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Un bon divertissement assez classique qui se différencie peut-être par un casting étincelant. À regarder si on recherche quelque chose de léger, sans prise de tête et avec des gags sympathiques.
Comme un air de déjà vu dans la réalisation, la fadeur des personnages principaux et le scénario. L'intérêt du film réside principalement dans le thème abordé mais qui, lui aussi, a un air de déjà vu (Ex : The escape). Malgré tout, on peut se laisser porter par certains jolis plans tout en poésie.
Très agréable surprise! L'esthétique pop vintage est un régal pour les yeux et s'associe parfaitement avec les personnages et dialogues décalés. Rien de bien original dans le scénario et le final mais on se laisse tranquillement porter.
Malgré le budget et le casting 5 étoiles, le scénario est trop simpliste et incohérent. Les chorégraphies ne sont pas esthétiques et il a visiblement manqué d'entraînement pour les actrices qui n'ont aucune crédibilité dans le maniement des armes ou le combat. Ça reste un divertissement à regarder pour passer le temps.
Un film original très beau et très bien réalisé avec un casting et une bande originale impeccable. Mais... on reste quand même avec ce sentiment d'ennui et cette indifférence qu'on a presque honte de ressentir tant il n'y a rien à reprocher à ce film.
Un humour décalé qui ne plaira certes pas à tout le monde mais qui est fin et parfaitement amené tout au long du film. Les quelques extraits drôlissimes des bandes-annonces ne sont qu'un aperçu de ce qu'offre le casting au top. On ne s'ennuie pas un seul instant même si on se demande souvent "jusqu'où ça va encore aller?".
Souvent comparé à John Wick, Bloody milkshake ne lui arrive malheureusement pas à la cheville. Malgré beaucoup de similitudes, un casting inclusif, une ambiance féministe et quelques touches humoristiques, ce film n'est qu'une pâle copie ratée de tout ce qu'on peut voir depuis une décennie. Les chorégraphies sont irréalistes et sans esthétisme, le jeu d'acteur est moyen voire médiocre pour Karen Gillian et le scénario tiendrait en 5 mots.
Comme tous les films de Maïwenn, ADN est émotionnellement poignant et offre à tous les acteurs/trices un rôle sublime.
Si on enlève les millions utilisés pour les effets spéciaux qui nous donnent l'impression d'être dans une machine à laver en marche, on est face à... Un film nul. Donc si on prend en compte les effets spéciaux qui donnent mal au crâne, on a un film nul aussi.
Un jeu d'acteur surfait mais on s'y habitue rapidement, il finit par faire partie de la grandiloquence du film. Une intrigue bien ficelée qui amène des surprises à chaque séquence. Sur le moment certaines scènes peuvent être un peu longuettes mais à la réflexion, elles forment un tout poétique.
Une très belle brochette d'actrices et des clins d'oeil aux autres Ocean's ne sont malheureusement pas suffisants à faire de ce film un chef-d'œuvre. Le scénario est tiré par les cheveux et ressemble à une parodie de série US de ces dernières années.
Une belle tranche de vie ternie par un rythme lent caractéristique du genre japonais. Les personnages sont lisses et il est difficile d'éprouver de l'empathie et de l'attachement.
On s'attend à un film mielleux et larmoyant suivant tous les codes du genre et en fait, on est très agréablement surpris. Outre une Gemma Arterton splendide et déchirante dans l'ennui d'une vie, le scénario est plutôt bien ficelé malgré quelques erreurs (Ex: Jalil Lespert, vraie fausse note du film). On vous prend par le tripes et on vous entraîne dans cette suffocation que vit l'héroïne jusqu'au dénouement final, subtil, beau et tout ...
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L'humour cynique et noir de Georges Clooney dans toute sa splendeur. On retrouve malgré tout un peu trop la patte des frères Cohen, du déjà vu chez Clooney, un brin de lassitude.
Un film esthétiquement très beau, un scénario poétique mais une réalisation bien trop lente et soporifique, à l'instar du duo d'acteurs principaux.
Touchant, émouvant, triste et surtout extrêmement drôle. Le casting est excellent, tous les personnages sont justes et à leur place, aucune scène n'est superflue. Cécile de France est belle, comme toujours, et on regrette presque de la voir si peu à l'écran.
Comme tous les blockbusters du moment, le scénario est plutôt pauvre et prévisible mais on en met plein la vue au spectateur à coups d'effets spéciaux à tout va et d'acteurs jeunes et bankables. On retrouve quand même la patte de Luc Besson par-ci par-là et ça dans l'humour, les clins d'oeil, certaines thématiques, etc.
En résumé, Valérian se regarde.
En résumé, Valérian se regarde.
On s'attend à une parodie de parodie médiocre et on se retrouve finalement devant un film plutôt drôle. Les personnages sont bien évidemment d'un cliché absolu mais c'est volontaire et ça contribue à cette ambiance d'autodérision. En résumé, c'est une belle surprise.
Le film de trop. Pas de scénario, pas de suspense, pas de péripéties, un final à mourir de rire. C'était bien à prévoir avec le retour de tous ces vilains, la venue de nouveaux héros, etc. On est quand même nostalgique de retrouver l'humour de Jack Sparrow.
Marine Vacth est resplendissante comme d'habitude. Son innocence tirée, étirée et déchirée finit par ennuyer le spectateur. François Ozon essaie de nous perdre dans un jeu de miroirs mais ne réussit qu'à agacer tant il ajoute couche d'illusion sur couche d'illusion.
On s'attend à aussi bien que le premier volet et on y va avec appréhension, par peur d'être déçue. Et finalement, tout en innovant, ce Gardiens de la galaxie fait autant rire si ce n'est davantage et décape comme le précédent.
Drôle, attendrissant, loufoque, dynamique. Petits et grands y trouveront leur moment de bonheur dans ce dessin animé au scénario absolument tiré par les cheveux.
Enfin un film de super-héros avec un scénario, des personnages qui nous réveillent, et de l'émotion. On est loin du film sensation à gros budget qui explose et pète de partout. Peu d'images de synthèse ici, Logan est rugueux, vrai, dur. Finalement, on ne sait plus s'il s'agit d'un drame ou d'un film d'action.
Malgré le jeu très moyen de Doria Tillier, on ressent une véritable complicité entre les deux protagonistes qui donne un peps tout au long du film. On adore suivre les Adelman, rire et pleurer avec eux, aimer et haïr. C'est ça la passion dans un couple, c'est ça l'amour. Scénario un peu attendu mais très belle réalisation et des dialogues percutants et piquants.
Quelle beauté. On tombe amoureuse de Romain Duris en même temps que Marine Vacth. L'amour est sublimé à travers les mots, les regards et les souffles. Les plans du réalisateur sont parfaits pour capter le meilleur des deux acteurs principaux.
Même ambiance, mêmes blagues, même naïveté et même délire que les deux Babysitting. Pas de grande surprise ni dans l'intrigue ni dans le reste mais on retrouve toute la bande avec une certaine affection.
La la land est un véritable chef-d'œuvre pour les yeux, pour les oreilles, pour le cœur et pour les tripes. Il vous fait aimer le jazz, le LA romancé et la beauté des passions volatiles. Après le final de Whiplash, il était difficile pour Damien Chazelle de faire mieux. Et pourtant, il a réussi.
Rien de plus qu'une banale histoire d'amour dans l'espace. Et pourtant, le duo Lawrence et Pratt fonctionne du tonnerre, au point de donner un niveau supplémentaire au film. On explore ce qu'il faut le côté psychologique des personnages, pile poil pour nous rassasier.
Un beau conte avec tous les ingrédients pour en être un réussi : l'humour, la quête du héros, des personnages plus qu'attachants, les vilains, etc. On pourrait peut-être reprocher à Kubo d'avoir une bande-son trop peu fournie.
Une vraie poésie en images, racontée, vécue, subie par un Casey Affleck fidèle à lui-même et à son jeu d'acteur très morne. On culpabilise presque de trouver de la beauté là où il ne devrait pas y en avoir et c'est bien là la prouesse du réalisateur. Le scénario est terre à terre et n'épargne pas le spectateur, on reste accroché au film jusqu'à la dernière seconde.
Très poétique, certes, tant au niveau de la bande-son que des plans ou des acteurs, mais plat. À la fin du film, on se questionne un peu sur ce que le réalisateur a voulu faire, sur ce qu'il voulait raconter. Finalement peu importe le scénario, la mise en scene ne captive pas assez.
Bien meilleur que le dernier Star wars, Rogue one est une réelle surprise. On retrouve bien évidemment quelques clins d'œil qui raviront les fans mais aussi quelques scènes un peu trop clichées et mielleuses qui décevront. Malgré tout, le scénario tient la route, les effets spéciaux sont top et le casting marche.
Une très bonne intro au film et un final qui malheureusement rappelle trop la patte de la bande de Seth Rogen. Entre les deux, on trouve de tout: des blagues grasses faciles et déjà vues, des blagues grasses drôles et osées, du sarcasme et de la caricature pile poil ce qu'il faut dans le contexte géopolitique actuel. En résumé: plutôt une bonne surprise avec un scénario assez original.
Avec la prestation exceptionnelle d'Emily Blunt, La fille du train nous tient en haleine pendant 2h sans aucune coupure dans le rythme. On a beau revoir certaines scènes plusieurs fois du point de vue de chaque protagoniste, le suspense est total quant à l'identité du meurtrier. Les indices tombent un à un jusqu'au dénouement final, peut-être prévisible mais tellement bien ficelé.
Chaque film de Xavier Dolan est comme retrouver un amour de jeunesse pendant un instant qu'on sait trop bref. Il était difficile de faire mieux que Mommy et Juste la fin du monde ne l'est pas. Il fait l'exploit d'être aussi bon mais différent, bien qu'on retrouve des effets chers au réalisateur. Au final, la trame de départ se perd et on finit par ne même plus savoir pourquoi cette famille se réunit tant le casting est excellent et nous ...
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Malgré une lenteur tout au long du film laissant le spectateur accroché au moindre espoir de pétillement, Frantz arrive à transmettre ce mal-être qui poursuit chaque personnage. L'attente de l'amour et du mieux est latent et on l'attend. Paula Beer envahit l'écran, elle éclipse le pauvre Pierre Niney mal dans son rôle et occupe nos yeux autant que le claquement de ses talons fait écho dans nos oreilles.