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On se demande ce qu'on peut trouver d'intéressant à ce genre de films. Ce n'est pas le film de genre qui déplaît en soi, mais Laugier n'est ni Kubrick, ni Polanski dans la mise en scène. Il n'a aucune vision, aucune inventivité sinon d'accumuler tous les clichés du film gore et fantastique à la pelle.
Le scénario en est un exemple du genre. spoiler: Pauline (Mylène Farmer est une actrice fade et sans charisme et guère plus une chanteuse d'exception) et ses deux filles déménagent dans une maison mais dès la première nuit, des meurtriers pénètrent dans la demeure. Pauline se bat pour sauver ses fifilles. Traumatisme attendu, les deux pépés subissent à leur façon le gros drame, revivent la tragédie qui n'est pas tout à fait dans le passé ni tout à fait dans le présent. La première est devenue comme par hasard une romancière gore à succès (c'est étonnant non ?) et l'autre est encore sous la terrible emprise...
On a droit à toutes les redites de n'importe film américain, avec les effets de rigueur tellement attendus qu'on les attend de pied ferme sans aucune surprise avec les moments d'horreur prémédités à la chaîne et les instants calmes sentimentalistes où l'on peut être pris de compassion pour ces deux pépés bcbg.
Le problème est que non seulement Laugier ne renouvelle rien et semble plagier à outrance ce qu'il a vu depuis qu'il est tout petit petit, histoire de s'inscrire dans la tradition, mais qu'il n'a aucune vision d'ensemble pour aboutir à des personnages réels, concrets, en chair et en os, à une histoire captivante et crédible. Bref, aucune substance, rien que l'apparence et de singer les mêmes clichés visuels vu mille et mille fois. Là, il s'agit de martyriser ses personnages en jouant de tous les gimmicks possibles.
Le scénario en est un exemple du genre. spoiler: Pauline (Mylène Farmer est une actrice fade et sans charisme et guère plus une chanteuse d'exception) et ses deux filles déménagent dans une maison mais dès la première nuit, des meurtriers pénètrent dans la demeure. Pauline se bat pour sauver ses fifilles. Traumatisme attendu, les deux pépés subissent à leur façon le gros drame, revivent la tragédie qui n'est pas tout à fait dans le passé ni tout à fait dans le présent. La première est devenue comme par hasard une romancière gore à succès (c'est étonnant non ?) et l'autre est encore sous la terrible emprise...
On a droit à toutes les redites de n'importe film américain, avec les effets de rigueur tellement attendus qu'on les attend de pied ferme sans aucune surprise avec les moments d'horreur prémédités à la chaîne et les instants calmes sentimentalistes où l'on peut être pris de compassion pour ces deux pépés bcbg.
Le problème est que non seulement Laugier ne renouvelle rien et semble plagier à outrance ce qu'il a vu depuis qu'il est tout petit petit, histoire de s'inscrire dans la tradition, mais qu'il n'a aucune vision d'ensemble pour aboutir à des personnages réels, concrets, en chair et en os, à une histoire captivante et crédible. Bref, aucune substance, rien que l'apparence et de singer les mêmes clichés visuels vu mille et mille fois. Là, il s'agit de martyriser ses personnages en jouant de tous les gimmicks possibles.