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Que d'incohérences scénaristiques. Les Amazones anéantissent les hommes sur la plage sans se préoccuper de ceux restés sur le vaisseau amiral. Chris Pine qui se fait détroncher dans la minute qui suit son débarquement à Londres. Que de raccourcis historiques, d'anachronismes. Une sorte de tambouille inculte qui mélange Mythologie Grecque, 1ère guerre mondiale, Super héros : une soupe indigente. Le super vilain en l'espèce de David ...
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Le monde ce range en 2 catégories : ceux qui ont aimé Prometheus et ceux qui l'ont détesté. En tant que personne qui l'avais adoré (pas de suite, certes), je commencerai par les "moins" :
1/ déception de ne plus retrouver Naomi Rapace qui était excellente, digne héritière de Sigourney Weaver. La nouvelle héroïne Katherine Waterston est bien faiblarde - tout comme le reste du casting, avec lequel on établit aucun lien affectif. 2/ ...
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Un plaisir de revoir l'univers Warcraft en film, qui prossède véritablement sa propre identité. L'histoire est fluide, les combats bien réalisés. Quelques dialogues grandiloquents et mièvres, mais dans le fonds le film est ce qu'on attendait de lui : un grosse machine hollywoodienne à sensations forte
Une sorte de gloubiboulga dont on se demande après coup ce qu'il signifiait tant il manque de substance et de fluidité. L'inspiration égyptienne, là pour donner une dimension historique et exotique au récit, est totalement grossière. C'est Hollywood qui touche avec grosses pattes et son inculture à la mythologie. La psychologie des personnages est d'un manichéisme et d'une simplicité inouïes (cf. l'ex-méchant devenu gentil qui devient ...
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Un navet pas permis. Bien sûr on ne s'attendait pas au scénario de l'année, seulement il est entièrement basé sur un mythe bidon et complétement tiré par les cheveux : le 8 d'Ozaki. Une succession de défis pour "polyathèltes" afin d'entrer en communion avec la nature et pouvoir restituer. Bref cette farce grotesque qui mélange esprit new age, écologisme et sensation forte n'est même pas vraiment sauvée par les images. Les cascades ...
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Les deux acteurs s'en sortent plutôt pas mal pour interpréter leur superhéros. Des superhéros dont on ne se lasse pas, qui sont comme des mythes modernes. Malheureusement ça ne suffit pas/plus. On a bien du mal à suivre ce scénario qui peine à amener Batman er Superman à l'affrontement. Le resultant donne quelque chose de factice et couru d'acance.
Une soupe niaiseuse dont la vacuité n'a d'égal que son indigence. Les personnages sont caricaturaux à souhait, tous plus impulsifs et écorchés vifs les uns que les autres. Aucune profondeur, ici la détermination est portée au cmpinnacle comme qualité. On pousse le manichéisme plus loin que jamais (des méchants qui sont méchants et des.gentils qui sont gentils) - quelle triste ironie pour un film qui se veut "libérateur". Seulement ...
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Captain America c'est l'incarnation même de la détermination américain, qui flirte parfois avec l'entêtement voire l'autisme. L'absence de super méchants se fait sentir, le dilemme des 2 camps qu'on nous refourgue en échange et sans intérêt
La photographie à elle seule vaut le détour. Le Dakota, saisi pendant l'hiver, est splendide. L'intensité du scénario fait oublier sa simplicité. Sans cession mais pas gratuit
L'entrée en matière est vue et revue: portrait d'une adolescente paumée qui cherche son identité sexuelle. La suite sera fera plus intéressante avec le choc des milieux sociaux simple/travail honnête Vs. cultivé-pédant/travail culturel. Chaque milieu se préjuge, avec une forme de défiance, et finalement c'est cette différence qui sera à l'origine de leur rupture. Homo ou pas, aimer c'est rgarder dans la même direction. La période ...
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Un casting de stars pour une histoire tantôt parfaitement convenue tantôt surprenante. Une réalisation efficace servie par des décors superbes, une touche burlesque qui ajoute de la légèreté mais lui fait perdre en intensité.
Les premières minutes attirent l'attention sur le thème de l'expérimentation sociale, avant de bifurquer vers un excitant Arsène Lupin. Mais un plot twist avait déjà savamment été mis en place, il déroule sa mécanique implacable, le rythme est parfaitement maîtrisé de bout en bout. Le scénario est redoutablement bien ficelé, et ne laisse pas indifférent : lorsque l'intrigue se referme le spectateur plonge dans l'abîme vertigineuse du (anti)héro.
La scène d'ouverture terminée, l'intensité de cet opus retombe bien vite. L'intrigue est parfaitement convenue bien qu'elle essaie de surfer sur l'ère du temps (surveillance de masse), l'interprétation de Christoph Waltz est totalement ratée puisqu'il rend son personnage burlesque. Des scènes qui tombent comme un cheveu sur la soupe, comme celle avec Monica Belluci, qui cherche tellement à paraître "torride" que cela en est grotesque, ...
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La photographie du film est une réussite. La nature, omniprésente, est caressée par une lumière septentrionale, rasante et froide, qui fige le décorum dans une mélancolie d'été. Les dialogues sont minimalistes, comme pour mieux habiller les silences. Les personnages - penseurs, écorchés-vifs, rustres - s'entrechoquent dans l'absurdité d'un monde qui n'a d'égal que l'incommunicabilité de ses êtres. Des êtres qui ne sont qu'une ...
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La mise en scène est d'une pauvreté édifiante, les dialogues sont constitués d'enchaînements brutaux de plans serrés de face. Les comédiens sont d'une médiocrité éffarante. Basé sur l'Education sentimentale, l'idée transposer l'Histoire sur mai 68, à la place des révolutions de 1848 était sésuisante, mais l'intérêt s'émousse rapidement, n'est pas Flaubert qui veut, et l'intrigue qui prend des détours très personnels a bien ...
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Philippe Nahon est décati et ébouriffé, un physique difficilement supportable. Vendredi est mal joué, l'acteur ne dégage rien, surtout pas l'instinct naturel et l’enthousiasme que décrivaient Tournier. Les scènes sont trop courtes ne laissant pas au film la possibilité de prendre un allure contemplative. L'image est terne. Le résultat est un peu creux.
Film raté. Aucune profondeur dans la relation entre Robinson et Vendredi. Naïveté dans la narration, digne d'un Walt Disney. Réalisation niveau amateur. Happy end hollywoodien ridicule. Un téléfilm ferait mieux.
Intrigue inutilement complexe, et finalement confuse. Héro d'un tempérament - colérique et impulsif - puéril. Scènes d'action too much & overkill. Répliques qui ne font pas mouche. Parfois dégoulinant de bons sentiments et de pathos. Les éléments qui ont fait le succès de la franchise (T1000, shotgun, etc.) sont là mais bien mal exploités. Emily Clarke, plutôt dodue, est beaucoup moins séduisante que dans GoT.
Ce film fait l'effet de ce que Nirvana a été pour la musique : une déflagration. Tout avait été dit sur Cobain, Montage of Heck n'apprend rien de nouveau, si ce n'est qu'il dévoile des supports inédits (dessins, notes, etc.). Reste que c'est magistralement bien fait et redoutablement efficace : techniquement impeccable. Difficile de rester avachi dans son siège lors du générique qui ouvre sur "Stay Away". 2h30 masturbatoires, jouissif ...
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Mièvre, tire-larmes, personnages à la psychologie caricaturale. Trop d'effets spéciaux et mal faits. Emma Stone est jolie...
Les personnages du premier, la narration du premier, l'esthétique du premier... mais ce n'est pas le premier. Tellement creux et anecdotique que les torrents d'hémoglobine mauvais goût ne sauraient le dissimuler
Film paradoxal, à la fois bien réalisé et en même temps avec un scénario et des dialogues d'une vacuité lénifiante. Sans intérêt
Esthétiquement déplaisant et visuellement kitsch. Le scénario est brouillon mais offre quelques bonnes scènes impressionnantes.
Des dialogues d'une vulgarité crasse. Aucune phrase sans insultes. Bête et méchant. Mal joué. A oublier au plus vite.
De l'efficacité mais pas de subtilité. On ne développe que peu d'empathie pour cet Alex Cross, bien mal incarné.