HamsterPsycho
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Quelques trouvailles esthétiques et on cherche davantage à expliquer les choses que dans le film original. mais seule la bande son réussit à installer un semblant d'ambiance alors que l'original respirait littéralement le romantisme et le gothique. Ici on ne s'attache guère aux personnages qui relèvent davantage d'une bluette adulescente où le mode de vie toxico est romantique.
Tous les clichés et ressorts convenus auxquels on pouvait s'attendre. lLe meilleur point ce sont les paysages du grand nord et de l'Asie.
La Zone d'Intérêt est un film intelligent à deux points de vue : intellectuellement et visuellement. Le film est le premier à aborder l'holocauste sous l'angle de la banalité (banalité des hommes et des femmes, banalité et futilité des gestes du quotidien) et interpelle le spectateur. Oui, les responsables des atrocités sont des êtres humains et oui il est psychologiquement normal de s'identifier pour ensuite être soi-même dérangé ...
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Premier film de Yórgos Lánthimos que j'ai l'occasion de voir. Visuellement, et pour ce qui est du ton, on pourrait y voir quelque part un mélange de Tim Burton et de Wes Anderson. La première partie, spoiler: dans la maison de Godwin, correspond à la bande annonce : un Frankenstein modernisé, féminisé, cru
. Puis vient une deuxième partie spoiler: quand Bella Baxter part en quête de sens, en quête du monde et de la vie. Cette ...
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Un bon film qui arrive à mélanger deux thèmes à égalité, à la fois l'époque des duels à la fin du 19ème et le combat féministe de Marie-Rose Astié - personnage historique - militant pour l'égalité du droit de vote, de l'éducation et contre l'interdiction du port du pantalon. La réalisation et les acteurs et actrices sont solides; j'avoue aussi avoir été bluffé par la qualité et la brutalité des scènes de duels.
On a assez peu de vraies surprises avec le scénario et la "psychologie" des personnages peu complexes. Le point fort du film est, comme dans le 1er, les designs des mondes sous-marins. Par contre, les dialogues sont toujours aussi honteux pour une super-production d'un grand studio. On pourrait tout aussi bien regarder les images en coupant le son.
A part du chant et de belles couleurs, le fond n'est pas très développé. Aucune surprise et un message déjà très clairement identifié avant de visionner.
Après Avatar dans les airs, Avatar dans l'eau. Ce nouvel épisode nous emmène explorer une autre région de la planète Pandora et quelques années plus tard. La durée globale es plutôt bien gérée. On sent bien que c'est long, mais ça passe. La technique est à la hauteur du premier volet. Le scénario est relativement transparent mais travaillé dans les détails.
On arrive à un point de saturation avancé des films de ce genre avec Liam Neeson.IL n'y a certes pas de temps mort et le personnage paraît très humain, à la fois fort et faillible. Mais le scénario est mince comme une frite et ne convainc pas une seule minute.
Cette nouvelle histoire est l'adaptation de la préquelle écrite par Suzanne Collins. On y découvre le futur Président Snow à l'âge de 18 ans, étudiant, devenant mentor du tribut féminin du district 12. S'il veut accéder aux études qu'il souhaite et sortir sa famille de la situation difficile dans laquelle elle est, il n'a pas le choix. Les évènements qui suivront vont révéler à Coriolanus Snow sa véritable nature ainsi que la ...
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Une illustration de ce qui arrive quand quand toutes les sources de frustration se cristallisent en un moment critique; Michaël Douglas campe un quadragénaire lambda qui n'arrive plus à faire face à toutes les contrariétés qu'il subit. Tout lui échappe et rien ne se concrétise. Tous les aspects de sa vie, et qui définissent notre identité, sont réduits en cendres les uns après les autres. La catalyseur ultime, en cette longue ...
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The Marvels souffre de 3 problèmes selon moi. Déjà, l'affront fait aux cinéphiles de leur imposer 2 personnages sur 3 issu sde la plateforme Disney+ et sans prendre la peine de les présenter. Ensuite, Disney recommence avec son travers surnommé depuis "Somehow Palpatine" : l'intrication des 3 héroïnes ne convainc pas et semble ne fonctionner que quand Disney/Marvel le décide. Enfin, les ingrédients habituels sont là mais la sauce a des ...
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Dommage que Rhea Seehorn soit venue se perdre dans cette fausse suite de Inside Man. En effet, c'est un mélange éhonté d'Inside Man et de Casa de Papel. Le négociateur de la police est affublé d'une psychologie cliché et l'humour est globalement mauvais et peu travaillé. Bref une fausse suite mais un vrai film alimentaire.
Pour ceux qui connaissent le jeu, on retrouve quelques références visuelles, notamment pendant les courses, grâce aux images CGI. David Harbour met son engagement habituel et sa présence dans ce film qui n'est pas extraordinaire mais qui a le mérite de raconter une histoire vraie singulière.
Honnêtement j'ai du mal à comprendre pourquoi ce troisième volet est le mieux noté, à part peut-être une affection particulière pour l'Italie, la Sicile et ses magnifiques paysages et villages ? La photographie et les lieux sont bien choisis. Au-delà de ça, côté clichés on est royalement servis et les affrontements musclés qui ont fait la réputation de la série de films n'est pas au rendez-vous. C'est relativement plat et ...
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Un assemblage de mauvais dialogues, mauvaises incrustations d'effets spéciaux pour
spoiler:
la lionne meurtrière
, des otages qui hurlent en permanence... l'ensemble est pénible et on attend clairement que ça se termine. Restent quelques moments de surprise sur la façon dont certains personnages quittent la scène.
, des otages qui hurlent en permanence... l'ensemble est pénible et on attend clairement que ça se termine. Restent quelques moments de surprise sur la façon dont certains personnages quittent la scène.
Un film Netflix pas mal qui n'est pas sans rappeler un mélange de Sans un bruit et d'autres films du même genre. L'origine du mal est assez vite expédiée dès le début du film et aurait mérité un peu plus de consistance. Par contre, les allers et retours entre présent et passé dynamisent le récit en retardant et les acteurs s'en sortent tous assez bien. C'est davantage un film d'ambiance, un thriller, qu'un film d'horreur aussi intense ...
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Globalement pas mal, on retrouve bien l'esprit et le côté haut en couleurs du dessin animé. Le côté musical passe, il n'xcède pas ce qui était dans la version originale. Par contre, à titre personnel, j'ai du mal à faire cadrer Will Smith avec le le génie d'origine, et dans les scènes de danse, on se croirait à Bollywood et non au proche-orient. Je préfère la version dessin animé d'origine à cette version filmée.
Ce film de 1958, helvetico-germano-espagnol, présente une intrigue policière dans laquelle Michel Simon est d'ailleurs pris à partie. Une petite fille est retrouvée morte dans les bois. Les soupçons se portent immédiatement sur le colporteur qui a découvert la victime. Après spoiler: avoir montré les limites des interrogatoires forcés et des conclusions hâtives et populaires
, le film suit l'enquête personnelle de ...
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Le scénario est à mi-chemin de la Colline a des Yeux et de Délivrance auquel il est d'ailleurs fait référence dans le texte dès les premières minutes. On flirte assez souvent avec le ridicule sans toutefois tomber dedans. C'est juste qu'on connait ce genre d'histoire par cœur et que les surprises n'en sont pas vraiment. Je l'ai davantage regardé par nostalgie des années Eliza Dushku et consœurs qu'à la recherche d'un réel film d'horreur.
Techniquement, visuellement, Glass Onion est réussi. Mais après l'excellent premier opus "A couteaux tirés", je reste sur ma faim. Le scénario est un peu plus banal. On a envie de connaître la fin, aucun doute, mais ne rejoint pas le niveau du premier.
Un nouveau Disney pour Noël 2022, mais décevant sur bien des plans. Certes c'est tout joli, tout coloré et l'idée globale, quand on connaît enfin le secret, est pas mal. Mais c'est gâché par des personnages peu travaillés, souriant niaisement du début à la fin. On a davantage l'impression d'une commande où l'on coche des cases (des couleurs, beaucoup d'inclusion, des dialogues pas trop compliqués, un peu d'humour). Rien qui ne ...
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Après "Three Billboards", le nouveau film parfaitement ciselé de McDonagh. Une île solitaire, rurale, dans les années 20 au large de l'Irlande, sans électricité et en marge de la guerre civile... IL n'y avait pas forcément de quoi faire rêver de prime abord ni trouver de quoi y trouver une intrigue aussi dramatique. Mais c'est sans compter sur l'écriture de McDonagh. Certains voient ici la fin d'une amitié entre Colin Farell et et ...
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Une belle surprise et une réelle attente de découvrir le mot de la fin. Le côté horrifique réside surtout dans la situation globale, d'autant plus lorsque l'on commence à comprendre ce qu'il se passe vraiment. Une histoire que n'aurait pas renié Stephen King.
Sincèrement, un film dont l'utilité reste à démontrer. Aucun suspense, aucune surprise quelle qu'elle soit. Pas mal joué, mais franchement pour quoi ? Le début est prenant, on est dans le présent, mais ensuite ça s'enlise peu à peu. Largement dispensable.
PLutôt qu'un film d'horruer à proprement parler, c'est un thriller horrifique. Différence subtile ? Pas tant que ça. Ce n'est pas un film d'horreur à la Chucky ou l'Exorciste. Les choses horribles arrivent selon... un menu. C'est globalement une critique acerbe et sanglante du snobisme et de la critique qui n'existe plus que pour elle-même. Même si je n'ai pas sursauté, j'avoue avoir été surpris par certains évènements.
On sent que DC galère un peu derrière Marvel. DC gère deux lignes narratives, l'une avec Batman, SUperman, Wonderwoman etc alias Justice League, et d'un autre côté la Justice Society et Amanda Waller. Il faut avouer que Dwayne Johnson fait le taff et apporte en fait la seule vraie touche d'humour du film. Le reste de l'humour est poussif, DC essayant par ailleurs de contrer la personnalité de Spiderman avec Atom Smasher, sorte de jeune gars ...
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J'avoue que lorsque Disney avait annoncé ce film dans la saga Predator, comme beaucoup j'ai craint que le personnage et l'histoire ne soient dénaturés. C'est quoi cette histoire d'Indiens résistant à un Predator ? En réalité, c'est une bonne surprise. Il faut se rappeler que les Predators, aussi appelés Yautjas par les puristes, sont des chasseurs qui s'améliorent entre deux chasses en s'adaptant à la résistance rencontrée. Donc, dans ...
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J'entends dire que le film est "académique", mais qu'est-ce que cela veut dire exactement ? C'est devenu un terme valise histoire de dire qu'on n'a pas aimé, sans être capable de définir pourquoi. Couelurs de l'incendie est à la fois une chronique et un thriller, avec deux fils conducteurs parallèles: le principal avec la mère, le secondaire avec le fils. L'ensemble nous parle de l'époque, de la société, de l'ambiance particulière des ...
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Plus les films de Tarantino se succèdent, moins je les apprécie. Soyons honnêtes, c'est ecellement joué, notamment Leonardo DiCaprio dans un rôle de composition inhabituel. Mais Once upon a time in Hollywood concentre exactement ce que je ne supporte plus dans ses films, d'autant plus ici avec des personnages réels qui se retrouvent personnages d'une sorte de farce. Deux parties du film se distinguent, l'une assez ennuyeuse où l'on reste ...
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Un bon thriller SF en huis-clos spatial, sur une station minière autour de Jupiter. A celles et ceux qui critiquent les effets spéciaux, il est rappelé que le film date de 1981, soit plus de 40 ans aujourd'hui. Au contraire, les effets sont plutôt bons et les décors ne donnent aucune impression de rabais, bien au contraire. Concernant l'intrigue, c'est vrai qu'elle est assez simple; ceci étant, vu la vitesse à laquelle les incidents se ...
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Sans être particulièrement exceptionnel, The Gray Man est divertissant (même si on ne le verra qu'une seule fois). L'intérêt principal est de voir Chris Evans en sociopathe sadique, en antithèse totale de son rôle de Captain America. Et on voit qu'il y prend plaisir ! Le scénario global apporte peu de surprise et les dialogues ont quelques bons mots.
Un très bon film immersif dans le Caire contemporain et l'Egypte tiraillée entre gouvernement laïque et université Al-Azhar, phare international des sciences islamiques. Il s'agit à la fois d'un thriller, d'un film d’espionnage intérieur et aussi très politique. Le film est un peu long; c'est une question de ressenti. Le scénario est très ancré dans le temps réel et quotidien. Ce n'est pas un film sur l'Islam en tant que tel, il n"y ...
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Mais qu'est-ce que Lyna Khoudri et Olivier Gourmet sont allés faire dans cette galère ? Ce film scénarisé sur le mode Apocalypse Now / 12 salopards du pauvre n'est qu'un bain de sang avec des acteurs/soldats apathiques quel que soit le camp ou bien au contraire enragés et à la limite de l'animalité. De ce côté, seul compliment à faire, ce n'est pas manichéen. L'un et l'autre camp torture et massacre à qui mieux mieux, y compris dans ...
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On m'avait beaucoup loué ce film de Ari Aster. Au final, j'en suis largement revenu.
Tout d'abord, l' "horreur" promise n'est pas si poussée que ça; d'une part en tant que telle, d'autre part parce que tout est trop lent et on voit venir les choses des kilomètres à l'avance.
En réalité, Ari Aster a tout misé sur l'effet de contraste entre la campagne suédoise, l'accueil des locaux, les couleurs, le folklore et la crudité des ...
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Le principal intérêt de ce film, en ce qui me concerne, est de rappeler ou faire connaître cet épisode dur de l'anti-religion au Mexique à cette époque et la résistance des chrétiens. Mais le traitement qui en est fait n'est pas purement factuel et descriptif. Il y a un parti pris qui rend romantique et héroïques des chrétiens qui n'hésitent pas à prendre les armes et tuer, mener des représailles et des attaques. Ce qui est purement ...
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