_Royal_
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Ce film est juste splendide. Mieux que Gladiator, c'est juste le meilleur film du monde. Julie Taymor est une des rares femme, si ce n'est la seule, à oser se mesurer à ce milieu odieusement sexistes qu'est celui des réalisateur, et en plus le fait merveilleusement bien. Par la finesse de sa mise en scène et la justesse de son propos, Julie nous livre le plus beau et le plus féminin des films. Longue vie à Julie, gloire au cinéma ...
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Puisqu'Allociné m'a sauvagement éliminé ma critique précédente, avec la grâce d'une sorcière qui avorte un bébé mort à coup de ciseaux, et que je ne me souvient plus de ce que j'avais écrit, ce commentaire risque d'être bien vide, comme l'utérus d'ex-maman heureuse que j'étais.
Assez égal au premier, la surprise de découvrir Brice de Nice en costume en moins, ce OSS1172 propose lui aussi de l'humour qui fait sourire, avec cependant trop de temps morts entre les pauses.
En parcourant les critiques on peut voir revenir à de très nombreuses reprises "Chef-d'œuvre !" ou "A voir absolument !", ou même les deux en même temps parfois... Pas très constructif tout ça. Mais alors que je voulais écrire quelque chose de plus profond, de plus intellectuel, je vois soudain, dans ma propre critique : Un chef-d'œuvre ! A voir absolument ! Fuck.
Les cinq étoiles ne sont pas véritablement représentatives de la qualité de ce navet siliconé, mais c'est que j'ai une réputation à tenir moi. Donc oui, je me note moi même. Ce site n'a donc pas de modérateur. FAITES QUELQUE CHOSE !
Comment il est trop poilant le petit mongol. J'en veux un pareil pour Noël.
Apollo 13, nom de code : Forest Gump dans l'espace, nous fait revivre avec panache un épisode foireux de l'histoire de l'humanité, j'ai nommé la septième tentative, comme son nom l'indique, d'envoyer des stars hollywoodiennes dire bonjour aux vraies. Trololololo. C'est quand même beau ce que je raconte.
Parce que cracher dans la soupe n'a jamais fait de mal à celui qui n'en mangeait pas : prend ca dans ta face, vieux film qui n’intéresse plus personne... Personne de vivant en tout cas.
Quintessence du film d'auteur, dans lequel on retrouve tout ce que le premier mec qu'à fait un film d'auteur il a dit qu'il fallait qu'il y ait dans un film d'auteur. Enfin je crois. Une ambiance lourde, des personnages dépressifs, de l'humour qui refuse d'être drôle, des décors gris, mal éclairés et pas beaucoup mieux filmés. Le contrat est rempli. Et je ne parle même pas du scénario, vous avez remarqué.
Ce film est une grandiose leçon de vie pour tous les robots sans imagination. Ne vous cachez pas derrière votre rassurante condition mécanique. Vous aussi pouvez devenir menuisier et crever comme un misérable humain. Courage.
Paul W.S. Anderson s'éclate dans son job, il fait du pur divertissement et le fait foutrement bien. Il ne cherche aucunement à plaire aux retraités sadiques qui continuent d'aller voir ses films en sachant à l'avance le mal qu'ils en diront. Il rêve en RVB et porte des lunettes 3D au quotidien. DEAL WITH IT, nostalgiques maladifs.
Faire un film muet, en noir et blanc, en 2011, même si il est mal placé dans ma phrase, en y refoutant tous les clichés baveux du genre, pas grave c'est pour le public français, pourquoi pas. Seulement voilà, le problème du cinéma muet c'est que . Et pour remédier à ce problème, ils avaient compris à l'époque qu'il fallait du rythme, de la concision, de l'action, de l'humour et de la musique ... Bref, tout ce ...
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Il semblerait d'après Claire Chazal que le scénario de ce Nikita 2.0 ait en fait été volé par Besson Corp® à deux jeunes Youtubiens, après qu'ils l'aient anonymement déposé devant la porte de notre gourou joufflu adoré. Jusque là rien de bien nouveau me direz vous mais voilà, casser les rotules aux deux jeunes trublions ne s'est pas avéré suffisant. Et c'est ainsi qu'on retrouve leur court métrage post-Colombiana sur internet, ...
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J'aime bien ça me rappelle Les Bidasses s'en vont en guerre. Sauf que y en a un qui est français et l'autre qui est culte.
Difficile après avoir vu le premier, avec Vincent Perez, d'accrocher à cette suite fort peu inspirée. Tout y est exactement pareil, mais en plus vieux, et presque plus dynamique. Et puis tient, pour vous embrouiller encore un peu plus je met 4. Allez comprendre...
On en parle pas assez mais l'apparition de Carla Bruni-Sarkozy est assez ridicule. Comment j'suis trop un fou. F*CK LA POLICE.
Ha ! Les années 2000 et leurs effets spéciaux... Toute une époque. Heureusement, même s'ils en faisaient alors des tonnes, sans se rendre compte que pas une seule retouche ne valait la précédente, ils avaient aux moins l'intelligence de recouvrir tout ça d'une couche de nibards sans fin, à croire qu'ils étaient au courant pour leurs effets spéciaux pas beaux.
Qui l'eu cru, qu'on arriverait un jour à remplir de bons sentiments des combats de boxe... à faire un film über-sentimental avec des robots... mécaniques en plus. J'avais pas pleuré comme ça depuis Rambo 3.
Un film choisissant pour personnages principaux deux cerfs-volants, avec accessoirement des gosses accrochés au bout, il n'y avait que Marc Foster pour faire ça... Logique, après qu'il ait osé réaliser un Peter Pan sans Peter Pan, un espèce de Donnie Darko sous barbituriques, une comédie spoiler: drôle
avec Will Ferrell, et même un James Bond sans Pierce Brosnan, qu'elle audace ce Marc Foster !
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"Un chef d'œuvre de polar noir..." Tellement noir qu'on en a perdu la couleur. Oui c'est mauvais, mais vu le nombre de personnes que ce film intéresse, je ne risque pas grand chose avec cette vanne.
Et dire qu'il y en a qui trouvent les Resident Evil mauvais...
Ca y est, c'est parti, la transposition-adaptation des films d'action dans un style pour bobo-intello-branchouille a démarré. Tout y est, dans ce palpitant Drive, prenant les traits d'un David Lynch du Blockbuster. La musique Electro-Trip-Hop langoureuse. L'acteur beau-gosse-propret-sur-lui, qui cache ses émotions pour un jeu d'acteur "en finesse", lol. Tarlou... Révélation hype du moment, qui d'ailleurs s'adapte parfaitement à la typo du ...
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Et bin voilà ! Dès que Clint daigne enfin déserter le devant de la scène qu'il accaparait par la force depuis bien trop longtemps, on peut vraiment commencer à respirer et voir arriver de bon westerns, enfin.
WHAT THE FUCK !!! Chaplin sait parler ! Et en plus il est vieux, il a les cheveux blanc, on dirait Ron Perlman ! Rhaaa, mes yeux brûlent !!!
Hormis que je ne comprenne toujours pas le Crazy du titre, ce film reste un très bon film de Kung Fu, tout ce qu'on peut attendre d'un film de Kung Fu.
Mais ce film n'est pas un film ! C'est une machine à citations cultes, une machine à sentiments, une machine à tirer des larmes en quantités industrielles, une machine à Oscars, une machine à casser la baraque du box office, une machine à transformer les minutes en heures aussi, une machine à pognon évidement, une machine vraiment trop bien huilée pour être trop bien.
Encore une fois les amerloques n'ont pas supportés de se faire coiffer au poteau, par un gros bonhomme rigolo, plein de thune et bien trop talentueux pour être français. C'est pourquoi dans leur rage, ils n'ont pu s'empêcher de faire leur propre version, (je parle bien évidement du film Arthur et les Minimoi, pour les quelques gosses atteint d'Alzheimer qui me lisent, mes plus grands fans, kiss), sans se préoccuper une seule seconde de ...
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Un remake trop long, trop latino et trop Danny Trejo du Parain de Coppola. Une sorte d'El padrino di Coppolo, dans ce cas precis.
Comment c'est trop une histoire de fou ce film. C'est carrément barge. Je comprend juste pas pourquoi, à un moment Spiderman saute au travers d'une fenêtre et bouscule Russell Crowe en se mettant à lancer des toiles sur Pikachu s'enfuyant sur un tricycle. Les voix du cerveau sont parfois impénétrables ...
Pas une seule vue du quartier de Chinatown. Moi qui m'attendais à voire des feux d'artifices, des costumes de dragons et de rouleaux de printemps... Ce film est une grosse arnaque.
Un film pas vraiment bio, qui se permet de jouer avec la nourriture, incite les enfants à bouffer comme des gorets et se fout carrément de la gueule de mon Iron Man préféré, bref, tout ce que mamie à toujours dit de ne pas faire. C'est tellement hardcore. J'adore.
Chassé-croisé de destins écourtés plutôt intéressant et bien monté. Sorte de Collision version d'jeune et un peu crétine sur les bord. Dommage qu'aucune véritable originalité ne vienne remonter le niveau, hormis le choix des musiques, toutes empruntées chez Pinder&Co, dont chaque écoute constitue en soi une véritable épreuve de self-control. Tout comme le générique du début, à classer définitivement comme la plus belle ...
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Une demi étoile ! Et celle là tu l'as pas volée. Pas de rythme, pas d'enjeu, pas de frison, pas de suspens, que du temps, beaucoup de temps, trop de temps, gaspillé vainement. Et un Johnny Depp lui aussi gaspillé, qui s'ennui autant que nous, à faire ses habituelles mimiques de fou-fou, sans enthousiasme, sans entrain, et surtout sans rien apporter au film. Tout ça ne colle pas, rien n'est crédible, et ce rien, est en plus bien loin ...
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Ce film n'est vraiment pas bon, mais ça tombe bien, il n'en a jamais eu la prétention. Et il me semble évident qu'en ce sens, il en devienne juste absolument génial. C'est logique.
Haaaaa ! Ces bonnes vieilles sonorités, propre aux films des années 30... Et puis ce grain d'image, ce noir et blanc tout en fines nuance, qui sautille même de temps en temps... Et ces sujets si précurseurs, sur la corruption politique dans un monde si conformiste... Sans parler de ces personnages pleins de contradictions et de tracas, dans leurs beaux costumes, ... toute une époque. Tout ça c'est un peu comme l'odeur des champs, des vaches ...
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Comme mon grand père disait toujours, Il faut jamais pigeonner plus gros poisson que soi, sauf si le pigeon a déjà acheté la peau de l'ours... Il disait aussi, Arrête de répéter tout ce que j'dit sale morveux, tu m'fait gerber, dégage de là, hergblH rrrhecK. Mais j'ai jamais bien compris ce qu'il voulait dire par là. Ni si il faisait vraiment référence à ce film.