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Très bon film, mais la VF est limite insupportable. Honte à Arte ! Voir les rues vides de Rome en 1961 est un régal. Mastroianni magistral comme d'habitude. Micheline Presle toujours très belle, et une petite apparition de Mac Ronay (Bastien des Tontons Flingueurs).
J'ai arrêté au bout de 50 minutes. Les histoires de mères abusives, trop pour moi. Sarah Giraudeau est craquante, mais tout le reste est lourd, trop lourd. J'avais vu un film anglais où une femme revoyait son mari mort, et ses amis, et c'était magnifique sur l'épreuve du deuil, mais là, aucune émotion pour moi, que de l'ennui.
Fan de Mathieu Amalric, je suis allé voir son dernier opus le premier jour, et quelle déception ! Montage alambiqué, maison lugubre, acteurs pas attachants, je n'ai ressenti aucune empathie pour le personnage principal. Seul intérêt : la voiture faite pour les road-movies (une AMC Pacer break de 1979) ! Mathieu, j'avais adoré Tournée...Heureusement tu nous a gratifié d'un JJ Cale au générique de fin !!!
Pour moi, le Navet des navets (légume que j'aime par ailleurs). Scénario improbable, acteurs soit faiblards (Adamo), soit en roue libre (Hahn et Constantin), ou sous exploités (Simone Valère et Dessailly, avec une mention pour Bobby Lapointe qui donne deux crochets du poing dans le vide). Le summum est Élisabeth Wiener qui est en tête du générique pour quelques minutes en fin de film, dans un rôle de potiche inexpressive (mal) coiffée ...
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Dans les 70’s, pas de réseaux sociaux, Meetic et autres. Les esseulés (Lonely hearts’ club band des Beatles) se rabattent sur les agence matrimoniales. Hugues (JCCarrière), jeune vétérinaire provincial, veut s’installer à Paris. Il cherche une femme qui aurait un grand appartement pour ouvrir son cabinet. Le directeur de l’agence (Jean-Pierre Darras, commercial et obséquieux à souhait) commence à se fatiguer des refus de son ...
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Félicité, après un début prometteur, distille un ennui profond, avec des scènes incompréhensibles, mal filmées, avec des photos de nuit mal éclairées. Je me suis retenu pour ne pas quitter la salle avant la fin. Je ne comprends pas comment ce film a pu obtenir un prix à Berlin.
Comme Arte nous avait préparé une soirée Jacquot pour la sortie de ce dernier film, j'ai vu "Villa Amalia", que j'avais enregistré, en rentrant chez moi : même générique et même lever de soleil au téléobjectif. On ne change pas une équipe qui gagne ?
Dans les deux cas, l'histoire est complètement improbable, et on n'y crois pas une seconde. Les deux films m'ont profondément ennuyé.
Dans les deux cas, l'histoire est complètement improbable, et on n'y crois pas une seconde. Les deux films m'ont profondément ennuyé.
Ce film a terriblement vieilli : décors même pas kitch (ah, les papiers peints de 1973 !), scènes d'actions ridicules, jeux de miroirs vite lassants, son post synchronisé comme dans les films italiens de cette époque (je l'ai vu en VO), histoire trop longue où l'on se perd. J'ai piqué du nez plusieurs fois. Juste quelques anticipations bien vues de notre monde 39 ans plus tard. Ce n'est pas le meilleur Fassbinder...
Magnifique. Un visage de l'Iran qu'on découvre, loin de ce que l'on perçoit dans les infos politiques sur ce pays.
Tient bien la route à la 3ème vision. Tourné en 15 jours, avec un petit budget (maquette de paquebot dans une bassine, scènes d'intérieur de voitures en studio). Mais les idées restent d'actualité 41 ans après !
Pas mal, mais manque un petit quelque chose pour que je ressente de l'émotion.
Les acteurs sont très bien et très beaux. Les acteurs et les villes sont formidablement filmés. J'ai retrouvé l'ambiance des rues et des magasins de mon enfance, même les bruits de Paris. Dommage que les anciennes voitures soient un peu trop restaurées. Un bémol : le film est un peu long, et à partir du 11 septembre 2001 on se demande ce que veut dire le cinéaste.