Audrey L
Membre depuis le 4 août 2013
Films
SériesEmissions
Bad Dreams (Come True... On réalise que mis bout-à-bout, ces deux titres résument l'entièreté du film. Wow, trop surréaliste pour nous, on doit rêver) est un petit film de festival ultra mal distribué en France, et dont on ignorait l'existence jusqu'à avant-hier (merci les podcasts de la Team Jumpscare), alors que d'ordinaire on pense racler tout ce qui passe dans ce domaine (chaque jour, une leçon d'humilité). Pour tout avouer, ...
Lire plus
Lire plus
Après Emily, c'est "Omarsy" in Paris. Au début, on croit voir une enquête policière sortie d'un feuilleton France Télévision (même réalisation, flics qui récitent leur texte), tandis les flics français commencent à parler français (normal, direz-vous) puis subitement anglais, alors qu'aucun personnage anglophone n'est arrivé dans la scène (pas normal, direz-vous), et ce, avec un effort surhumain pour certains acteurs (cela tient du ...
Lire plus
Lire plus
Le documentaire qui répond à la série de Ryan Murphy, permet de mettre un peu d'eau dans son vin (série forcément très romancée pour des besoins narratifs, mais qui peut influencer l'opinion public qui la regarde sans se documenter ensuite). La forme est plus que classique, alternant les interviews de différents intervenants (les avocats de la Défense et de chaque garçon, la famille, le psy, etc...), mais ce documentaire dévoile ...
Lire plus
Lire plus
Un couple récupère un gosse pas net, qui aime bien monter sur le lit de la frangine endormie, assez peu habillée, et franchement pas contente de l'apprendre ("J'en ai maaaarre qu'on me reluque le c..."). Le gamin fait aussi du tricycle dans la maison comme Dany de Shining, mais une vilaine chaise se déplace toute seule pour l'empêcher de s'amuser (quelle rabat-joie), il fait aussi tomber un lustre (on est sûr que c'est sa faute... parce ...
Lire plus
Lire plus
On avait croisé ses photos glaçantes dans quelques vieux manuels d'Histoire, sans connaître les coulisses des clichés, aussi incroyables que les sujets qu'ils capturent. Lee Miller, c'est l'histoire des femmes (toutes les femmes) dans la tourmente de la Seconde Guerre Mondiale, avec en prime deux magnifiques twists à la fin, qu'on n'a absolument pas vus venir. Premier objectif de ce magnifique Rolleiflex, dépoussiéré avec un bout de ...
Lire plus
Lire plus
Un remake plan-par-plan du premier film, sans aucun intérêt. Revoyez plutôt le chouette pamphlet contre les Hommes qui pillent la planète, daté de 1978, et qui a déjà tout dit. On se coltine le jeu caricatural de Jim Caviezel, des engueulades en continu (ce qui devient vite gonflant), un propos assez dégueu sur la femme stérile (c'est le motif des disputes et de la séparation du couple, et comme Monsieur en met plein la tête à Madame ...
Lire plus
Lire plus
Un film étonnamment écolo pour les années 70 ! Long Weekend, c'est la revanche (frontale) de la Nature sur les êtres humains qui la salissent, la pillent, la tuent, par pur plaisir de supériorité. On suit donc les mésaventures d'un couple sur le déclin qui, pour raviver la flamme, part en camping dans une zone reculée, réputée immaculée, et l'on découvre assez vite pourquoi... Monsieur aime la chasse aux volatiles, tire sur tout ce ...
Lire plus
Lire plus
QUE JE T'AIMEUH !!! Être prêt à perdre la vie avec son gang pour le regard d'une fille, danser jusqu'à s'époumoner, agripper une inconnue qui ressemble à la fille aimée (et dont la pâle copie n'en est que plus dure pour le cœur), avoir envie de tout envoyer bouler dès que l'on revoit son premier amour, son coup de foudre ultime, celui qui ne s'oublie pas malgré les années et les épreuves de la vie... Gilles Lellouche, on en est ...
Lire plus
Lire plus
Eden Lake est un bon survival, très classique et prude (c'est un des plus softs de ce genre, d'habitude très brutal), mais qui a l'audace de mettre des enfants dans le rôle des méchants agresseurs (un Children of the corn, version forêt). Kelly Reilly et Michael Fassbinder sont bons, les gamins manquent un peu de charisme en revanche (ils ne font pas très peur, mais peut-être est-ce dû aux sévices infligés qui restent finalement timides ...
Lire plus
Lire plus
Visuellement époustouflant (on avait envie de faire des photos de l'écran pour les faire encadrer chez nous), avec un dynamisme agréable, des blagues en bonne quantité et des couleurs qui se rapprochent d'une belle aquarelle (plutôt que de l'animation toute lisse où rien ne dépasse, d'un autre grand studio concurrent), Le Robot Sauvage est une sortie familiale à ne pas rater. DreamWorks, avec Le Chat Potté 2, a compris que les images ...
Lire plus
Lire plus
Vivre, Mourir, Renaître est une ode à l'amour, à la mort, à ce qu'il reste après soi. Voici donc l'histoire d'un jeune homme (Théo Christine, après nous avoir déjà scotché dans Vermines, est au moins aussi flamboyant que sur l'affiche, tirée de celle des Nuits Fauves) qui devrait se consacrer à la vie en couple avec sa fiancée (Lou Lampros, déchirante) mais est perturbé par le magnétisme stupéfiant du voisin de palier (Victor ...
Lire plus
Lire plus
On est descendu d'un cran, niveau effroi et ambiance horrifique : ici, le Mal, c'est une satanée corneille qui pourchasse la tête des gens. Damien - La Malédiction 2 aurait pu s'arrêter avec l'achat d'un casque de moto (la corneille peut picorer, si ça l'amuse), heureusement que les autres "accidents" (pas très impressionnants) sont là pour pimenter un peu l'ambiance horrifique (vraiment très loin de celle du premier film). Une plaque de ...
Lire plus
Lire plus
Un slasher légèrement parodique (il se moque très gentiment des codes du genre, mais sans être vraiment grinçant) qu'on a découvert via le remake récent, qui possède deux suites de 1987 et 1990 et toute une flopée de spin-off du "Massacre Universe" (Marvel avant l'heure...) composé des Sorority House Massacre (deux films) et Cheerleader Massacre (deux films aussi). Pas forcément très connue en France, cette saga se trouve ...
Lire plus
Lire plus
Premièrement : l'affiche n'aurait jamais dû positionner les flingues à cet endroit, on a regardé trop vite, on a cligné des yeux (c'aurait été un tout autre film). Autrement, Georges Clooney et Brad Pitt se font plaisir, entre copains, à se retrouver (encore) dans un partage d'affiche de film d'action, mais contrairement à un Ocean's Eleven ou un Burn After Reading, le film n'a rien d'autre à vendre que les retrouvailles de son binôme ...
Lire plus
Lire plus
I Spit on Your Grave est un pur "rape and revenge movie" (un film d'abus sexuel où la victime va se venger de ses agresseurs), dont l'aspect gore (souvent survendu, on n'est pas tombé de notre fauteuil) est finalement moins choquant que la scène d'abus qui en est à l'origine. Si pour vous le sujet est sensible, soyez attentif au fait que la scène est filmée sans détourner les yeux, pour vous assurer d'en vouloir à mort aux bourreaux par ...
Lire plus
Lire plus
Hommage à Michel Blanc, France 5 rediffuse Je vous trouve très beau, film pour lequel le regretté comédien du Splendid avait été nommé aux Césars (il l'aura en 2012, pour son rôle dans L'Exercice de l’État). Je vous trouve très beau est une petite comédie romantique convenue, gentillette, dont on connaît d'avance tous les ressorts narratifs et qui nous amène sans surprise jusqu'au final, même si l'on ne peut s'empêcher ...
Lire plus
Lire plus
Une épidémie de suicides mystérieuse touche toute la population dès qu'elle ouvre les yeux, obligeant un groupe de survivants à se retrancher dans une maison. Mais à partir de là, comment fuir, se cacher, d'un mal qu'on ne peut pas voir ni toucher ? Bird Box a un très bon concept, un casting impeccable (Sandra Bullock en tête), deux jeunes acteurs ("Fille" et "Garçon") adorables, et un rythme assez soutenu grâce à des flashbacks ...
Lire plus
Lire plus
On a le malheur d'adorer Joker (2018), mais aussi les comédies musicales, Joaquin Phoenix, Lady Gaga... Malheur, car ce Joker 2 s'en sert contre nous à chaque seconde de cette fumisterie qui massacre toutes nos attentes (pas bien grandes, étant dans le public-cible parfait : on cochait toutes les cases...), saccageant totalement le petit bijou qu'était le premier film. Alors, donc, par où commencer, puisque justement, le film ne commence ...
Lire plus
Lire plus
Et Joyeux Noël, les amis ! Quel beau coup de jeune (dans le film) : il y a Tom Savini (Vendredi 13, Zombie, Maniac, Creepshow...) aux trucages et maquillages, et rien que pour cela, ce Terrifier 3 est un beau cadeau de Noël pour tout amateur de prothèses en latex dégoulinantes et de sang rouge clair à foison, le Monsieur n'a rien perdu depuis les années 80. Un autre beau cadeau bien emballé : l'interprétation de David Howard Thornton, qui ...
Lire plus
Lire plus
Megalopolis est éléphantesque, chaotique, ridicule et drôle malgré lui, pour résumer "aussi ignoble que fascinant" : un nanar à gros budget (oui, on ose). On a saigné des yeux devant des effets spéciaux ratés, devant des scènes d'hallucinations qui ressemblent à un bad-trip sous coke du scénariste (on a rigolé comme des baleines, malgré le sérieux du film), devant une continuelle vague de délires qui sont restés des mystères. Il ...
Lire plus
Lire plus
Un petit film australien qui tente de faire la suite du populaire The Reef, mais qui répugne à égratigner la moindre fille à l'eau... On dit bien "filles", car il n'y a dans l'eau salée que cinq copines et une gamine qui barbote dans la zone "où on a pied". Bref, ne craignez pas grand-chose de ce film, la gamine
spoiler:
se fait attaquer à la jambe par le requin mais ressort sans une égratignure ni trop de sang, et les deux ...
Lire plus
Lire plus
"Bichette", ce n'est pas seulement le surnom de 50% de la population mondiale (on a tous la même Mamounette, non ?), c'est aussi la traduction complètement foireuse de "Buffy" dans ce parfait nanar qu'on recommande vraiment en soirée potes-pizzas. Avant sa série-culte, Joss Whedon s'essaye à la tueuse de vampires en format film, et on peut dire que si le film ne déplaît pas, c'est par son côté nanardesque assumé : Buffy est une pouf ...
Lire plus
Lire plus
Un film rég-récif ! Des jeunes gens, un petit bateau, un soleil resplendissant, la mer à perte de vue... Et une une histoire vraie tragique. Le bateau prend la flotte, les jeunes adultes n'ont comme solution que de "rejoindre le récif" ("the reef") pour se mettre à l'abri des requins et être vus des secours, et évidemment un énorme squale se pointe entre le bateau et le récif. The Reef nous met souvent dans un certain embarras, faisant ...
Lire plus
Lire plus
Notre film de catastrophe naturelle préféré, d'une générosité folle. Concrètement, le film fait 1h55, les personnages sont dans la mouise 1h40, et c'est exactement ce qu'on demande. Avec des effets "matériels" (de studios) complètement fous et démesurés (des vaches et des tracteurs volent, des maisons s'effondrent, des explosions à gogo...), dont le producteur exécutif est... Steven Spielberg ("Ah c'est pour ça que c'est bien fait ...
Lire plus
Lire plus
Fallait pas toucher au gosse. Kevin Costner et Robert Duvall sont deux compères cowboys qui ne pensaient pas devoir faire parler d'eux, mettre la pagaille dans un village perdu, devenir les figures de la rébellion contre un Maire tyrannique, celui-là même qui a commandité le passage à tabac du petit mexicain qui accompagnait gentiment les compères, l'affront de départ qui va prendre des proportions démesurées. Open Range utilise bien ...
Lire plus
Lire plus
Pointez-vous à dix minutes de la fin, quand l'héroïne retourne dans l'hôtel, car avant cela, c'est 1h20 de dialogues interminables et de personnages qui se sautent dessus pour se faire peur... Cette gaminerie constante qui est censé nous faire peur ne se mêle pas à d'autres tensions "réelles", on vous résume Innkeepers par "C'est une ado qui fait du porte-à-porte pour interviewer les gens de l'hôtel, qui entend des trucs bizarres dans ...
Lire plus
Lire plus
Un troisième opus nanardesque sur les bords (à voir avec des potes peu regardants), car on pense que la BO a été échangée par inadvertance avec celle d'un tout autre film (la musique n'a aucun rapport avec l'action ou la scène, notamment le rap joyeux qui accompagne l'évasion tragique du héros au début du film), le casting entier semble ne pas comprendre les scènes à jouer (pauvre Kirsten Dunst, qui semble perdue), on a d'emblée ...
Lire plus
Lire plus
Festival de Deauville, la séance qui n'était pas prévue. On s'est fait refouler de toutes les séances, on se caillait gentiment, alors on a demandé "le film où on peut encore rentrer, n'importe lequel, par pitié" (on est vraiment très difficile en choix de films). Et ce fut Terminator. On ne l'avait vu qu'une fois, enfant, et on n'en gardait aucun souvenir (ayant à l'inverse fait tourner pas mal la VHS du deuxième opus), alors quelle ne ...
Lire plus
Lire plus
On préfère cette fin ! On a été agréablement surpris que ce remake change totalement la fin du film original (éponyme), pour en faire un petit moment de fun, bas du front et heureux de l'être. Le film danois était pessimiste et "intello au filtre grisâtre" (il se compte dans les "elevated-horror", soit les conducteurs de Tesla du genre horrifique), le remake américain est optimiste et débile. Devinez lequel on préfère. Si vous faites ...
Lire plus
Lire plus
Pretty Woman contre les gros nuls de la mafia russe. Une version du classique de la comédie romantique qu'on ne pensait pas voir (si ce n'est dans un film de série Z), encore moins se présenter au Festival de Cannes, et repartir avec la Palme d'Or. Mais que s'est-il passé ? Deux mots : Sean Baker. Grand habitué des festivals, le trublion revient encore une fois avec une comédie de mœurs pop, décalée, toujours surprenante, qui égratigne ...
Lire plus
Lire plus
Et joyeux Halloween ! C'est chaque année plus tôt (comme les pubs de Noël, non ?), et ce film d'Halloween (il se passe durant la fête des citrouilles et nez crochus) a débarqué au mois de juillet, où il a logiquement floppé en beauté (il n'a attiré que 164 000 paires de tongs). Mais on est persuadé qu'avec une bonne date de sortie à la mi-octobre, et plus de promo (il s'adresse aux ados, il y a Antony Starr - la vedette de The Boys - ...
Lire plus
Lire plus
Error 404, on a bugué. Quand l'IA s'appelle Aia dans le scénario (traduction phonétique du "IA" à l'anglaise), cela donne un film où l'on a l'impression que les personnages fuient le dernier album de la chanteuse, en claquant des portes alors qu'ils savent qu'elle peut les rouvrir aussitôt (ferme la porte, t'as la pookie dans l'sas). On a affaire à un conglomérat d'intellos, donc. Mais si l'on prend en compte la flopée de films et ...
Lire plus
Lire plus
Weed 'n Nightmare... Zoë Kravitz a une réalisation assurée, étonnante, vraiment très propre pour un premier film ! De moins en moins la "fille de", car elle se donne du mal pour sortir du patronyme de Papa, elle nous livre ici un thriller psychologique dur (attention à celles et ceux qui sont sensibles aux violences sexuelles), mais drôle à la fois, constellé de stars au casting (Naomi Ackie tient tête à Channing Tatum, Christian ...
Lire plus
Lire plus
Ça nous mortifie de ne pas adorer ce Beetlejuice Beetlejuice, alors qu'on voit combien Burton s'est fait plaisir (le bébé "Braindead" : Papy Burton s'éclate), met de bonnes intentions, un cœur palpitant dans un film de producteurs autrement cadavérique. Ce second opus refait quasiment à l'identique ce que l'on a retenu du premier, comme si les producteurs nous tendaient une check-list, en nous disant : "Tu as vu, il y a la ...
Lire plus
Lire plus
Tu t'enfuis une fois, c'est le fer rouge. Deux fois, c'est la découpe des oreilles et jarrets. Trois fois, la mort. Une esclave des champs de coton tente le tout pour le tout, et se fait la Belle, direction une vallée utopique où l'on vivrait en liberté...mais voilà que le colon (Benoît Magimel) s'en aperçoit, et lance à sa poursuite le père de l'évadée (Ibrahima Mbaye Tchie, qui surclasse tous les grands noms français au casting), ...
Lire plus
Lire plus
Oui, les deux garçons sont mignons, et jouent vraiment bien. On pourrait arrêter cette critique là, car We Grown Now est plus qu'oubliable de par ses sujets vus et revus (les amis de toujours qui vont être spoiler: séparés
par la conjecture économique, les gamins qui s'amusent avec ce qu'ils trouvent dans leur quartier défavorisé, la dénonciation des descentes de police très brutales dans les logements sociaux...), accusant ...
Lire plus
Lire plus