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« Étant donné que je suis confronté à l'apparence, « je suis » est la seule certitude, sachant que « être » c'est être perçu, serait-il possible que je sois seul à vivre dans le doute et que je sois un objet d'observation pour un autrui omniscient qui sait où mène mon existence ? »
Amusant de voir cette vieille pensée solipsiste prise au pied de la lettre et adaptée en film, dans cette façon légèrement paranoïaque ...
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Résumé injustifié et bordélique qui ne colle pas au manga,...
Autant dire que les amateurs n'y trouveront pas leur compte tandis que les novices seront dégoutés par l'absence de fil conducteur. Par ailleurs les couleurs et l'animation mole font de ce huitième film un titre à l'esthétique foireuse.
Complètement inutile.
Autant dire que les amateurs n'y trouveront pas leur compte tandis que les novices seront dégoutés par l'absence de fil conducteur. Par ailleurs les couleurs et l'animation mole font de ce huitième film un titre à l'esthétique foireuse.
Complètement inutile.
Une joyeuse chasse au trésor teintée d'humour, et un titre pionnier quant à l'éloquence des poumons de Nami et Robin,...
Après une ouverture d'une légèreté insolente qui ne laissait guère présager que du fade -sorte de resucée du Davy Back Fight,...- , on se laisse, à surprise, embarquer dans une aventure sombre qui exploite plutôt bien l'imaginaire débridé de la série.
Par contre, même si je ne boude pas mon plaisir, certains antagonistes me semblent carrément moches ( Dj Kappa ou Lily Carnation qui semble sortie d'un tableau de Takashi Murakami, un ...
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Ce deuxième film constitue une bonne aventure qui recèle quelques scènes d'action prenantes!
L'histoire s'articule autour d'une île fantastique tombée sous le joug d'un tyran vivant dans un château bardé de pièges. Bref, un grand classique toujours fun qui offre l'occurence de bonnes batailles!
Seul bémol, une vétille, l'animation n'est pas toujours tip top avec certaines inclusions de 3D un peu moches et des dessins pas hyper ...
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Un premier film plutôt sympathique encore qu'il manque un soupçon d'inspiration au titre.
Les décors ne sont pas aussi fantastiques que les lieux visités dans la série, les combats ne sont guère passionnants, et l'histoire d'une ile au trésor, pour des pirates,...y'avait moyen de chercher un peu plus! Néanmoins on retrouve la petite bande de la saga east blues - d'avant la rencontre avec Sanji - et tout ce qui fait son charme - les ...
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Toujours dans ses thèmes favoris – les épreuves d’êtres déracinés, les exodes, les débrouillardises dans la crasse et la misère – Don Bluth nous livre un lamento qui constitue une remarquable odyssée pour les enfants, et pas que,…L’aventure de Petit-pied, comme les contes, ces allégories de la vie, recèle sous des formes simples quelque chose de puissant, de mystique, quelque chose qui touche tout-un-chacun. En outre, ...
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Plus d'humour, plus d'action,...
Les nouveaux personnages sont sympathiques et s'incluent fort bien au monde de Lasseter.
Je dirais pour faire court que ce second volet n'a rien de moins que le premier si ce n'est la figure d'oeuvre pionnière.
Ceci étant dit, je ne cacherai pas ressentir aujourd'hui une certaine exaspération devant les titres Pixar.
Qu'est-ce qu'un Pixar? Une idée originale (entendre "un postulat superficiel et ...
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Toy Story c'est coloré, léger, enjoué, ça parle de rivalité, d'entraide, de respect, d'amitié,...
C'est mignon en somme!
Puis, évidemment, à l'époque, le premier long de Pixar exhibait une véritable prouesse technique et quoique l'animation nous paraisse ajourd'hui raide et les textures graveleuses ( tandis qu'un "Livre de la jungle" par exemple repose sur un dessin et sur une animation intemporellement sublime! ), l'univers graphique ...
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Une subtile mise en scène de cette nuance si ténue établie entre la folie, l'irrationnel et l'intuition,...Jeff Nichols parvient à composer le sentiment d'oppression éprouvé par un augure moderne désarçonné par ses sombres visions,...Le traitement du sujet est fin, subtile, "Take Shelter" apporte une bonne matière à penser notamment sur la normalité, la différence et les difficultés à s'en accommoder, les limites de la ...
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Un petit croquis de nos déboires sentimentaux, assez cliché, assez léger,...
Mais, pour ma part, touchant.
Par ailleurs, la bande-son est plutôt cool! Notamment le bookends de Simon&Garfunkel, en référence au film "Le lauréat". (Donc un film à ajouter sur la liste des choses à voir.)
Mais, pour ma part, touchant.
Par ailleurs, la bande-son est plutôt cool! Notamment le bookends de Simon&Garfunkel, en référence au film "Le lauréat". (Donc un film à ajouter sur la liste des choses à voir.)
C'est de l'homme et de ce que la science transforme son regard que traite « Création ». En illustrant le lent cheminement idéel de Darwin qui sera à l'origine du transformisme, le film nous révèle les tourments de cet homme qui furent les tourments d'une société dans laquelle la science était en passe d'acculer la religion. On sait à quel point cette dernière se présentait alors comme garante de la morale du tout venant,... En ...
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Un monument technique d'une beauté saisissante!
L'usage de longs plans séquences permet la contemplation et suscite une empathie totale vis à vis de Ryan Stone; on se retrouve le cœur serré, palpitant dans ce silence qu'entretient intelligemment Alfonso Cuaron et que rompt très exactement la bande son électro!
On peut penser à Abbys, ou à Apollo 13 (très certainement à mille autres films,...) en regardant Gravity mais le réalisateur ...
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Bien que Julianne Moore excelle dans son rôle de bondieusarde fanatique et que la composition de la gamine parvienne à susciter l'empathie, le film se révèle trop lisse,...L'esthétique générale est insipide, la morale est convenue et certains effets de styles manquent d'à propos.
Pas génial!
Pas génial!
Convenu,...à tous les niveaux, photographie, mise en scène, scénario,...
Vraiment décevant de la part de Jeunet, pas forcément ennuyant, seulement fade et superficiel.
Il faut tout de même saluer le jeu du gamin qui parvient à sonner juste dans cette aventure ultra composée.
Vraiment décevant de la part de Jeunet, pas forcément ennuyant, seulement fade et superficiel.
Il faut tout de même saluer le jeu du gamin qui parvient à sonner juste dans cette aventure ultra composée.
Scénario simple, bonne contextualisation, mise en image bluffante et bonne utilisation des effets spéciaux, casting au top, une toute grande réussite au niveau de la bande son,...
C'est pas du chef d’œuvre, ça ne peut pas l'être! Mais c'est de la pure détente.
Carrément cool!
C'est pas du chef d’œuvre, ça ne peut pas l'être! Mais c'est de la pure détente.
Carrément cool!
Honteux! Malgré un budget faramineux, rien ne fonctionne dans ce film lourdingue,...Mauvaise exploitation des acteurs, mise en scène épaisse, gags téléphonés, références cinématographiques pathétiques, mauvaise interprétation de la BD,...En effet, il est impossible de soupçonner l'existence d'une amitié entre Astérix et Obélix, les deux comparses semblent plutôt navrés de traîner ensemble! Ajoutons-y des incohérences à la ...
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Une superbe adaptation de la série! La voxographie est parfaitement en phase avec l'univers (ce sont d'ailleurs pour moi les "vraies" voix des gaulois) et la musique de Cosma (notamment "J'irai revoir mon Armorique") jouxte avec excellence l'histoire!
Quoique léger, "Le dîner de cons" constitue tout de même un fort joli assaut contre la véritable connerie. Drôle, remarquablement écrit, très justement interprété, le (meilleur) film de Veber dispose de surcroit d'une sublime bande son signée Cosma qui, bien qu'elle sache se faire discrète, s'écoute avec un immense plaisir! Un classique.
Un conte très illustratif, candide mais aussi sensé et sincère à propos de l’internement d’un extra-terrestre en virée dans notre système solaire; un K-Paxien qui va bien évidemment transformer l’équilibre relatif du centre hospitalier. L’occasion rêvée de saper nos certitudes concernant les normes de jugements, l’organisation sociale,… Certains propos font mouche et l’on se laisse emporter par le portrait tout ...
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Une excellente suite à la fameuse aventure paléontologique! Après une introduction un rien fumeuse qui revêt la forme d’une tartine explicative de John Hammond concernant l’existence d’un site B, matrice des spécimens sauriens, et la survivance des créatures malgré leur déficience en lysine, on se laisse volontiers embarquer pour une aventure épique sur une île isolé au large du Costa Rica,...Du déjà-vu mais certainement pas ...
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Un film gigogne avec une réalisation époustouflante, Nolan est vrmt un réalisateur prodige qui enchaine les concepts gonflés; encore une fois il fait mouche et me traine dans les méandres de son imaginaire tortueux.
Étrange de voir Marc Forster s'atteler à la réalisation d'un film de zombies puisque, pour ma part, je ne connaissais le réalisateur que par "Les cerfs volants de Kaboul" et "Finding Neverland". Mais finalement, à proprement parler, le résultat n'est pas trop mauvais! Le film manque toutefois d'originalité, la musique de Beltrami est galvaudée (le main thème lorgne du coté d'Hans Zimmer et d'Inception), le scénario est tout à fait ...
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Terrence Malick prétend éplucher la longue chaine causale qui, depuis le big-bang jusqu'à la production de l'extraordinaire biodiversité terrestre, s'obstine en filigrane de l'existence humaine.
Aussi, sans doute souhaite-t-il faire rejaillir dans nos mémoires cette sublime vérité que soulignait Eluard en écrivant : "nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses". Toujours est-il que le film, iconographique avant tout, appuie sa ...
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Une histoire de sauvetage in extremis du monde emberlificotée dans une mise en scène cartoonesque. Le texte, ultra-ludique, assume pleinement son manichéisme mais le sous-texte est aux abonnés absents - encore qu’il y ait une timide tentative (gauche) sur le final : « Pourquoi protéger la vie quand on voit ce que vous en faites ?! ». Moyennant une équipe artistique de rêve (Moebius, Jean-Paul Gaultier,…) l’univers dispose d’une ...
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Chris Marker est ici à l’origine d’une des rares incursions heureuses du cinéma français dans la science-fiction ; le résultat est beau, émouvant, intriguant ! J’estime énormément le réalisateur qui parvient à créer une œuvre forte dans une grande économie de moyens ; si la forme est atypique - ce « photo-roman » comme le baptise le réalisateur – le savoir-faire est manifeste : les images charpentent parfaitement ...
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« L’armée des douze singes » est un film parfait à tout niveau ! Le scénario est intelligent et ressemble fort à un réquisitoire altermondialiste contre les sociétés de contrôle. On y trouve de multiples thèmes et références - notamment une magnifique réflexion sur la folie (« Loi de la majorité ») qui évoque par moment la substance de « Vol au dessus d’un nid de coucou » - parfaitement enchevêtrés à un corps fait ...
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Si la réalisation est bluffante et dénote une virtuosité extrême, le film dépeint un univers cru, amoral et finalement écoeurant de vanité. "Enter the Void" n'a aucune prétention didactique et l'aspect méritoire de l’œuvre relève principalement de la prouesse technique profondément hors convention qu'effectue Gaspard Noé.
Pourtant, l'idée - traiter l'errance d'un esprit en caméra subjective - avait piqué ma curiosité, ...
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Avec son univers cyberpunk superbement composé où se côtoient le candide et le morbide pour un récit d’une étrange maturité, « A.I » occupe une place de choix dans la filmographie de Spielberg.
Sur base d’un scénario de Kubrick, le roi du divertissement établit un très joli parallèle entre Pinocchio et l’Androïde : âme de bois ou âme cybernétique,… la quête est la même ! Devenir un vrai petit garçon,…Cette analogie ...
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Un retour aux sources bienvenu ! Cependant, rien de neuf à l’horizon puisque l’on retrouve l’animation en stop-motion et la plastique biscornue qui faisait l’extraordinaire charme de « Vincent », ainsi que le noir et blanc très approprié à l’imagerie gothique du réalisateur. Danny Elfman est toujours de la partie et dispense ses partitions séduisantes mêlées chœurs enchanteurs,…Bref, l’ambiance est au rendez-vous et ça ...
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« L’homme bicentenaire » est un conte faussement naïf qui se lit à plusieurs degrés. Il recèle notamment un certain intérêt philosophique de par la version proposée du mythe de l’Androïde : le robot en quête d’humanité.
Accompagner Andrew, ce cerveau positronique ingénu par « nature », dans sa réflexion sur l’homme, allant, à contrario de ses propriétaires, de la raison à l’émotion nous permet de transposer notre ...
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Malgré un scénario relativement prévisible pour nos esprits rompus aux ficelles d’Hollywood, « Lone Ranger » est un western profondément atypique, malicieux et espiègle dont l’extravagante aventure exaucera partiellement un esprit bon enfant! Jouant à la fois du burlesque et du conte moraliste, l’univers foutraque que recycle Verbinski emprunte légion de poncifs issus du western classique pour un résultat singulièrement plaisant. ...
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Une romance adolescente entre un orphelin et une cancéreuse,…La réalisation est propre, l'atmosphère bien plantée, mais la rengaine me semble (trop) connue et j’avoue ne pas être réceptif à ce film léger qui se démarque significativement de la filmographie du bonhomme. Oubliable.
Avec son ambiance rétro vaguement racoleuse, "Never Let Me Go" m'apparait comme une dystopie assez futile qui patauge lourdement entre une vague problématique bioéthique et la question de l'identité chez les clones tout en trainant un triangle amoureux poussif. Si le pitch de Kazuo Ishiguro me semble superficiel, esthétisant et vain, Romanek confirme son excellence : la mise en scène est sublime, la photographie également et les acteurs ...
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Quentin Tarantino semble constamment vouloir démontrer sa capacité à réaliser un film. Il a du style, c’est évident ! Mais - pour ce que j’en ai vu - ses scénarios manquent de substance malgré son imaginaire démesuré et remarquablement référencié à une effarante culture cinématographique. « Pulp Fiction », avec son incroyable casting et ses quelques scènes explosives particulièrement captivantes m’apparait comme un film ...
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