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On pensait assister à une renaissance mais ce voyage déçoit, telle une plongée dans un paquet de pop-corn déjà vide avant le générique de début, trop vite rassasié et déçu. Tandis qu'on embarque avec le mythique comte abord du Demeter, sans grande chance de retour, on subit des attaques répétitives sans jamais combattre avec ingéniosité le mal. Moins surprenant que ses précédents films, le réalisateur norvégien réussit à ...
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Une adaptation française d'un fait peu commun qui s'est deroulé en Suède et qui fait la part belle aux rencontres insolites, établi habilement les aspirations de chacun tout en faisant grandir les personnages. Une comédie dramatique qui nous fait passer un bon moment mais dont le rythme peut aussi fragiliser.
Référence HK incontestable, certaines séquences pourraient aujourd'hui sembler un peu désuètes, telle cette séquence de micro caché ou de pensement abandonnée maladroitement. Le Samouraï construit malgré tout un personnage implacable, en la personne de Jef Costello, capable de séduire le public par sa discipline et son charisme. Maintes fois inspirant, Maintes fois repris, égalé voir aujourd'hui naturellement surpassé, devant la ...
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Étonnante suite, décalée dans le temps et avec son temps, loin d'attirer de nouveau son public ni même savoir alpaguer un public nouveau; Une suite qui disons le... arrive comme un cheveux sur une soupe thaï. Sharon Stone laisse sa place pour une autre star internationale et l'action même au rendez-vous ne sauve pas cette intrigue très sommaire et peu éligible à relancer l'ensemble.
Avec beaucoup de simplicité dans les situations et les dialogues, l'interprétation pertinente et chaleureuse au sein de cette maison de campagne, permet d'aborder un thème qui plaît toujours autant, les relations sincères entre potes avec une justesse appréciable.
Avec trente ans de moins et tout de même pas mal d'embarras malgré tout, ce film pourrait devenir pour ma part, un petit objet culte. Film d'une génération, peu responsable, mais après tout...
C'est étonnant, cette dramaturgie autour du mauvais goût. Une critique peu constructive et surtout peu divertissante étonnement. Pour une fois, je n'adhère pas.
De nouveau entre les mains de J. Cameron, de gros doutes ressortent pourtant de cette monture à peine renouvellée. Bien qu'en-soit les acteurs d'origines pourraient venir à nous manquer, sommes nous seuls responsables de l'impossibilité pour cette franchise de définitivement classer Papy Hors-Service? Boite de conserve autrefois impénétrable, renfermant une mécanique complexe et calibrée pour la réflexion et le pur spectacle, ...
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Un souvenir d'enfance pour redonner espoir, pour mieux effacer les soucis du quotidien de cette famille recomposée et une décision radicale... partir en vacances pour se reconstruire. On attend impatiemment le happy end. Tout y est Mignon, convenu et sans grand défaut, ni même grandes qualités. Ces Hennedricks chantent faux et alors... ils donnent du plaisir.
Les mamans ont du répondant. Les chansons sont perspicaces mais le contenu reste finalement très gentillet malgré la sympathie des trois familles. C'est mignon.
Film d'une génération sous la houlette d'un Kevin Williamson qui continu de se forger un nom et délaisse pour l'occasion le slasher teenager qui a fait sa réputation, pour une ambiance invasion fun et décomplexée. Roberto Rodriguez lâche également son registre habituel pour son premier film de commande; Sans fausse note, il prend un nouvel élan dans sa filmo qui provoquera sans doute d'autres choix de carrière osés et colorés sous sa ...
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Malgré ses grandes qualités, Moana premier du nom, laissait malencontreusement une fin sans réel développement possible et si on constate rapidement que cette suite rame à explorer de nouveaux les océans avec une structure, hélas, très identique... on respire d'un souffle nouveau avec une fin enfin ouverte et épique laissant place à des suites dorénavant très attendues.
Sans trop d'excès et parce qu'Arnaud Ducret est au devant de cette comédie pour laquelle Michaël Youn laisse sa place, on rigole souvent à gorge déployée.
Un sujet social, politique ou juste personnel entre les mains d'un personnage en confinement personnel; Ancien instituteur qui ne trouvait plus de légitimité en son travail, il prend sous son aile un jeune rom. Prêt à tous les sacrifice pour lui faire prendre le droit chemin, par l'apprentissage des mots. Il n'y a pas l'inattendu proposition. Ça en devient ennuyeux.
Si la majeur partie des chansons ne font pas avancer l'histoire, il faut attendre le voyage pour que certaines prennent tout leur sens et remplissent enfin leur mission première; Résumer une vive émotion, par la plus vive animation, laissant alors un air se fredonner dans notre tête, épousant le récit, tout en évitant les monologues barbants. Enfin, il y a aussi une quête familiale qui est longue à se mettre en place; D'ailleurs le ...
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Un ton léger, des têtes sympathiques et une critique du système pour glandeurs confirmés. Pas dans les priorités à mater, ni même un manque à ne pas être visionner, pourtant un moment plutôt sympa et une équipe à encourager pour un déroulé qui a une certaine tenue.
De mémoire de gamer, après la découverte de l'arche à la fin de l'acte Un, sans même en connaître les deux suites, le jeu vidéo Borderland restait encore à ce jour un merveilleux centre de défouloir avec un univers unique, parfois déstabilisant par le nombre de ses sommités, mais avant tout bien coloré et fun. Avant de se plonger autrement dans les difficultés d'une telle adaptation, réalisée de façon très impersonnelle par Eli ...
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Sans s'attarder sur le moindre lien avec la version 96, Twisters déferle sur le cinéma pour y faire place nette. Les effets son top, bien qu'on observe parfois des nuages semblant être gribouillés au dessus de nos têtes, pour autant on est clairement présent au cœur de cette tornade qui sent bon le gros spectacle hollywoodien; Avec rien de moins qu'un récit sans argument, autre que la satisfaction de nous y voir...soufflé.
Agrippé à tout ce qui nous entoure, on ressort conquis, ereinté, sans doute soulagé d'avoir vécu l'expérience Fall.
C'est gras, sale et ça pue, sorte de vieux cabot du cinéma américain qu'on aimerait cacher sous la table, mais qu'on aime trop pour ne pas le présenter. Strays conseillé aux Ado pas moins, entendez-le, est une franche leçon de vie et une belle errance d'un soir.
Sans rien espérer de plus dans une nouvelle suite, avec un épisode 2 qui semblait en avoir déjà trop dit, ce Jour Un s'ouvre sur l'arrivée de la forme extraterrestre sur Terre et se développe judicieusement avec les perigrinations de deux individus, l'une sans espoir sur la vie, l'autre pétrifié par ses peurs; Tous deux vont apprendre à se connaître et se soutenir l'un et l'autre pour arriver à leur fin. Ce cheminement est intéressant ...
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Suite directe du premier opus, on garde le tempo mais on diversifie le décors. Fini donc le terrain vague et sa base militaire plutôt limitée; Ici, on passe la seconde et on multiplie les zones sombres pour jouer pleinement du concept plan séquence. One More Shot dépasse largement les attentes. Le danger est partout, dans chaque recoin, il suffit de constater le résultat avec la séquence des galleries souterraines. Vraiment bien ...
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Moins surprenant et plus surnaturel encore, ce second opus enchaîne les atrocités gélatineuses sur une durée quelques peu insistante, mais il rempli généreusement ses objectifs. On est ravi de retrouver le personnage d'Art, devenu immédiatement culte dès son entrée en scène, tel un bon Kruger. Le côté mystique, affiliation et Xena la guerrière laissent dubitatif mais on sera heureux de retrouver le slasher dans une suite un peu moins bancale.
Cette suite ajoute un personnage animé connu, le vautour, ce qui nous mène à une animation deux fois plus ingrate. La production se contente de peu, malgré l'étiquette Netflix, mais les yeux moins aguerris seront plutôt consentant face à la découverte d'un personnage devenu en liveaction... totalement exaspérant.
Ça ne tient pas la route mais est-ce vraiment le seul problème ? Les jeux ne sont plus aussi machiavéliques et pourtant avant de passer le relais, on a connu John plus inspirés, surtout si on considère cet épisode comme étant le 1.5. Amanda vient lui porter main forte et malgré que son interprète ne soit plus si Young que ça, vous m'excuserez du jeu de mot, on peut assurément prétendre que c'est le point le plus positif de ce nouvel ...
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Eddie Murphy se retrouve encadré pour l'occasion d'une sympathique ribambelle de jeunes acteurs qu'on a, par la suite, eu plus de plaisir à retrouver que lui; Malgré le fait qu'ici, la tête d'affiche tienne pourtant parfaitement ce rôle de tombeur, pris à son propre jeu. Boomerang, très déprécier déjà à l'époque, reste malgré tout un objet assez unique, d'un humour très cucul ou trop porté cul, maid qui compile un ensemble de ...
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17 ans d'une saga qui n'en fini plus et qui semblait pourtant, au départ, improbable à porter sur grand écran avant ce premier opus Live plutôt rassembleur, faut-il le reconnaître. Hasbro se frotte d'ailleurs encore les mains d'avoir pu trouver M.Bay sur son chemin. Un passionné plus passionné encore que les fanas de la franchise; Mais qui nous a pourtant perdu depuis sa première trilogie. Un gosse qui continu de jouer à ce jour même en ...
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Un retour presque inespéré; Après une retraite légitime annoncée, une équipe remplaçante déjà en place et un chef de service effacé, tout semblait propice à un renouveau côté Bad Boys; Pourtant l'intrigue suit. On ne parle d'ailleurs plus du tout de retraite et ce n'est pas l'absence d'une actrice ou les quelques déboirs d'une gifle qui saurait ralentir cette production qui n'a plus de temps à perdre. Toujours en service donc dans ...
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Une intrigue qui tourne en rond... dans une voiture qui plus est. On a l'étrange impression d'être le chien assis à l'arrière. On s'ennuie ferme et la relation entre l'homme et l'animal manque étrangement... pour le genre. Sans émotions, ni suspens, Muzzle ne marquera pas les esprits.
Une candide réalisation, semblant bridée mais jamais paresseuse, qui reprend les commandes de la franchise avec pudeur et retenue. Tout en gratitude pour leur producteur, Adil & Bilall, contemplent d'admiration les deux quinquagénaires enfin réunis. Sans destruction outrancière, l'humour colle parfaitement au premier volet. L'action se renouvelle enfin et le décors reste bien à Miami; Un Miami ensoleillé et coloré. La conclusion de ...
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Contre toute attente, Pierre Niney endosse parfaitement le rôle à travers cette période décrite et il n'est pas le seul à briller, surtout dans la jeune génération. L'écriture est également moderne, pour une production qui a résolument une classe folle et qui n'a rien a envier aux prod outre-Atlantique. Depuis Les Mousquetaires, on a véritablement plaisir à la relecture filmique de nos romans.
Avec ces intrigues parallèles qui finissent par se rencontrer dans un final en échos à l'affrontement de ses peurs, ce dessin animés ravira toute la famille, avec des personnages haut en couleurs et ce voyage qui ne perd pas en rythme.
Un divertissement sur un budget très resseré, loin des grosses productions attendues dans le genre. L'esprit est pourtant là et l'intrigue se suit aisément avec toute la petite famille. On retrouve les personnages du jeu, mais malheureusement dans une toute petite boîte en carton, quelques rires; Finalement pour un dimanche après midi, sur la durée, ça passera bien.
Un regain d'existance découle de ce duel, de cette lutte pour échapper à son assaillant. Le propos est là et le suspens tout autant. Le casting fonctionne plutôt bien et avec ces allures de film d'un soir, on gardera sans aucun doute des images de cette production soutenue par Sam Raimi.
Timo Tjahjanto se perd en cabotinage. Avec une deuxième partie prétentieuse, perdant progressivement de sa simplicité et surtout pleine d'esbroufes dans ses artifices - avec Water Gel, pétarades et câbles bien peu discrets - on en oublierai presque une première partie inspirée, alléchante et électrisante, de passage par le Japon jusqu'à des séquences plutôt émouvantes qui fonctionnent parfaitement. The Night Comes For Us (2018) ...
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Plutôt pertinent, ce nouveau départ créé un pléthor de situations ubuesques, suffisamment modérées et consciencieuses, toutefois, pour rester rationnel.