David B.
Membre depuis le 27 avril 2014
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Quel beau film que l'histoire de ce couple, de cet homme qui finit par se perdre puis... par se retrouver !
Les 3 acteurs de la famille concernés sont remarquables de justesse et d'émotion. Une histoire qui m'a profondément touché, tant il est important de rester soi, de rester aligné avec ses valeurs, pour vivre heureux.
Les 3 acteurs de la famille concernés sont remarquables de justesse et d'émotion. Une histoire qui m'a profondément touché, tant il est important de rester soi, de rester aligné avec ses valeurs, pour vivre heureux.
En dépit de quelques longueurs, on est accroché par le scénario, et par notre juré au prise avec les tréfonds de sa conscience. J'ai beaucoup moins aimé la fin malheureusement que je trouve vraiment trop "facile"...
L'étau se resserre progressivement. Une certaine entreprise de destruction vient tester les motivations des candidats à la green card... C'est vraiment très bien joué. Mais, ces 1h15 sont longues, énervantes, on se demande comment les deux suppliciés arrivent à tant se contenir et à ne pas éclater de colère. Aimer un film où on subit comme les suppliciés, bah non, je ne suis pas maso...
J'ai trouvé la réalisation et le rendu de cette histoire (vraie) vraiment trop mièvre et pétrie de bons sentiments.
Je suis venu, j'ai vu, je ne suis pas convaincu... Les effets spéciaux sont dantesques, mais le tout n'a pas grand intérêt. Mon ado est content, c'est l'essentiel.
C'est frais, c'est gentil, on est plongé dans le monde des personnes en situation de handicap et de ceux qui les accompagnent. Mais, bon, c'est pas non plus un chef d'oeuvre.
Après une première partie prometteuse et intrigante, je me suis fait gravement hièche à partir de la moitié du film. C'est à ce moment qu'il ne se passe pas grand chose, si ce n'est des scènes d'enfance étirées en longueur. Dommage car c'est filmé avec poésie, avec différents points de vue.
Derrière cette histoire de Robinson, une métaphore du couple où je t'aime moi non plus, je t'épaule puis j'en peux plus, l'un devient à tour de rôle la béquille de l'autre, pour le meilleur et dans le pire. Bien joué, bien tourné, bien raconté.
Ca démarre en piquant notre curiosité, c'est original, mais ça aboutit pas bien loin et au bout d'un peu plus d'une heure. Sans plus.
Un autre univers dans ce film, où la différence est à l'honneur, jusqu'au loufoque. Mais un loufoque qui est bien dosé. Et puis, de nombreuses violences et traumatismes suggérés. Une ode à la différence.
Je me suis laissé emporter par cette histoire d'une surdouée des maths, qui travaille jusqu'à flirter avec une forme de folie. Il émane de la passion, il est question d'aptitudes extraordinaires alors même que la jeune femme s'ouvre aussi à son humanité.
Une histoire renversante où peu à peu une femme en manque d'affection s'enferme dans le mensonge. Mention spéciale à l'actrice principale, un jeu juste et beaucoup de charme.
Une épopée où la photographie et l'envolée scénarique nous scotche rapidement. Mais l'aventure est longue 2h38 ! et on se serait bien passé de la dernière partie d'une moins bonne facture et qui couvre la dernière heure.
Un thriller délicieusement alambiqué, avec des chausse-trappes, des flashs back en veux-tu en voilà, et une vérité qui s'installe pour disparaître dans les dix dernières secondes...
Un brin loufoque, un poil naïf, inventif dans la réalisation, on retrouve la patte Dupontel avec un bon moment en perspective !
Un film magnifique d'émotions, bien enfouies depuis des années, qui ressurgissent, sublimées par la présence innocente d'un petit parisien, et une exceptionnelle musique.
Homme en fuite qui tente de s'échapper d'une dictature sans foi ni loi. C'est déjà vu, mais efficace et bien joué. Un bon moment.
Un film qui interroge sur la capacité à vivre avec un si lourd secret, sur comment on peut composer avec, alors que la vie nous ballote d'une épreuve à l'autre, d'une trahison à des liens qui se nouent, plus ou moins chargé par notre histoire personnelle. Un bon moment.
Un scénario plutôt original, de l'émotion à foison, c'est bien joué, ça se suit bien... mais sans plus pour moi.
On rit de la gouaille décalée de Michel Blanc dans une classe primaire, et compatit avec la maire de ce petit village qui tente de tout maintenir à flot, jouant tous les rôles pour ses administrés. Un moment sympa, mais sans plus.
On suit cette histoire d'un exploit hors norme, mais sans y croire vraiment, tant le tout est si peu crédible...
Des personnages "pieds nickelés" bien croqués, des répliques et situations comiques à foison, une comédie qui fait du bien !
Intense, poignant, mais lent, très lent, comme le chemin que doivent parcourir les victimes de l'indicible.
Ouch ! Quelle expérience éprouvante ces quelques deux heures, d'un climat qui va crescendo vers l'insoutenable. Le scénario, la réalisation, les acteurs nous prennent aux tripes et nous libèrent groggy, sonnés... en se demandant s'il était bien raisonnable de venir.
C'est cousu de fil blanc notamment le happy end final, mais on passe un bon moment chargé en émotions.
L'histoire de la conquête lunaire sous l'angle de la personnalité de Neil Armstrong et de sa famille. On connait l'histoire mais on est accroché dès le commencement par les émotions des personnages aux prises avec un drame personnel, alors que la course vers la lune en expose d'autres à des risques insensés. S'ajoutent de merveilleuses vues de l'espace et une bande son de qualité. Vu à un moment particulièrement douloureux de ma vie :'(
Une histoire qui se déroule dans un hôpital et qui n'est donc pas sans rappeler le mythique "Vol au dessus d'un nid de coucou". Robert De Niro et Robin Williams sont excellents dans des rôles très différents et empreints de beaucoup d'humanité. Le signe du destin est terrible pour le second qui souffrira lui-même d'une forme de démence.
Une histoire très émouvante sur l'hypersensibilité de certains ados, à l'heure où s'émerveillent les sens, les projets, les espérances, et où toutes les émotions sont décuplées. On soupçonne des sentiments homosexuels naissants, non partagés, comme cause d'un drame bouleversant.
Une touchante histoire que cette femme prête à tout pour avoir un enfant, avec une très belle prestation de Sara Giraudeau, dont l'apparente fragilité sert magistralement le film.
Un brillant thriller, qui multiplie les versions, les fausses pistes pour mieux nous scotcher au final.
V. Elfira est une nouvelle fois bouleversante dans ce rôle de femme rattrapée par l'horloge biologique. Emouvant, mais un peu trop long et lent.
Bien jouée surtout par les deux acteurs principaux, une romance dans un cadre original, mais sans prétention.
Dommage.
Dommage.
Un bien joli conte ancré dans notre temps qui trouve ses origines en Mésopotamie. Original et captivant, un bon moment.
C'est un brin loufoque, mais juste ce qu'il faut pour que cela soit drôle sans nuire à l'histoire. Celle-ci est en revanche une déception.
Dynamique, avec de nombreuses références aux contes classiquement racontés le soir aux enfants, ce film d'animation fait mouche et est aussi réussi que le premier. Le Chat Potté submergé par le doute reprend progressivement sa verve d'antan.
Un policier plutôt addictif avec de multiples pistes, bien joué, emmené.Mais, la fin vient tout gâcher.