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Point d’intérêt sur une énième suite qui, bis repetita, s'amoncelle sous un tas d'incohérences plus ridicules les unes que les autres.

Mise en scène coup de poing pour cet uppercut à la mâchoire asséné à la société du culte de la beauté et du paraitre.

Souvent juste dans son propos et parfois prenant, le récit reste souvent inégal et perd en crédibilité en terme de rapport à la réalité.

Malgré un duo plus que convaincant et une belle mise en scène, le récit n'en reste pas moins trop banal pour pouvoir nous emporter.

Nous prenant régulièrement à contre-pied, cette nouvelle mouture, plus maligne de ce qu'elle peut paraitre, scelle des enjeux solides.

Sans grand intérêt et ne sachant pas vraiment à qui s'adresser, cet opus fera peut être frissonner par moment les plus jeunes.

Chevauchée d'une belle aventure qui, confrontant la technologie à mère nature, s'emploie à donner un récit parfois poussif mais généreux en émotion.

Selick appose un univers à la fois touchant, étrange et horrifique supplée d'une certaine dose de charme qui trotte dans la tête.

Prévisible et balisé mais pas désagréable, il se démarque principalement grâce ses deux acteurs principaux qui font monter l’émotion.

A travers un univers glaçant de crédibilité, Garland prône l'image du quoiqu'il en coûte comme vérité de l'instant, empreinte indélébile de l'Histoire, témoignage d'une société chaotique sans repères.

Involontairement anti-spectaculaire, ce remake n'apporte rien de plus que son aîné si ce n'est un coté fade.

Thérapie par l'angoisse soignant un microcosme familial en souffrance. Quand se mêlent fantastique et deuil efficacement.

Pastiche d'une certaine idée du divertissement, ce quatrième opus en fait des caisses sans pour autant réussir son coup.

Bardé de clichés sur un sentier ultra balisé, M3gan est l'exemple parfait de la paresse artistique au profit d'une poudre au yeux visuelle.

Beaucoup plus conventionnel que son ainé, il pêche dans la facilité, sans réellement se réinventer, et ce, malgré quelques bonnes surprises.

Jeu de dupe et manipulation font de ce thriller sombre un haletant parcours lavant de ses péchés le cynisme l’âme humaine.

Plaisant hommage à ses ainés, Romulus ne fait pas de superflu et va à l'essentiel tout en créant sa propre singularité. Belle surprise.

Emprunté d'un énième abus lourd et facile du Multivers, cet opus détonne cependant par un coté attachant enrobé d'une certaine nostalgie.

Trop calqué sous certains aspects à la "The Social Network", il arrive à de rares moments à tirer son épingle du jeu.

Cette excellente caricature de la télévisons américaine et de ses stéréotypes tranche avec un surplus de toomuch qui frise l'overdose.

Sous sa métaphore du passage à l'age adulte, cette épopée haute en couleur, empli de gaité, reste entêtante.

Oscillant entre blockbuster visuellement brillant et scénario convenu et prévisible, cet opus déçoit plus qu'il ne brille.

S'attirant une modeste sympathie, cette comédie assez datée provoque cependant plus de râlements que de sourires.

L'hommage et la reconnaissance aux cascadeurs est fortement louable mais son débordement d'humour poussif entache son récit.

Percutant par ses scènes de chaos, cette mouture surprend aussi par son ancrage dans le caractère historique et les enjeux qui en découlent.

En traçant son épopée aussi bestiale que lyrique, Miller compose une partition magistrale qui met en exergue la notion même de cinéma.

Énième et dispensable clone, ce Statham-movie ne vaut pas ce qu'il était en mesure de proposer initialement.

De son ambiance sombre et pesante, Hitchcock fait naitre l'effroi et la tension qui n'a de cesse jusqu'à son dernier plan.

Trop emprunté par rapport aux références dont il est inspiré, il en oublie de tracer lui même sa route. Pas désagréable mais assez banal.

Vaniček tisse sa toile dans le film de genre et accouche d’une petite pépite haletante à plusieurs niveaux de lecture.

Nettement en deçà de son prédécesseur, on se prend au jeu que dans de trop rares moments. La faute notamment à un récit qui s’essouffle très rapidement.

Drôle, inventif et bourré d’énergie, ce postulat de la surconsommation est une vraie bonne surprise dans son ensemble.

Long chemin de croix, cette branche de la franchise continue sa chute inéluctable vers les abysses de l'oubli.

Proche du vide abyssal, pompeux, il trace la lignée de son prédécesseur. Du low-cost à tous les niveaux.

Chirurgical dans sa partie procès, brillant dans son interprétation, reste un certain penchant assez classique proche des sentiers battus.

L'effroi du hors-champs glaçant l'horreur d'une effroyable sonorité. Carcan d'une terrifiante routine qui brise l'humanité.