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Le Garçon aux cheveux verts (1948), c’est un film qui part avec une idée originale, mais qui au final, tombe un peu à plat. L’histoire de ce gamin orphelin qui se réveille un jour avec les cheveux verts et devient une sorte de symbole contre les discriminations et la guerre, ça aurait pu être fort. Sauf que le traitement est beaucoup trop simpliste et moralisateur pour vraiment accrocher.
Le film essaye d’aborder des thèmes importants, comme l’acceptation de la différence et les traumatismes de guerre, mais c’est tellement appuyé que ça en devient presque lourd. Tu as l’impression d’avoir un message martelé à chaque scène, et au bout d’un moment, ça devient lassant. L’histoire manque aussi de rythme, et les dialogues sont parfois un peu trop naïfs, ce qui n’aide pas à te plonger dans le film.
Dean Stockwell, qui joue le garçon aux cheveux verts, fait ce qu’il peut avec son rôle, mais le personnage est un peu trop unidimensionnel. On sent qu’il est là pour servir de porte-parole à une leçon de morale, mais pas vraiment pour être un enfant crédible avec des émotions nuancées. Du coup, difficile de s’attacher vraiment à lui.
Visuellement, c’est correct, surtout pour un film de cette époque, mais il n’y a rien de très marquant non plus. Le fait que les cheveux du garçon soient verts, ça crée un contraste visuel sympa, mais ce n’est pas suffisant pour rattraper l’histoire.
En bref, Le Garçon aux cheveux verts, c’est un film avec de bonnes intentions, mais qui finit par être trop simpliste et moralisateur. Le message est important, mais le film te le balance de manière tellement directe que ça en devient presque gênant.
Le film essaye d’aborder des thèmes importants, comme l’acceptation de la différence et les traumatismes de guerre, mais c’est tellement appuyé que ça en devient presque lourd. Tu as l’impression d’avoir un message martelé à chaque scène, et au bout d’un moment, ça devient lassant. L’histoire manque aussi de rythme, et les dialogues sont parfois un peu trop naïfs, ce qui n’aide pas à te plonger dans le film.
Dean Stockwell, qui joue le garçon aux cheveux verts, fait ce qu’il peut avec son rôle, mais le personnage est un peu trop unidimensionnel. On sent qu’il est là pour servir de porte-parole à une leçon de morale, mais pas vraiment pour être un enfant crédible avec des émotions nuancées. Du coup, difficile de s’attacher vraiment à lui.
Visuellement, c’est correct, surtout pour un film de cette époque, mais il n’y a rien de très marquant non plus. Le fait que les cheveux du garçon soient verts, ça crée un contraste visuel sympa, mais ce n’est pas suffisant pour rattraper l’histoire.
En bref, Le Garçon aux cheveux verts, c’est un film avec de bonnes intentions, mais qui finit par être trop simpliste et moralisateur. Le message est important, mais le film te le balance de manière tellement directe que ça en devient presque gênant.