelle il reçut d'ailleurs l'Oscar du meilleur acteur, le mélange entre drame et comédie est bancal et nuit aux deux, Wilder n'ayant pas voulu choisir.
De plus, les passages burlesques ...
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Le grand Liam Neelson fait du Liam Neelson dans un film que le metteur en scène essaye de rendre oppressant et glauque, mais qui se contente de nous resservir un sous-Seven plutôt pépère, sans une once d'ambiguïté.
On repassera aussi pour le côté "fais-moi peur" : les tueurs psychopathes, assez ordinaires, ne sont pas très flambants ,eux non plus.
On finira par un dénouement assez téléphoné et on tient là une déception, dans la ...
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Peut être pas un chef d'oeuvre, mais un grand western épique de John Wayne, bien aidé par son ami John Ford, paraît-il.
On reconnaît d'ailleurs dans les rôles des troisièmes couteaux, des habitués des films de Ford et Wayne.
Le film que John Wayne portait en lui depuis très longtemps, en remplaçant les 300 spartiates aux Thermopyles par le sacrifice des 187 Texans, à Alamo.
Le film propose même un spectaculaire assaut final sur Alamo, ...
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Finalement, je m'attendais à beaucoup mieux, sur la foi des quelques extraits assez impressionnants que j'avais vus..
Certes, on ne peut pas reprocher au metteur en scène allemand de ne pas avoir rendus réalistes combats et vie au front et on le gratifiera de ne pas avoir trop forcé sur le pathos, cependant le film ne retient pas grand chose du roman de Remarque et surtout souffre d'approximations et de faiblesses : le front censé se trouver ...
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Film que j'avais apprécié et qui m'avait beaucoup fait rire il y a 30 ans, un peu moins aujourd'hui, lorsque je l'ai revu très récemment, avec le sentiment que le style de Gérard Oury commençait à vieillir un peu.
Surtout la pente frénétique et burlesque de Gérard Oury, entrevue déjà dans " la folie des grandeurs" se confirme ici, avec un de Funès déchaîné, à qui il manque peut être un contrepoids comme l'étaient Bourvil et ...
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