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Effleurant chaque personnage sans jamais les travailler, il reste un dispensable long métrage qui aurait peut-être mérité une mini-série.

L'excellente prestation de l'ensemble du casting n'enlève pas une certaine redondance du récit qui, sur la forme, reste assez classique.

Malaisant et lourdingue, cette suite n'offre que peut de répits au téléspectateur qui se perd dans un enchevêtrement de mauvaises idées.

Malgré une mise en scène assez sombre, on ne sait pas sur quel pied danser dans un film qui se cherche sans jamais se trouver..

Passablement ennuyeux, il relève quelque peu la tête dans chapitre final sans pour autant sauver les meubles.

Une publicité Warner XXL de 2h sous un fond de scénario écrit par une IA et toute absence artistique.

Laisser libre champ à l'écoute de la nature est un pari réussi et porte parfois une certaine poésie mais le récit tourne souvent en rond.

Suite inutile et coquille vide qui, sans être foncièrement désagréable, n'apporte quasiment rien de plus par rapport à son prédécesseur.

Plus mature que son ainé, le virage est mal amorcé pour prolonger un récit qui souffre trop d'une certaine lourdeur.

Bancale, mal exécuté, parfois ennuyeux mais de façon paradoxal diablement étonnant dans sa conclusion qui remet l'analogie du personnage en perspective.

Ô combien touchant, le documentaire ne tombe cependant pas dans le piège du larmoyant retraçant étonnamment le combat de l'acteur.

Point d’intérêt sur une énième suite qui, bis repetita, s'amoncelle sous un tas d'incohérences plus ridicules les unes que les autres.

Mise en scène coup de poing pour cet uppercut à la mâchoire asséné à la société du culte de la beauté et du paraitre.

Souvent juste dans son propos et parfois prenant, le récit reste souvent inégal et perd en crédibilité en terme de rapport à la réalité.

Malgré un duo plus que convaincant et une belle mise en scène, le récit n'en reste pas moins trop banal pour pouvoir nous emporter.

Nous prenant régulièrement à contre-pied, cette nouvelle mouture, plus maligne de ce qu'elle peut paraitre, scelle des enjeux solides.

Sans grand intérêt et ne sachant pas vraiment à qui s'adresser, cet opus fera peut être frissonner par moment les plus jeunes.

Chevauchée d'une belle aventure qui, confrontant la technologie à mère nature, s'emploie à donner un récit parfois poussif mais généreux en émotion.

Dispensable et parfois réchauffé, ce deuxième opus souffle le chaud et le froid tant dans son exécution que dans sa narration.

Selick appose un univers à la fois touchant, étrange et horrifique supplée d'une certaine dose de charme qui trotte dans la tête.

Prévisible et balisé mais pas désagréable, il se démarque principalement grâce ses deux acteurs principaux qui font monter l’émotion.

A travers un univers glaçant de crédibilité, Garland prône l'image du quoiqu'il en coûte comme vérité de l'instant, empreinte indélébile de l'Histoire, témoignage d'une société chaotique sans repères.

Involontairement anti-spectaculaire, ce remake n'apporte rien de plus que son aîné si ce n'est un coté fade.

Thérapie par l'angoisse soignant un microcosme familial en souffrance. Quand se mêlent fantastique et deuil efficacement.

Pastiche d'une certaine idée du divertissement, ce quatrième opus en fait des caisses sans pour autant réussir son coup.

Bardé de clichés sur un sentier ultra balisé, M3gan est l'exemple parfait de la paresse artistique au profit d'une poudre au yeux visuelle.

Beaucoup plus conventionnel que son ainé, il pêche dans la facilité, sans réellement se réinventer, et ce, malgré quelques bonnes surprises.

Jeu de dupe et manipulation font de ce thriller sombre un haletant parcours lavant de ses péchés le cynisme l’âme humaine.

Plaisant hommage à ses ainés, Romulus ne fait pas de superflu et va à l'essentiel tout en créant sa propre singularité. Belle surprise.

Emprunté d'un énième abus lourd et facile du Multivers, cet opus détonne cependant par un coté attachant enrobé d'une certaine nostalgie.

Trop calqué sous certains aspects à la "The Social Network", il arrive à de rares moments à tirer son épingle du jeu.

Cette excellente caricature de la télévisons américaine et de ses stéréotypes tranche avec un surplus de toomuch qui frise l'overdose.

Sous sa métaphore du passage à l'age adulte, cette épopée haute en couleur, empli de gaité, reste entêtante.

Oscillant entre blockbuster visuellement brillant et scénario convenu et prévisible, cet opus déçoit plus qu'il ne brille.

Esthétiquement attrayante et bien ancrée dans l'esprit de ses ainés, cette nouvelle version animée est une bonne surprise dans son ensemble.

S'attirant une modeste sympathie, cette comédie assez datée provoque cependant plus de râlements que de sourires.