Xavier B.
Membre depuis le 4 décembre 2013
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Le film a été réalisé clandestinement et avec fort peu de moyens. Il faut saluer la performance artistique, pour la qualité du film, et politique, pour l'engagement et le courage qu'il représente. Chapeau bas !
J'ai cependant une légère réserve : je ne comprends pas -assez bien- le fonctionnement de cette famille. Les trois sœurs sont bien, chacune en fonction de son âge, rebelles à l'ordre politique et méfiantes vis-à-vis de ...
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Drôle, même s'il pose quelques questions...
Le film tourne autour du culte de la beauté du corps, obtenue aux prix d'efforts démesurés réservés aux oisifs profonds. Une héroïne de ce marché très lucratif commence à prendre un tout petit d'âge et perd à la fois son emploi et l'image glamourissime de succès qu'il lui renvoyait...
Elle signe donc un pacte avec le diable.
Le drame faustien qui s'ensuit se double de la concurrence ...
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L'idée de scénario est superbe et aurait pu mener à un film noir, tendu, avec des personnages perdus dans leurs contradictions internes.
Au lieu de cela, Monsieur Eastwood nous montre des personnages un peu mièvres, avec des failles trop évidentes/simples
• le "héros", un gentil futur papa, dont le dilemme se résume au choix entre l’honnêteté qui le conduirait à se dénoncer et son devoir de rester libre pour "protéger" sa ...
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Film sobre et efficace, ne reculant pas devant les ambivalences (la réalité humaine n'est jamais univoque) :
• le Cameroun, avec la longévité de son Président, au pouvoir depuis 18 ans au moment des faits (42 ans aujourd'hui !) ne semble pas un modèle de démocratie, mais des contre-pouvoirs nationaux (manifestations, démarches d'un avocat, presse, opinion publique) se sont exprimés avec l'affaire des 9 de Bependa, déclenchant ...
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Film très fort, des images puissantes, des réflexions très personnelles, denses, sur l'apartheid vu de l’intérieur et, plus loin, sur les différentes formes de racisme, qu'il soit institutionnel (Afrique du Sud), violent, menaçant et ancré dans une culture consciente, assumée (Sud des USA) ou insidieux, voire subliminal (Europe, New York).
Avec le grand respect que Raoul Peck a manifestement pour son sujet, Ernest Cole, il lui laisse la ...
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Film surprenant, très bien joué. On lit très distinctement, on partage l'excitation du départ, l'angoisse avant de se soumettre à un contrôle, l'embarras puis l’exaspération et de nouveau l’embarras des deux postulants à l'immigration.
On est tenté de comparer ce film avec Chroniques de Téhéran de Ali Asgari et Alireza Khatami, mais l’administration américaine y est montrée sous un jour bien plus insidieux que ce que l'on ...
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Le film est rempli de longueurs. J'avoue avoir siesté un peu, pourtant après un repas des plus légers...
Le film est cependant relativement efficace : il montre comment les indiens d'Amazonie ont pu, aidés certainement en cela par une prise de conscience "globale" éco-sociale (le film ne donne aucune clé de mesure du phénomène...), passer du statut de victime des extrêmes violences du colonialisme capitaliste (scène saisissante de ...
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Hirayama, employé très consciencieux de l'entreprise d'entretien des toilettes publiques de Tokyo, vit modestement et trouve son plaisir dans la contemplation des arbres et des gens, dans la lecture et dans l'écoute de ses vielles cassettes audio. Il semble vivre dans un quasi mutisme, ses contacts se limitant à des salutations lointaines et à des sourires juste polis. Et puis, cet univers parfaitement réglé finit par montrer quelques ...
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Film féministe qui montrent des femmes à la fois battantes et pleines de charme.
Belles images, rythme prenant, tension narrative, thèmes multiples ["violence faites aux femmes", autorité familiale, tentation de l'immigration etc.].
A voir !!!
Belles images, rythme prenant, tension narrative, thèmes multiples ["violence faites aux femmes", autorité familiale, tentation de l'immigration etc.].
A voir !!!
Jeanne Balibar joue avec justesse, pudeur et crédibilité le rôle troublant d'une mère prise entre la mission et son besoin d'échanges sexuels.
Son rôle fait la promotion d'une liberté sexuelle assumée tranquillement (bien loin de l'image sulfureuse que les revendications des années 1968 en donnaient), en conflit cependant avec le qu'en-dira-t-on (elle cherche à cacher à son voisinage comment elle emploie ses mardis) et surtout avec ce ...
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Le film éclaire avec justesse les points de vue respectifs des différents acteurs impliqués, migrants, garde-frontière polonais, militants des ONG dévolues à l'aide aux réfugiés...
Des officiers garde-frontière polonais accusent Poutine de chercher à affaiblir l'Europe en y envoyant des terroristes potentiels. Le réel machiavélisme de Poutine est, avec des bombardements massifs en Syrie, d'avoir déclenché des exodes vers l'Europe et ...
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Une vision assez exotique de l'Algérie.
Dans la première partie, on y parle peu de l'Algérie réelle mais plus de ce qu'elle évoque ou de ce qu'elle a évoqué comme symbole de "libération des peuples".
Dans la seconde partie, ce sont les "liens du sang" à la fois essentiels (savoir d'où on vient, savoir que l'autre -qui est une part de ma propre réalité- existe) et futiles (cette connaissance ne change rien de ce que l'on est )...
Dans la première partie, on y parle peu de l'Algérie réelle mais plus de ce qu'elle évoque ou de ce qu'elle a évoqué comme symbole de "libération des peuples".
Dans la seconde partie, ce sont les "liens du sang" à la fois essentiels (savoir d'où on vient, savoir que l'autre -qui est une part de ma propre réalité- existe) et futiles (cette connaissance ne change rien de ce que l'on est )...
Scénario et personnages attachants, mais le personnage principal, à certains âges, est peu crédible, notamment quand il caresse maladroitement une guitare dont il sort pourtant des sons appréciables ...
Docu assez fort, mêlant interviews d'anciens combattants de l'armée secrète de l'ANC et images d'archives, une plongée intéressante sur la stratégie révolutionnaire qui a mené à l'abolition de l’apartheid.
Ces "anciens combattants" ont été indispensables à la lutte mais ont été oubliés au profit du dialogue et du retour à la paix ... et de l'image "pacifique" de Mandela.
L'histoire officielle les oublie, ne leur fait pas ...
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On attend a priori d'un film iranien qu'il nous apprenne à connaître ce pays, ses mœurs et ses problèmes.
Ce n'est pas le propos de Mani Haghighi, qui produit là un excellent thriller psychologique, dont Hitchcock n'aurait pas refusé la grand-paternité.
Le film nous emporte efficacement ... et on a une nouvelle confirmation de la maturité et la richesse du cinéma iranien.
Loches le novembre 2023
Ce n'est pas le propos de Mani Haghighi, qui produit là un excellent thriller psychologique, dont Hitchcock n'aurait pas refusé la grand-paternité.
Le film nous emporte efficacement ... et on a une nouvelle confirmation de la maturité et la richesse du cinéma iranien.
Loches le novembre 2023
Un film fort sur le doute sur l'identité sexuelle, doux et inconfortable, qui s'abstient d'asséner des conclusions sur ce sujet "mainstream1".
Si le film a un message, celui que j'ai cru bon comprendre reste modeste et partagé, honnête :
• le doute de Cocó est douloureux et doit être pris au sérieux sans être dramatisé même si son acceptation pose évidemment un lourd problème à l'entourage,
• son choix est loin d'être ...
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Huit de ces histoires nous confrontent à un univers kafkaïen qui conduit tous les petits détenteurs d'un petit pouvoir à en faire usage rigide, sans réel accommodement, souvent avec une malhonnêteté intellectuelle exemplaire, jusqu'à l'absurde. Parfois risible, toujours grinçante.
La caméra -donc le spectateur- est systématiquement placée, fixée, face au justiciable ou au client, selon les cas.
L'image de la petite fille que sa mère ...
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Le film est assez fort. Le parti pris, le "procédé" de faire représenter/revivre le passé de la famille de la metteuse en scène à travers des figurines et des maquettes est intéressant et plein de poésie. Ces adultes jouant avec ces figurines semblent un peu enfantins et dérisoires, mais leur attention marque l'importance que revêt pour eux la recherche de la vérité sur les "émeutes du pain" des 20 et 21uin 19811. Malheureusement, la ...
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Les membres de la petite famille Höss sont essentiellement préoccupés de leur statut social, la carrière de Rudolf -et son application à augmenter la capacité de traitement d'Auschwitz- ne semble destinée qu'à améliorer le confort familial et à permettre à Hedwig de s'épanouir dans l'aménagement de son charmant domaine, adossé au camp de concentration.
J. Glazer illustre ceci, l'importance, la préoccupation du statut social en ...
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À mon humble avis, nul !
La bande annonce est excellente avec quelques séquences enthousiasmantes, mais ce sont les seules bonnes séquences du film elles disparaissent dans le film dans un fatras de platitudes.
Bruno Dumont n'a pas à changer, mais il doit se dépasser un peu chaque fois et, là, il est resté dans la facilité.
La bande annonce est excellente avec quelques séquences enthousiasmantes, mais ce sont les seules bonnes séquences du film elles disparaissent dans le film dans un fatras de platitudes.
Bruno Dumont n'a pas à changer, mais il doit se dépasser un peu chaque fois et, là, il est resté dans la facilité.
Film sympa sans grand message, qui héroïse un peu trop complaisamment les "grands reporters".
Un bel "instinct de vie" cependant dans cette bande pour laquelle, selon A Delaporte, la mort ne serait jamais très loin et où seules les grandes causes "valent le coup". On pense, toutes proportions gardées, aux ambiances de "carabins".
Mais, quand ces journalistes rêvent de leur passé héroïque, c'est aussi et surtout sur leur jeunesse ...
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Ce scénario encore original au cinéma (nombre de romans épidémiques ont été publiés depuis le Covid) se concentre avant tout sur une vision individuelle et familiale de la menace, comment rester proche et solidaire de la mère malade...
Romain Duris joue très bien le mari obnubilé par cette vision du problème, mais incapable de recul...
Le film montre certes des réactions collectives de haine/peur de l'autre, mais il n'aborde que bien ...
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Q. Dupieux visait sans doute de nous plonger dans l'univers dalien...
En route vers de joli projet, il se contente de nous décrire le comportement humain "officiel" de cet artiste et un tout petit peu de sa paraonïa extrrraverrtie et de son art de la communication...
Quasiment rien de son univers artistique, de ses créations [sauf l'image furtive et mensongèrement prometteuse au début du film d'un modèle "hydrocéphalisé" posant pour ...
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Film d'action semble-t-il à gros budget. Il serait intéressant de compter les noms figurant au générique...
Sans doute mon premier film de l'univers Marvel (j'avais peut-être vu un SpiderMan). Bien que méconnaissant ce type de film, j'ai été un peu surpris par le rythme plutôt cool des actions.
Dès le départ, l'héroïne reste parfaitement détendue calme et mesurée dans son métier d'ambulancière, sans abus de dérapage et de ...
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Le film donne une image surprenamment nuancée du mode de vie Yéménite : Ahmed est fort loin du macho violent et méprisant, et Isra'a peut défendre avec calme et détermination son point de vue. Les discussions entre époux sont parfois vives mais toujours équilibrées et, quand Ahmed se permet de lever la main sur Isra'a, il est très vite obligé de s'excuser.
Le poids de la religion est certes très important, mais loin d'être absolu ...
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La caméra traduit successivement le ressenti de la mère Minato, de l'instituteur, de Minato lui-même et de la directrice de l'école. Le procédé permet de voir la même histoire, vue selon quatre points de vue antinomiques.
ÇA fonctionne bien ; le passage d'une subjectivité à l'autre -c'est bien de ça qu'il s'agit- fonctionne de façon à la fois claire, compréhensible et sans nuire au rythme du récit, et le spectateur est amené à ...
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Ce voyage Dakar-Mali-Niger-Lybie vers la Sicile est vu à hauteur d'ado, de façon documentée et sans grandiloquence. Tout semble très bien vu :
- la décision de départ prise en catimini, comme relevant de l'air du temps, peut-être un rite de passage vers l'âge adulte, certainement une tentative de prise de responsabilité,
- les remises en cause, les tentations de renoncements, toujours individuelles, contredites par l'importance ...
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Film très féministe, centré sur Zina et Djo, la mère de Zina, Nadia l'avocate et ... Driss un homosexuel ; les rares autres personnages masculins sont tous de vils salops.
L’entrelacs des drames individuels -celui de Zina diffère de celui de Djo-, familiaux -le efforts de la mère de Zina pour la protéger contre son père-, judiciaires et sociétaux- les efforts de l'avocate pour convaincre Zina d'aller en justice- peut perdre un peu le ...
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Salah Issaad donne une piètre image des hommes algériens, tous prédateurs sexuels en puissance (à 3 exceptions près)
Les femmes ne sont guère mieux loties : des mères qui trahissent leur fille, des prostituées ou des maquerelles...
Cette critique en règle de la société algérienne semble placée sous le regard dur de Houari Boumédiène, ce "père la morale" de l'histoire algérienne...
Sans l'amour de Soula pour sa fille -et le ...
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Film fort, dans l'intimité d'un village sénégalais au début du 21ème siècle, avec le conflit entre les hommes machistes "réac" et les femmes plus ouvertes sur une modernité qui leur semble offrir plus de pouvoir.
L'excision est au centre des débats. En prenant parti contre cette pratique en 2004, O Sembène ne fait pas œuvre révolutionnaire, mais participe à un combat qui ne progresse pas assez vite : l'excision est interdite au ...
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2 films pour le prix d'un et, qui plus est, deux films forts différents
D'abord le road-movie truculent de deux minables arnaqueurs qui, au prétexte de recouvrer des créances, plument des pauvres gens, puis l'histoire d'une vengeance amoureuse sous la forme d'un quasi western, dans des décors superbes.
F. Bensaïdi a une façon toute particulière pour filmer les bâtiments, avec des cadrages étonnants qui très expressifs... Ses paysages de ...
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Le film est bien plus subtil que le simple affrontement de la passion amoureuse et des contraintes sociales.
L'amour fusionnel des deux tourtereaux pose bien sûr problème quand il s'oppose aux obligations de chacun vis-à-vis, d'abord, de leur famille puis de la communauté, mais on découvre progressivement ses sombres ressorts et ce qu'il cache.
L'amour fusionnel des deux tourtereaux pose bien sûr problème quand il s'oppose aux obligations de chacun vis-à-vis, d'abord, de leur famille puis de la communauté, mais on découvre progressivement ses sombres ressorts et ce qu'il cache.
Les tensions entre Koffi et sa famille n’apparaissent que très progressivement, et nous les découvrons en même temps que sa compagne Alice, ce qui aide le spectateur européen à mesurer les enjeux.
Baloji parvient à faire un film puissant et poétique, plongeant dans l'univers parfois ''déjanté'' de Ki de la RDC et de Lubumbashi 'vec l'environnement culturel es ot f
Baloji parvient à faire un film puissant et poétique, plongeant dans l'univers parfois ''déjanté'' de Ki de la RDC et de Lubumbashi 'vec l'environnement culturel es ot f
Très belles images du sahel (on pense à "Marcher sur l'eau" de Aïcha Maïga), le "drame" du passage d'une gamine active et libre au statut de jeune fille.
BCAT mais 22 - Visions d'Afrique oct 23
BCAT mais 22 - Visions d'Afrique oct 23
Le quotidien ordinaire mais difficile d'une mère courage de Douala.
On pense à Félicité de A. Gomis, mais Piérette n'a rien du ''charisme'' de Félicité, mais le film fonctionne au moins aussi bien, avec la pression quotidienne qui pèse sur le personnage, son charme et son désir de ''bien faire''…
On pense à Félicité de A. Gomis, mais Piérette n'a rien du ''charisme'' de Félicité, mais le film fonctionne au moins aussi bien, avec la pression quotidienne qui pèse sur le personnage, son charme et son désir de ''bien faire''…
Road movie nocturne de deux pieds nickelés dans Casablanca...
Tension narrative très efficace,
Relations père-fils et ''masculinité'" toxiques
Violence de la ville...
Tension narrative très efficace,
Relations père-fils et ''masculinité'" toxiques
Violence de la ville...