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Une adaptation moyenne de la bande dessinée incroyable Algues Vertes. Le scénario est pas toujours à la hauteur.
Un peu trop long et franchement lent. Pas toujours juste dans le jeu. Une partir intéressante sur les camps.
Un scénario peu original, encore sur les attentats de Paris. La prise de son est pas terrible et les acteurs secondaires n'articulent pas toujours bien.
Très décousu, plein d'histoires se mélangent Des bons dans le temps sans crier gare. Une sorte de Hell on Wheels bancal. C'est vieillot, très années 90 même dans l'esthétique, la réalisation. Des bonnes scènes d'actions mais des dialogues interminables. Une grande déception.
Une romcom des années 90 tout ce qu'il y a de plus planplan. Aucun charisme de la part des actrices et des scènes sensuelles totalement surjouées.
Une romance vieillotte dans la bourgeoisie. Très attendu et rien de novateur. Les scènes sensuelles sont plutôt gênantes.
Une belle claque, je m'attendais pas à un film aussi bien. Beaucoup mieux que les Trois Mousquetaires. Pierre Niney et Anais Demoustier sont incroyables et le casting est très très bon. La prise sonore est bonne et la bande son excellente.
Un bon scénario mais la réalisation n'est pas à la hauteur. Virginie Effira épatante comme toujours mais un mixage sonore des dialogues pas toujours juste et un jeu d'acteur des seconds rôle un peu lumite.
Pas très fan d'Elsa Ziberstein. Marder est très convaincante dans son rôle et la partie sur les camps de concentration est très touchante. Hélas, c'est beaucoup trop moralisateur et messianique.
Une longue histoire sans intérêt de filiation, et mal jouée en plus de ça. Des acteurs mal choisi et surtout un son brouillon. Seul les scènes de paysages sont intéressantes, et le plaisir de voir Anais Demoustier.
Trop didactique, trop moraliste. J'ai surtout retenu l'intensité de jeu d'Adèle Erchapoulos et Raphaël Qu'en Quenard.
C'est un film statique lié au contexte de pandémie, une belle histoire d'amour sensuelle. Assez juste mais un manque de folie.
C'est bien amené mais parfois on s'ennuie. De bons acteurs secondaires. Un scénario original et qui fait rêver.
De grandes émotions pour un film qui n'intéressera par forcément que les profs. Par contre de belles longueurs et Leila Bekthi en erreur de casting.
Cette soirée des Césars m'a donné envie de me pencher sur ce film porté par un réalisateur bougon. Il est Intéressant de voir cette vie de village de la plaine des avants-monts très bien rendue, et jamais montrée. Mais le personnage de Dog ne suscite aucune empathie et est un archétype de ces "piches" détestables. Les relations un peu trop sages pour une histoire d'amour moderne n'ajoute rien. Il manque d'élan dans le scénario et on a ...
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Trop verbeux, trop scolaire, pas assez ambitieux, trop sage. De bons acteurs mais l'ensemble est trop ampoulé.
Un couple au sein d'une Amérique dystopique. Malgré des rebondissements, l'ensemble est globalement soporifique.
Les premiers élans amoureux d'un jeune adolescent américain. Un manque de relief dans le scénario pour mériter une réel intérêt.
Une belle lumière pour une suite spirituelle de Papicha. Lyna Khoudri toujours exceptionnelle. Une belle histoire de sororité.
Ayant apprécié le roman historique de David Grann dont le scénario est adapté, c'est tout naturellement que je me suis penché sur ce film de Martin Sorcese. D'abord, la version 4k est magnifique avec sa bande son prenante. En revanche, le film est beaucoup trop long et aurait merité d'être raccourci de deux bonnes heures pour le rendre plus dynamique. Le scénario est bien plus confus que dans le livre, et la mise en scène moins époustouflante.
Un couple de quadras pommé au fin fond du Nicaragua essayent de fuir ce pays. Dans une atmosphère pesante d'homme armés, le couple fait du sur place et tue le temps au lit. C'est lent et plat, mal réalisé, plein d'erreurs un rhum qui disparaît entre deux plants. Des incohérences scénaristiques à gogo. Seul la musique et cette jungle rend le film supportable.
C'est sage, très parisien, des dialogues qui sonnent faux, une mise en scène molle et précieuse. Une mise au point floue par moments.
Le scénario manque d'originalité. L'histoire se déroule dans un foyer pour adolescents en difficulté, mais elle ne parvient pas à se démarquer des nombreux autres films traitant du même sujet. Les clichés abondent : les éducateurs bienveillants, les jeunes en quête de rédemption, les drames personnels... Rien de nouveau sous le soleil.
De plus, la mise en scène est souvent maladroite. Les dialogues oscillent entre copinage et ...
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Aucun intérêt dans ce téléfilm français statique et théâtrale sur deux femmes aux vies inintéressantes.
Un film de tombeurs de ces dames avec des lunettes à la Derrick. Un scénario qui accumule la misogynie crasse.
Poussif au possible, une romance entre un homme d'âge mûr et une femme, séance à la piscine, des scènes érotiques chastes.
Une lumière criarde et une qualité téléfilm pour cette romance bisexuelle pas toujours bien jouée...
Des jeunes femmes et leurs rencontres amoureuses, hétérosexuelles et lesbiennes. Avec en toile de fond le patinage artistique. Un ensemble beaucoup trop sage pour être réellement transcendant.
Un film érotique avec Monique Parent, où seulement les femmes sont nues, se dandinant dans une musique lascive de trompette jazzy désagréable. Une ambiance téléfilm des années 80.
Une sorte de James Bond en plus trivial. On passe certes un bon moment mais le tout manque d'épaisseur. A voir pour les courses poursuites. Les scènes romantiques sont trop surannées.
Une femme victime de viol tente d'avancer dans sa vie sentimentale. C'est très maladroit, les scènes torrides s'enchaînent, et la morale finale est douteuse.
A voir surtout pour les scènes avec Sagnier, magnifique. Les débuts sont laborieux, il faut attendre plus de la moitié du film pour voir enfin Sagnier.
Une relation secrète et charnelle entre un homme d'âge mûr et une lycéenne. Une actrice principale magnétique et à l'aise dans les scènes de nues. Un peu trop cliché dans la romance italienne. Pas mal de longueurs.
Une jeune femme ingénue à la plastique ravissante explore le désir auprès de sa logeuse et de l'assistant d'un peintre. C'est malin mais lent et vieillot, avec une bande son jazzy de mauvais goût dans les scènes intimes.
Une réunion de thérapie sexuelle entre voisins. Dans le scénario se dessine la future Sex Education. Malheureusement, c'est très faux à la Love Actually.
Une maquerelle entretien un harem de prostituées auprès d'une clientèle fortunée. Les scènes de nu sont coupées brutalement, l'ensemble est lent, rébarbatif, soporifique.