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Ce ne fut pas une "séance" cinéma mais une véritable expérience. Lorsqu'on en est prévenu on risque moins de quitter la salle, tout décontenancé que l'on est de voir quelque chose de neuf ...
La beauté des images est bien sûr ce qui frappe le plus; on ne ressort pas tout à fait indemne des deux heures et quelques de plans sublimes, qu'ils dressent des portraits d'hommes ou de la nature. Que retenir de l'histoire ? Il n'est pas nécessaire de se focaliser sur le message d'ordre cosmique que le filme porte : la relation mère-père-fils-frère n'ayant rien de mystique, à elle seule elle est l'occasion de moments de grâce (les trois fils qui jouent avec leur mère, tellement beau !) ou de tension inouïe. Tree of life confirme que Brad est un très grand acteur, dans ce rôle de père aimant mais bourru et maladroit.
Et pourtant, que de longueurs !! Des métaphores le temps d'un plan totalement incompréhensibles, un contre-jour avec soleil de fin d'aprem quasi-systématique (le soleil appararaissant derrière un visage, une branche d'arbre etc), une thématique de l'eau qui donne envie de faire pipi à toute la salle (des vagues, des cascades, des fleuves ... ushuaïa sauce ricaine). Et surtout cette voix qui chuchotte à n'en plus finir des mots ("mother" .... "brother" ...)
Bref, c'est très dur de totalement rentrer dedans surtout lorsque la moitié de la salle pouffe de rire. Tout cela se joue à pas grand chose pour ce qui aurait pu être un chef-d'oeuvre; très certainement dans sa longueur, dans sa fin ridicule et ... dans les espoirs trop grands placés en lui. (Pourquoi le nom de Sean Penn apparaît-il sur l'affiche ???)
La beauté des images est bien sûr ce qui frappe le plus; on ne ressort pas tout à fait indemne des deux heures et quelques de plans sublimes, qu'ils dressent des portraits d'hommes ou de la nature. Que retenir de l'histoire ? Il n'est pas nécessaire de se focaliser sur le message d'ordre cosmique que le filme porte : la relation mère-père-fils-frère n'ayant rien de mystique, à elle seule elle est l'occasion de moments de grâce (les trois fils qui jouent avec leur mère, tellement beau !) ou de tension inouïe. Tree of life confirme que Brad est un très grand acteur, dans ce rôle de père aimant mais bourru et maladroit.
Et pourtant, que de longueurs !! Des métaphores le temps d'un plan totalement incompréhensibles, un contre-jour avec soleil de fin d'aprem quasi-systématique (le soleil appararaissant derrière un visage, une branche d'arbre etc), une thématique de l'eau qui donne envie de faire pipi à toute la salle (des vagues, des cascades, des fleuves ... ushuaïa sauce ricaine). Et surtout cette voix qui chuchotte à n'en plus finir des mots ("mother" .... "brother" ...)
Bref, c'est très dur de totalement rentrer dedans surtout lorsque la moitié de la salle pouffe de rire. Tout cela se joue à pas grand chose pour ce qui aurait pu être un chef-d'oeuvre; très certainement dans sa longueur, dans sa fin ridicule et ... dans les espoirs trop grands placés en lui. (Pourquoi le nom de Sean Penn apparaît-il sur l'affiche ???)