Bardon de Kater
Membre depuis le 11 avril 2014
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Voir pendant 2 heures, un réalisateur talentueux n’être capable de nous montrer que des pantins sautillants dans un méga jeu d'auto tamponneuses a quelques chose de pathétique.
Le meilleur (et de loin) film des Marx Brothers. Débarrassé des ingrédients romantiques inutiles et dopé au non-sens jusqu'au paroxysme, ce film dont les images de folies persistent longtemps après la vision du film est un chef d'oeuvre de l’histoire du cinéma;
Un film comme on n'en fait (malheureusement) plus, truculent et tendre, inventif et iconoclaste. Marielle est sublime. J'adore.
Le moins que l'on puisse demander à un film musical, c'est de s'articuler autour d'une musique intéressante. Or force est de constater qu'on est loin du compte, je sais très bien que le choix de dialogues intégralement "chanté" (si on peut appeler ça chanter) est un choix délibéré, le problème est donc de se demander si ce choix était judicieux, et je suis de ceux qui pense qu'il ne l'était pas. Si on y ajoute la vacuité du propos, ...
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Histoire absurde, situation grotesque, dialogues idiots, on sent le film de commande à plein nez et celui-là n'ajoutera rien à la gloire de Robert Wise. Cherchant un palliatif à l'ennui que me provoqua ce film, je cherchait un dérivatif et m’intéressait aux oreilles en plastique de Monsieur Spock. Elle sont moches.
Plat, sans surprise, sans émotion, se regarde distraitement. Ce film m'aura au moins appris que Sephora n'est pas seulement une chaîne de magasin de parfums mais que d'était aussi la femme de Moïse. L'ambition du film était de démystifier et de rationaliser le récit, ce qui est une bonne idée et les bigots ont crié au sacrilège, tant mieux ! Mais les autres, ben les autres ils s'en foutent un peu de cette histoire d'autant que le film ...
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Quoiqu'on en dise on peut être un dragueur invétéré et respecter les femmes. Et c'est exactement ce que démontre et prouve François Truffaut dans ce petit bijoux d'humour subtil et de sensibilité porté par un Charles Denner géant.
Non seulement il s’agit là d'un tissu d'inepties incohérentes, mais c'est démago, lacrymal et bouffi de prétentions... et en plus Anne Hathaway n'y est même pas sexy.
Quel talent ! Après l'excellent "Jeune et Jolie", qui traitait du fantasme féminin de la prostitution, Ozon s'attaque à un autre fantasme féminin (celui de l’attirance pour les travestis), car ne nous trompons surtout pas, il est bien là le thème principal de ce film, car si Romain Duris nous fait une démonstration exceptionnelle, c'est bien Anaïs Demoustier qui est au centre de ce film, et dont nous vivons les attirances, les envies, ...
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Il est vraiment dommage qu'Irina Demick ne sache pas jouer la comédie. Cela parvient à gâcher le plaisir de regarder ce film au scénario pourtant prometteur.
Anna Rice est tellement imprégnée de culture française qu'elle s'est imaginée que Lestat était un prénom français ! (vous vous imaginez la scène dans un bureau : Lestat apportez-moi les stats !). On se demande sans cesse quand le film va démarrer. Il est interprété par des acteurs mal dirigés (Bandéras n'a jamais été aussi mauvais, Cruise trop inégal) qui nous font des causettes philosophiques dont on se fout complètement, ...
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45 ans après Love Story on nous ressert le même sirop ! Démagogique, mal interprété, prévisible, larmoyant et réalisé à "la paresseuse" le film n'a strictement aucun intérêt. Vous allez me dire pourquoi un tel enthousiasme ? C'est simple le tri se fait à l'entrée, n'y vont que ceux qui y vont pour pleurer, et ils pleurent puisque c'est fait pour ça ! Quant à moi, étourdi que je suis, ça m'apprenrda à me tromper de salle
Ce jeu de massacre dans lequel il n'y a que des affreux a beau être glauque, il n'en est pas moi jouissif, tellement la réalisation et la direction d'acteurs sont habilement maîtrisés. Bravo !
La pièce s'était taillée un joli succès au théâtre en 1975, la scène du Splendid étant trop petite pour faire face à la demande, la troupe avait du déménager à la Gaîté Montparnasse. Jean-Claude Sussfeld, joyeux inconnu qui réalisa le film n'a rien d'un amateur puisqu'il réussit l'exploit d'être l'assistant réalisateur de Gérard Oury et de…Jean-Luc Godard. Il fait bien sûr pour apprécier le film aimer l'esprit foutraque, ...
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A voir ne serait-ce que pour cette scène d'interrogatoire au commissariat ou Kiberlain y est sublime et qui mériterait de figurer dans les anthologies du genre. En plus l'histoire est roublarde et intelligente.
Le produit est formaté pour ratisser large : pro et anti-mariage, libertins et fidèles, homo et hétéros et comme le film ne souhaite pas être classé comique, on y ajoute une séquence lacrymale bien épaisse. Le pitch final est basé sur une invraisemblance assez colossale : Comment se fait-il qu'une libertine doive attendre le mariage pour s'apercevoir que son partenaire est un mauvais choix ? Ce film est en fait faussement subversif, on ...
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Visible sur Youtube. Quelques diapos en noir et blanc qui ne brillent en rien par leur qualité artistique, une histoire à dormir debout. Et on voudrait nous faire croire que non seulement c'est du cinéma mais que c'en est du bon ! Que je me fasse bien comprendre tout le monde a le droit d'essayer de faire des choses qui sortent de l'ordinaire mais de la à crier au chef d'oeuvre, faut pas pousser quand même !
Je trouve qu'il y a un point commun entre les aventures de Tintin et les films de Luc Besson, en cela que c'est du grand n'importe quoi eu-égard à la vraisemblance, mais que ça fonctionne à fond, on est émerveillé, passionné et on en redemande. Et en plus il y a Scarlett Johansson, avouez que comme bonus c'est assez fantastique (d'ailleurs si quelqu’un avait son numéro de portable ? LOL)
Un jour un mec inventa la pince à cornichons. Il déposa son invention et fait fortune. 10 ans plus tard il déposa une autre invention, la pince à cornichons - 2, semblable au premier à 90 %. Il s'étonna alors que cette seconde mouture n'ait point marché. Avec ce nouveau Sin City, c'est exactement pareil, aucune innovation, aucune originalité. Un film fait au papier carbone sur l'empreinte du premier. Vous me direz, il y Eva Green, mais à ...
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Ce mauvais film dont l'extrême lenteur ferait passer Kubrick pour un adepte de Bib-Bip Coyotte a eu au moins l'avantage de réveiller mes fantasmes bisexuels à la vue des beaux yeux de Ryan Gosling
Au bout d'une heure je commençais à regarder ma montre, avouez que pour un film d'action, ça fait tache ! J'ai même songé à partir... J'aurais eu grand tort, car j'aurais raté cette scène d'une insoutenable dimension tragique : spoiler: Rescapé on ne sait comment d'u plasticage d'un tour de San Francisco, le gentil singe César et le vilain singe Cobo en viennent aux mains (pratique pour les singes, ils en ont quatre) Après quelques ...
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M'a fait penser à ces peintres incapables de faire un portrait, mais barbouillant n'importe quoi en expliquant que ceux qui n'apprécient pas ses tableaux ne sont que des ignares et des réactionnaires.
Quand les gens rigolent comme des bossus en entendant des propos que le film fait semblant de vouloir dénoncer, c'est qu'il y a un problème, non ? Sinon, la scène finale mérite une mention spéciale comme sommet absolu de ringardise. Ce n'est pas du cinéma, c'est un produit de consommation lancé avec une habile campagne de marketing, un peu comme une savonnette.
Ayant lu à droite et à gauche que le film contenait des anachronismes, quelques critiques de supermarché se croient obligés de cracher sur le film. Par contre que dans Star-Wars, les vaisseaux fassent boum-badaboum dans le vide ou dépasse la vitesse de la lumière ne les a jamais gênés, forcement ils ne sont même pas au courant. Bref avec 10 000 Emerich a réussi à rendre passionnante ce qui n'aurait été qu'une bleuette naïve sans ses ...
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Gwendoline est une bande dessinée de John Willy, où tout est prétexte à montrer des jeunes femmes ligotées de toutes les façons possibles. Cette série publiée aux Etats-Unis dans une semi-clandestinité a servi de réservoir à fantasmes à une époque où la représentation explicite d'actes sexuels (il n'y en a d'ailleurs pas dans cette BD) ou de fantaisies érotiques était sévèrement prohibée. Aujourd'hui, tout cela a pris un ...
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On aurait du interdire à Ava Gardner de faire des films, elle est trop belle ! Non je déconne, ce film est un grand moment de bonheur, d'autant que dans ce film fabuleux, Ava ne se contente pas d'être belle, elle joue divinement !
On aurait dû interdire à Ava Gardner de jouer dans des films, elle est trop belle ! Non je déconne, ce film est un grand moment de bonheur. Ah, cette scène où elle se retrouve le cul par terre à l'enclos des éléphants !
Revoir la petite culotte de Sigourney Weaver et mourir !
Godard n'a même pas su photographier Mireille Darc correctement. Quant à Jean Yanne, il était tellement furieux de sa collaboration avec Godard, que quand il publia 'La langouste ne passera pas" (Bande dessinée de Jean Yanne et Tito Topin), le mot "Godard" devint une insulte dans les bulles de ses personnages !
Le titre est mal choisi. Aurait dû s'appeler "la démagogie pour les nuls."
Avouons-le : les deux premiers tiers du film sont tordants. Mais le dernier tiers est une incroyable purge dégoulinante qui donne envie de gerber.
Un scénario mal maîtrisé, des éléments de l'histoire laissé en plan, un personnage secondaire inutile et débile (Walter Bernam), une musique moche. Bref c'est du Hawks
En fait il y a trois sortes de réactions, les désabusés qui ont quitté la projection, les pervers (dont je suis, mais j'assume) qui ne sont restés que pour voir Scarlett Johansson à poil et ceux qui confondent le spectacle du film et le souvenir du film. Ces derniers répètent à foison ce qu'ils ont lu à droite et à gauche par une critique complaisante, ainsi le film serait sensoriel (c'est tout nouveau, ça vient de sortir !). Quant au ...
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Une très bonne et très fidèle adaptation de la bande dessinée de Jacques Tardi, à ce point qu'on a vraiment l'impression de voir s'animer les personnages farfelus de ses vignettes dans son univers de folie.. Un bon esprit, des bons trucages, de la dérision et le sourire de Louise Bourgoin tout cela contribue à nous faire un excellent film (n'en déplaisent à ceux qui ne cessent de casser du Besson dans les salons parisiens)
Un grand film d'aventures aqua-futuriste qui lorgne pas mal du côté de l'excellent Mad Max 3, mais qui le surclasse par sa folie visuelle. (pas que visuelle, d'ailleurs !)
Attention la vision de ce film nécessite la prise de deux aspirines effervescentes en comprimés. Une alternative consiste à ne pas voir ce film, laid, prétentieux, mal interprété et con comme la lune !