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On peut voir “Toy Story 3“ comme un dessin animé, rythmé, drôle et captivant, calibré pour les plus jeunes. Et de ce côté-là, il remplit parfaitement sa mission. On peut voir également “Toy Story 3“ comme un cinéphile, capter ses images sublimes d’une animation encore plus avant-gardistes et innovantes (nous sommes en 2010), et s’extasier devant tous les clins d’oeil que L.Unkrich et ses scénaristes nous envoient à ...
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Sa vie, son génie, son esprit, ses doutes, ses remords, sa vie de famille. Son travail, ses avancées scientifiques, la maîtrise de sa pensée, de ses calculs, de sa création, puis de sa confiscation et son détournement. Ses engagements politiques et l'engrenage politicien. "Oppenheimer", l'homme et son projet Manhattan, est un film dense, très dense. Pour autant, malgré près de 3h de film et sa multiplicité de personnages, de sous ...
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S.Lee est à son meilleur quand il n'a pas de budget, et "Da 5 Bloods" a, ici, des moyens conséquents. Cette production Netflix est donc un mauvais cru. La faute a un scénario qui cumule des situations absurdes et des dialogues pathétiques. Mais, le plus grosse interrogation est sur le metteur en scène lui-même: d'une très grande maladresse de bout en bout, ou de pire en pire en avançant vers la longue fin, on ne sait jamais vraiment où ...
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Peut-être pas la meilleure oeuvre du duo G.Kerven - B.Delépine, mais "Effacer l'Historique" reste conforme à l'humour et l'absurde du duo, et à cet attachement à ces petites-gens et leur effet miroir sur nous-même et sur notre société. Même s'il y a beaucoup de naïveté dans ces personnages paumés, il faut néanmoins attendre plus de la moitié du film pour que le duo de réalisateurs apportent enfin une forme de sensibilité à leurs ...
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Film d'une foisonnance inégalée, "Slumdog Millionaire" étincelle par ses excès en tout genre. Par la caméra virevoltante de D.Boyle, cette percée exotique dans une Inde fourmillante est à ce titre un voyage curieux et percutant que Bollywood ne nous offre rarement. Avec un scénario béton qui déroule une histoire totalement improbable, mais bizarrement crédible de bout en bout, l'histoire nous balade à coups de suspens du show tv, de ...
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Cette suite n'est malheureusement pas au niveau du premier opus, qui était à la fois un très joli exercice de style, avec une folie de rythme et de fantaisie. "Chicken Run: la Menace Nuggets" n'apporte plus cette excellent surprise vécue il y a 23 ans. La bande à Ginger et Rocky, qui n'a certes pas pris une ride, n'a pas la même inspiration, ni la même originalité, dans ce dernier épisode. L'humour reste présent, mais plus poussif, et ...
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Très intrigant thriller politico-éthologique, "La Conspiration du Caire" est séduisant par le suspens qu'il distille et la qualité de sa mise en scène. Entre le huis-clos universitaire qui donne de la puissance au récit, et les extérieurs égyptiens qui apportent une touche exotique et faussement respirante, le film apporte une fraicheur de style tout au service de son écriture. Etonnant et réjouissant.
Si on vous vend "Carry-On" comme un hommage à "Die Hard", alors c'est une arnaque ! Une version lointaine qui n'a de commun qu'un aéroport, Noël, et 1 méchant et 1 gentil qui discutent à distance. Exit l'humour et la malice d'un John McClane. Exit aussi toute ambition du réalisateur à mettre du rythme digne d'un film d'action. Certes, J.Collet-Serra a entre les mains un pitch référencé qui a fait recette, et qui engendre quelques ...
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E.Zonca suit 2 jeunes filles débrouillardes, déjà écorchées par leurs jeunes existences, dans les rues de la magnifique ville de Lille (pourtant peu mise en valeur - parole de lillois). De petits boulots à de la débrouille, elle cohabite ensemble dans leur précarité, vivotant sans trop d'ambition, demeurant épicuriennes dans leur quotidien. La légèreté de leur rencontre va vite faire place à la fragilité et la sensibilité de ces ...
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Ce "Social Dilemma (Network)" ne nous fera plus utilisé vos écrans de la même manière, ou à défaut, nous ne serons plus naïfs dans ce que nos doigts ou nos clics de souris nous obligent à agir. Car oui, ce n'est pas nous qui interagissons avec nos appareils connectés, mais indirectement c'est eux qui nous conditionnent à force de nous connaître, en nous rendant addictifs, contrôlables, et particulièrement lucratifs. En interviewant ...
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Film propre et engagé, "Goliath" se suit comme un documentaire fiction: très riche dans sa plaidoirie et dans ce qu'il veut dénoncer, tout en apportant une dose suffisante d'émotion pour adhérer au propos et humaniser le scandale. Il y a un côté "Révélations" de M.Mann, sans la grandiloquence du cinéma hollywoodien. Le trio G.Lellouche/P.Niney/E.Bercot apporte à sa manière une incarnation puissante à leur personnage. C'est peut-être ...
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On reproche souvent aux productions des films d'horreur ou d'angoisse, souvent de série B en manque d'ambition, à tuer le film par leurs discours trop bavards et à leurs dialogues stupides ou inappropriés. "Sans un Bruit" nous évite tous ces désagréments par la nécessité du silence pour survivre, et tenir le film. L'idée est amusante, la peur et la curiosité en sont plus intenses. Au-delà de cet exercice de style original, J.Krasinski ...
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Filmer le vide de ses personnages d'influence dans leur complaisance et leur insuffisance était un défi à apporter à l'écran, à susciter notre intérêt pour ses personnages qui n'attirent pas une sympathie évidente. Pari à moitié réussi par R.Ostlund qui prend un malin plaisir, en trois parties, à égratigner (et détruire) une classe sociale qui insupporte. C'est dans le deuxième tiers que le réalisateur se lâche avec excès en ...
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Un film OVNI d'une énergie hallucinante. Le duo D.Sheirnet-D.Kwan semble réaliser leur film sous extasy, très généreux à partager les effets jubilatoires de leurs substances aux spectateurs hallucinés. Film foutraque qui mêle les multi-genres (comédie, science fiction, film de bastons, satire sociale), ce "Matrix" déglingo qui lorgne vers le premier "Kingsman" est surprenant et jouissif. Le scénario est riche en péripéties, et les ...
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"Novembre" est un peu comme "24 heures Chrono" dans sa manière de traiter l'urgence des attentats de manière quasi directe. L'enquête suit les protagonistes qui la mènent, de front, entre les bonnes et fausses pistes. C.Jimenez sait habilement jouer de la tension des faits et construit ce "Novembre" comme un joli exercice de style et de tempo. Alors que jamais les images des attentats qui ont secoué Paris ne sont montrées, les caméras ...
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Ça commence comme un conte pour enfant qui serait réalisé par un trio T.Burton-S.Spielberg-L.Besson, dans un splendide décor d'une gare parisienne des années 30: le jeune Hugo Cabret, son univers, ses aventures, ses rencontres, le tout entre magie et dramaturgie. La mise en scène très soignée nous rend plus contemplatif que captivé par cette histoire charmante à laquelle on cherche tout de même un intérêt. Puis, M.Scorsese décide ...
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Un de mes films culte des années 90. Certes un peu vieilli, mais toujours aussi corrosif et jouissif. Cette comédie cynique qui tourne au drame sur fond d'une procédure de divorce bien fournie en combats physiques et psychologiques, est un modèle d'humour noir et de férocité. D.deVito, réalisateur, capte et retranscrit parfaitement le jeu de massacre plein de bestialité matrimoniale et toujours très caustique. En ressortant le couple ...
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Un thriller très efficace et haletant qui nous emmène dans les contrées froides en Russie. Pas forcément très original (la Russie n'est toujours peuplée que d'agents bien méchants), "Kompromat" amène G.Lellouche à affronter ce pays qui d'apparence ne semblait plus si antipathique. Que nenni: lui-même, d'apparence homme simple et ordinaire, va se transcender en homme justicier inopportun, ainsi transformé pour sauver sa peau. Vu comme ...
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Film concept, mettant en scène un acteur qui joue son propre rôle, en jouant des artifices que le grand public perçoit de lui. A la fin de "Grosse Fatigue", vous ne saurez pas pour autant qui est le vrai M.Blanc. Cataloguant toutes les images qu'on se fait de lui, tout le côté réducteur qu'on se fait de la personnalité d'un acteur telle que le public se la façonnerait uniquement par les rôles qu'il interprète: le réalisateur-acteur ...
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"L'Amour Ouf" est avant tout un exercice de style d'une folle ambition (française), mené de main de maître par un G.Lellouche qui semble vouloir, à tout prix, nous en mettre plein la vue. La réalisation, même si elle n'évite pas certains clichés ou effets faciles, est particulièrement maîtrisée et soignée. Sur la forme comme sur le fond, G.Lellouche met en scène la brutalité de son histoire avec un vrai sens du tempo, qui ne font ...
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Un film culte à la une recette magique qui fonctionne à chaque fois qu'on le (re)voit: écritures et dialogues qui font mouche, gags particulièrement réussis qu'on connaît par coeur, satire sociale bobo qui colle à la peau du Club Med, vacances, détente et cocotiers. Il y a une liberté de ton et d'humour qui n'existent plus dans nos films actuels, 26 ans après. Même si la réalisation reste basique, et l'humour sans réelle subtilité, ...
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Film à sketchs, "Fumer fait tousser", comme souvent dans ce genre d'exercice, alterne du (très) bon et du moins bon. Comme désireux de mettre à l'écran un ensemble de saynètes qu'il a dans son esprit, avec l'impossibilité que chacune puisse individuellement faire un long-métrage, Q.Dupieux les alterne donc ici pour en faire vaguement une histoire sans réel intérêt, mais dont chaque scène tente de nous faire rire par l'absurdité des ...
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Un film très propret de R.Howard, qui avec une carrière de réalisateur en dents de scie, signe ici une oeuvre soignée, avec sérieux et sans ridicule, mais sans éclat non plus. En filmant une fresque familiale dans une Amérique profonde, minée par le chômage et flirtant avec une précarité sociale comme une certaine violence, "Une Ode Américaine" s'attache à décrire l'ascension absolument pas acquise d'un jeune homme qui n'est pas ...
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"Irréductible" est un mélange plaisant de gags et de dialogues bien écrits. Il a le mérite de ne pas jouer la surexcitation, malgré les caricatures qu'il exploite de bout en bout. On aurait peut-être préféré une continuité un peu plus vacharde, moins fleur bleue, mais l'abattage sincère et le soin de J.Commandeur à faire un film divertissant et plutôt sage évitent à "Irréductible" de passer la frontière de l'absurde, en ...
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Drame familial sous fond d'une haine frère-soeur sans réel autre fond qu'une futile jalousie de jeunes adultes, la Soeur et le Frère s'évitent et se fuient, sous une forme de haine passionnelle qui les plonge dans une crise existentielle alors que le chronomètre s'accélère vers une rencontre inévitable. Ce n'est pas un mauvais film, bien maîtrisé, dont les 2 acteurs principaux jouent ou sur-jouent très bien. Mais les crises familiales ...
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C'est un réalisateur presqu'assagi qui débute ce "Divorce Club", non pas que M.Youn est méconnaissable, mais semble ici soucieux de faire une comédie drôle mais soignée. Il réussit son pari, en contenant son côté trash pour un côté purement burlesque, qui a défaut de nous servir une histoire crédible, fait de son 3ème film en tant que réalisateur un auteur crédible. En offrant le premier rôle et la lumière à A.Ducret parfait ...
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"Bardo" est un film magnifiquement filmé (images, cadrages, plan-séquences) , avec des moments de grâce sublimes et d'étonnantes scènes truculentes. Mais "Bardo" est aussi très long, bavard, abscons, énigmatique, et à défaut de susciter la curiosité, il sollicite surtout notre ennui. A.Gonzalez Inarritu a créé "Bardo" pour y transférer sa fatigue d'auteur et son déracinement coupable qui partage son coeur entre ses attaches ...
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Chronique sentimentale et estivale autour d'un post-ado, en été 85, de sa douloureuse expérience amoureuse, entre la découverte passionnelle et le drame indélébile qui le suit, cet "Eté 85" alterne la légèreté et la fougue des (premiers) sentiments amoureux, avec une ambiance grave pesante par sa tragique destinée. Etonnamment, F.Ozon persiste par sa réalisation un peu carte postale (image, lumière, musique) année 80, à maintenir ...
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Ce deuxième épisode est un peu un remake du premier, tant la recette est quasi-identique. Cette deuxième enquête de l'inspecteur Foley est un mélange enquête-humour rutilant qui vaut surtout par le one-man show d'E.Murphy. Sous les caméras de T.Scott, la franchise gagne en rythme, en images léchées et en style, mais perd en scènes d'action. Cela reste essentiellement iconique, bien ancré dans les années 80.
Techniquement parfait, rythmé, chorégraphié: pas grand-chose à critiquer sur la forme: "West Side Story" respecte les codes et S.Spielberg s'empare de la comédie musicale avec une réelle virtuosité. Sur le fond, rien de nouveau, et malgré la reconstitution étincelante des décors et costumes 50's, il en ressort une atmosphère désuète qui ne s'apparente pas à du charme. Dommage que le réalisateur ait voulu faire un remake sans y ...
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Une oeuvre touchante et d'une humble sobriété, "The Fabelmans" s'apprécie par l'oeil qu'a S.Spielberg sur son enfance. Sa fascination pour la mise en scène, son bricolage à effets spéciaux, son âme d'enfant dans un monde d'adulte: "The Fabelmans" raconte une histoire qui évite au réalisateur sa propre auto-biographie, mais réunit tout ce qui fait la personnalité du réalisateur et les évènements qui ont marqué son enfance, sa ...
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Film au capital sympathie évident, très marqué dans son époque 80's (décors, costumes, bande-son), "Le Flic de Beverly Hills", 40 ans après sa sortie en salle, ravira toujours les nostalgiques et fera sourire une nouvelle génération face à l'abattage d'E.Murphy en mode one-man-show. Action, humour, buddy-movie: les premiers ingrédients d'une recette à succès qui marquera la fin des années 80 et 90.
Déjà impressionnante par son précédent film "Grave", J.Ducournau réitère avec "Titane" son penchant tordu pour des histoires qui le sont tout autant, une réalisation racée qui impressionne encore ici par ses cadres et ses couleurs, et en récoltant une Palme d'Or bien audacieuse. Dommage que "Titane" soit multi-directionnel à ses 30 premières minutes: chronique d'une jeune fille écorchée? film violent autour d'une serial-killeuse? ...
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La carrière en dents de scie de W.Smith dans ces années 2020 et un film "biopic" produit par celles qui se filment, ne faisaient présager rien de bon pour "La Méthode Williams". Le résultat est pourtant une bonne surprise. Peut-être parce que le film se concentre sur la très jeune carrière des soeurs Williams, au moment où elles n'existent que par le prisme de leur père. C'est donc sur Richard, le père, le "King », vers qui se ...
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Pour son deuxième film, B.Cooper ré-agite ses baguettes de chef d'orchestre d'acteur-réalisateur et replace ses caméras au plus près de ses personnages et de leurs fils de vie, sous un fond, encore ici, musical. Exit le pop-rock-folk de "A Star Is Born", ici B.Cooper incarne (à la perfection) le chef d'orchestre de musique (pas uniquement classique) Léonard Bernstein: sa naissance au grand public, son travail et son investissement, sa ...
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Lorsque l'univers inventif et truculent de S.Spielberg rencontre l'atmosphère étrange et anxiogène de M.Night Shyamalan, cela produit "Nope". J.Peele avait déjà montré sa maîtrise de l'angoisse dans ses 2 précédents films, il re-performe ici par sa mise en scène brillante et fringante, adroit dans les séquences flippantes, épiques dans les scènes d'action. Dans cette satire du monde du spectacle, à l'image de cet ovni animal ...
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