black B.
Membre depuis le 25 août 2012
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J'en sors un peu mitigé, le film est centré sur l'année 1957 est plus particulièrement sur la vie personnelle de Enzo Ferrari (ainsi que le fameux accident de Mille miglia).
Si le script se concentre sur sa vie sentimentale et ses déboires de successions, on ne peut pas nier que les quelques séquences de voitures sont impressionnantes, mais elles en deviennent presque anecdotique car on est en realité clairement devant un drame, plus ...
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Ouch, La tête dans les étoiles nous rappelle qu'un empilement de scènes ne fait pas un film. On dirait un enfant qui découvre le mode vidéo sur son premier téléphone. Les acteurs eux même ne savent pas ce qu'ils sont venu faire dans cette galère hormis Jemili qui se complet aisément dans son jeu inexistant.
Maintenant les points négatifs expulsés on peut passer au positif: Vous pouvez résilier votre abonnement Prime vidéo et ...
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Une première partie maitrisée qui tire sa force par un 8 clos poussé à l'extrême reposant exclusivement sur la prestation de mel Gibson et le principe du 'don't show'. Puis vient la seconde partie, beaucoup plus générique, comme on a pu en voir dans une ribambelle de films, le classique jeux du chat et de la souris, et la on redescend nettement d'un cran.
Enfin vient la resolution, et là c'est le drame, Romuald Boulanger nous montre ...
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Outre le synopsis erroné, le film est assez mauvais, scénographiquement moche et simpliste, vide d’intérêt, et est doté d'une direction pour le moins bancale.
Mention spéciale à la scène finale, où les jeux de regards m'auront bien fait rire tant c'était aléatoire.
Je ne reviendrais pas sur la scène 'choquante', je suis pas de ceux qui crient au scandale a la moindre incartade, mais ici je trouve ca plutôt de mauvais gout, ...
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Un film appréciable surtout dans son premier acte, mais avec deux gros problèmes : une fin incroyablement ratée, et une propagande metoo qui vient d'autant plus plomber le film. Dommage de partir si bien pour se perdre complètement en route...
La première partie qui met en avant un vrai problème qui est l’insécurité des femmes est beaucoup plus fine, et efficace. Puis rapidement tout tombe dans le cliché, autant le fond **tous les ...
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Un peu décu par Hazanavicius ce coup ci, peut d'intérêt si on a vu l'original, toute l'astuce passe a la trappe, et quand le film se tente à renouveller quelques aspects, ce n'est jamais sans atteindre l'ingeniosité du premier. Du coup pourquoi ? Je suis aller le voir en me posant la question, j'en ressors sans en connaître la réponse.. 2.5/5
Une demi deception.
Pour ceux qui n'ont pas vue la série, il y a pas mal de clins d’œil qu'ils vont rater, mais a
contrario on nous tease certains éléments qui, si on a déjà vue la série empêche tout suspense. Un jonglage difficile pour essayer de plaire a tout le monde, mais ici le film s'en sort pas trop mal.
L'histoire est un genre de stand alone, mais scénaristiquement assez peu fouillée, gagner en épaisseur n'aurait pas fait de ...
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Mad God nous plonge dans un univers où le sang est un trésor, où l'enfer gouverne le monde et la violence le pétrole qui le fait tourner. Outre ses prouesses techniques constantes, et ses décors incroyables, ce qui fait la particularité de Mad God, c'est bien sa proposition cinématographique. L’œuvre visite des terrains et des émotions que le cinéma ne cherche même plus à effleurer. Elle n'est clairement pas exempt de défaut, et ...
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Bodies propose quelques moments sympa, mais est noyé dans une hystérie permanente, parfois insupportable, des écervelés hurlant en boucle et en boucle dans des scènes bien trop longue surtout quand tu en a deviné rapidement l'issue.
En parlant de deviner l'issue, j'ai, et c'est rare douté de la fin jusqu'à plus de 3 quarts du film, mais pas vraiment parceque c'est bien écrit, au contraire, plutôt parceque la conclusion est ...
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Extrêmement classique, de plus les outils scénaristique sont beaucoup trop visible, comme les gamines de l'école, qui n'ont a chaque fois qu'une seule utilité puis on les bazarde aussitôt. Éplucher toutes les couches de l'histoire, et n'en retirer que le noyau, dans l'objectif d’approfondir l'ambiance et la relation fille mère pourquoi pas, sauf que même là ça ne prend jamais vraiment.. Pas grand chose a en tirer 2/5
Une grosse claque, Escape from Mogadishu se tient fermement sur ses pieds de bout en bout malgré le challenge de mêler différents genres. Si le film ne s'épargne pas quelques petits écueils notamment en expédiant un peu trop facilement tout ce qui l'éloigne de son sujet principal, ce qu'il fait il le fait avec une nervosité tangible. La mise en scène est généreuse, sans parler du travail autour de l'ambiance et des décors, parfois ...
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La jeune moitié de Mel Gibson passe pour la première fois derrière la caméra, et c'est clairement un bon début. Si le film n'est pas exempt de défauts, notamment la faute à quelques redondances, l'évolution du personnage interprété efficacement par Mark Wahlberg nous tient en haleine sans problème. 3.5/5
Vu deux fois de mon coté en quelques jours, je ne peux que le recommander. Une vraie claque. L'auteur propose quelque chose qu'on ne voit jamais, que l'on aime ou pas, il faut lui donner ca. Par contre c'est à regarder au cinéma et en VO pour le coup, sinon vous passez a coté de beaucoup de chose, notamment d'une bande son incroyable.
Une partie de la BO, est produite avec des instruments typique, et l'ambiance sonore est juste folle tant ...
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Le film apporte quelques bonnes idées, toujours aussi méta, on a de quoi lire entre les lignes, entre références et critiques parfois drôle du genre(la feinte de la porte 4 fois d'affilée ma bien fait rire).
Malheuresement tout se noie dans un tas d'incohérence, notemment a l'hôpital, sans parler du casting médiocre, accompagné d'ancien présent uniquement pour faire de la figuration.
Ça se regarde et ça s'oublie. 2.5/5
Malheuresement tout se noie dans un tas d'incohérence, notemment a l'hôpital, sans parler du casting médiocre, accompagné d'ancien présent uniquement pour faire de la figuration.
Ça se regarde et ça s'oublie. 2.5/5
Un bon pitch de départ et quelques bonnes scènes mais l'incapacité totale des scénaristes a dérouler le fil de l'intrigue correctement est spectaculaire. Et le fait que ce soit une adaptation n'a visiblement pas aidé plus que ça les deux inséparables du scénario raté.
Le film passe a côté de ses idées, et ne se donne pas les moyens de les exploiter, le tout est couplé aux réactions incompréhensible des personnages à plusieurs ...
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Compliqué de faire un film qui ressemble a quelque chose, quand tu essaie de cocher absolument tous les sujets woke.. Ca se confirme ici, le film qui se veut pro féminisme, pro lgbt, anti patriarcat et j'en pense, nous sert au final une soupe particulièrement indigeste, caricaturale, confusionniste, offensante et stérile à la fois. A ranger délicatement dans la poubelle. 1/5
Une très belle expérience, Anthony Burns est un de ces rares réalisateurs, à appliquer un contrôle complet autour de ses films. Réalisation, composition, scénario, montage etc..
Ici ca lui réussi parfaitement bien, Bad Dreams est une petite pépite, et les visuels uniques et la bande son particulièrement réussie vous porteront tout du long, et vous aideront a surmonter facilement les quelques longueurs qui peuvent parfois se faire ...
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Reprend toute la structure d'un film de maison hantée classique, classique de chez classique, évènement louche -> un parent convaincu; l'autre qui nie -> l'expert extérieur à la famille qui leur apporte conseil --> puis le dénouement.
Si le film n'apporte rien de neuf sur le scénario, en se mouvant tel un film d'horreur, son vrai problème, et qu'il n'est pas un film d'horreur!
Il n'est que l'importation d'extra terrestre, en ...
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Nobody planterait il le décor pour la relève de John Wick ? Oui et non, si on reconnait l'écriture appliquée et les scènes d'action jouissives et originales à la John Wick, l'univers manque quand même nettement de profondeur face a ce dernier.
Coté réalisation c'est le même topo, Naishuller tente des choses et ça fonctionne la plupart du temps il faut le dire, mais cela reste néanmoins moins fouillé que Stahelski. Quand a l'acting ...
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Considéré comme premier film véritablement Hitchcockien, The Lodger en prend effectivement tous les traits. Si le jardin du plaisir commençait déjà à montrer ses intentions, ici elles prennent tout leur sens, le fond la forme et l'expressionnisme qui l'a tant marqué commence à faire surface.
The Lodger n'est clairement pas son meilleur film, mais il est sa porte d'entrée vers ce qui fera sa renommé plus tard.. A voir donc pour les ...
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Halloween dégouline d'idée dès les premières minutes. Si John Carpenter continue d'utiliser l'imagination des téléspectateurs comme dans ses précédents films ; Assaut, où l'on ne voit quasiment jamais les assaillants, et où les corps disparaissent, et Meurtre au 43ème étage, où le psychopathe surveille sa victime a distance sans presque jamais se montrer (il y a d'ailleurs un gros clin d'oeil dans Halloween), ici Big John pousse le ...
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Bruce Willis 75 ans, chirurgien le jour, justicier la nuit, et danseur de claquette entre les 2.
Après avoir perdu sa famille dans un cambriolage (originalité quand tu nous tiens), notre Bruce tout puissant ne va pas hésiter longtemps entre continuer a sauver des vies, et commencer à les ôter.
Au delà de l'histoire habituel, le film s'en sort plutôt bien en évitant de tomber dans la surenchère perpétuelle, et s'accroche a un scénario ...
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Un brin original, dans Relic la maison du drame reflétera le déclin de l'esprit de la pauvre femme qui y habite. Rongé par la vieillesse, les déficits amnésiques et les démons qui s'en nourrissent, Edna n'est plus que l'ombre d'elle même, et cette ombre va recouvrir tout ce qui s'en approche : sa demeure, sa fille et sa petite fille.
Malheuresement au final, si on retire cette idée de fond et quelques plans bien trouvés, notamment le ...
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Réalisé par le francais Julius Berg, The owners se révèle malheureusement très classique, voir trop classique, le résultat en est qu'il faut par moment s'accrocher pour ne pas abandonner. Mais au final ce qu'il fait il le fait plutôt bien, la mise en scène est travaillée, l'acting est particulièrement bon, et le film évite de tomber dans la facilité ou la violence gratuite, globalement en tout cas. Un petit thriller d'épouvante qui ...
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On est effectivement bien en dessous du premier, l'écriture est moins aboutie, la réalisation perd en saveur et surtout l'abus de CGI casse toute immersion possible.
La moitié du film se résume a des poursuites en voitures 3D, on est sur du Peninsula Fury Road et c'est moche. Seul l'univers style post apo très réussi redonne un peu de peps, c'est malheureusement pas suffisant.
Avait on besoin de cette suite au final ? Pas sur, son ainé ...
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Une critique sociale n'a pas pour objectif de donner des réponses, mais de poser des questions. Ici le réalisateur y parvient brillamment, bien aidé par un premier rôle, a double sens, qui s'implique avec justesse.
Si l'approche semble académique, le film s'en détache avec finesse, et nous offre une œuvre s'approchant plus du documentaire que du film procès. 4/5
Si l'approche semble académique, le film s'en détache avec finesse, et nous offre une œuvre s'approchant plus du documentaire que du film procès. 4/5
Contrairement à ce qui ressort beaucoup dans les commentaires, pour moi le film ne fait pas de l'absurde pour de l'absurde. Il aborde réellement la question du sens dans l'écriture, et de sa perception par le spectateur..
Dans la première séquence, on pose le désert, une voiture arrive et écrase volontairement les chaises positionnées le long de sa route, la scène n'a semble t'il aucun sens, pourtant elle sert à appuyer le propos qui ...
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Une infranchissable barrière sépare Bart du reste du monde, son syndrome d'Asperger.
Il va alors tenter de s’approprier le comportement des autres, celui des "gens normaux".. Pour cela il va aller jusqu’à installer des caméras dans les chambres de l’hôtel où il travaille et les observer, les étudier. Et la forcément ça tourne mal, un drame survient dans une des chambres, et il devient alors le premier suspect.
Si cette première ...
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Plutôt ironique pour un ancien journaliste, de ne pas autoriser une session a la presse critique.. On comprend mieux quand on voit le film, c'est incroyablement vide.
On dit souvent qu'un réalisateur met toute sa patte dans son premier film, si c'est le cas, denisot n'aura jamais rien a proposer. 1.5/5
On dit souvent qu'un réalisateur met toute sa patte dans son premier film, si c'est le cas, denisot n'aura jamais rien a proposer. 1.5/5
Si le film se pointe avec une idée un peu original, genre concept a la cube, mélangeant science fiction et satire de classe sociale, il ne sait absolument pas comment dérouler derrière.. Particulièrement la deuxième partie, qui après avoir apporté un fond d'univers et des questions, n'y répond finalement pas, et se perd totalement dans une fin ennuyeuse sans surprise, voir infantilisante.
Encore un film qui ne fait que broder autour ...
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Les biens faits de la mondialisation, où la survie française au sein de l'europe n'est pas possible, notamment a cause de la délocalisation mais qui a aussi pour cause une monnaie unique tueuse de compétitivité.. Très bon film, dommage qu'il ne mette pas le doigt un peu plus profondément dans le pourquoi du comment, pour ouvrir les yeux a certaines personnes... 4/5
Les moins séduits reprocheront l'aspect déformé du fish eye et les
mouvements de caméra si caractéristiques de Kar-Wai Wong. Les plus
réceptifs apprécieront au contraire ces mêmes points...
Les anges déchus est un voyage au cœur d'Hong Kong au travers de personnages
piégé par leurs malheurs, et ce voyage s'entreprend autant presque plus
par la forme que par le fond. La maitrise du réal pour nous faire vivre
le ressenti des ...
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En soi tout l'humour n'est pas a jeter, les acteurs jouent plutôt bien, mais le film est particulièrement désagréable a regarder, le cadre est constamment resserré au maximum, tout s'enchaine, les plans passent les uns par dessus les autres si bien qu'on a du mal a visualiser l'ensemble de la scène, ou même son intérêt narratif, et c'est sans parler des angles qui sont rarement adéquat...
À un moment faut faire un choix, soit on va a ...
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Le film retrace le scandale du teflon, et principalement l'entreprise DuPont qui a fait beaucoup de dégât et qui continu d'en faire aujourd'hui. On suit l'avocat Robert Bilott interprété par Mark Ruffalo, dans une quête presque perdu d'avance, on a parfois du mal à croire ce qu'on entend tellement c'est choquant, mais le film reste fidèle et même les vrais noms sont conservé.. Au delà de l'histoire, les interprétations sont bonnes et ...
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Un petit Clint Eastwood mais qui se défend très bien de par l'humanité qu'il transpire. Simple et honnête, on passe un bon moment devant l'histoire de ce gardien de sécurité, un peu naif qui se fait manger par le système après en avoir était l'égérie, c'est à la fois frustrant et révoltant et le film nous le transmet bien, même si il manque peut être, un petit quelque chose pour monter l’œuvre d'un cran.
Malheureusement 24 ...
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Une vraie petite prouesse qui n'a couté que 25 mille dollars. Si le premier plan séquence de 36 minutes a de quoi laisser perplexe, tout prend sens part la suite, et on passe un très beau moment. 3.8/5