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Ce film est destiné au lecteurices de Heartstopper. C'est bien joué sans plus, des personnages sans trop d'épaisseur, c'est gentiment filmé. Il manque la neige et les sapins décorés. Point positif: c'est chaste et respectueux des acteurices adolescents.
Un thriller très réussi : une tension presque insoutenable et des ombres portées efficaces auxquelles s'associe une fin ouverte et symbolique d'une finesse remarquable. Excellent !
Victor Belmondo rayonne, à la fois sombre et lumineux. Son ton est juste, son jeu sobre est profond, réfléchi. Guillaume de et Guilaine sont épatants. Le trio forme le vrai récit du film: un polar psychologique aux ressorts bien huilés entre tension et humour oxygène. Les jeunes Gillet et de Saint-Jean sont touchants et talentueux mais leur rôle nous fait revoir une histoire déjà tant de fois relatée, depuis Différents des autres ...
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C'est une montagne russe de plaisir. Tout•es les comédien•es sont impressionnant•es et Margot Robbie est magistrale, on l'aime déjà mais désormais elle sera respectée comme une formidable actrice. On ne va pas ici rabâcher toutes les choses mieux dites ailleurs. Mais il faut saluer la séquence finale lorsque Manny est au cinéma, qui est au 7e Art ce que la scène finale de 2001 l'Odyssée de l'Espace est au cosmos. Magnifique.
On a beau avoir comme moi une sacrée estime pour Ramzi Bedia, on va tenter d'être le plus objectif possible pour rédiger mon humble critique. Comment ne pas se sentir proche de chacun des personnages principaux de cette comédie qui remplit parfaitement son rôle?
Tout est travaillé avec rigueur, tendresse et sincérité. L'écriture est soignée sans être grandiloquente, les répliques bien balancées.
Tassasit Mandi esr bouleversante du ...
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C'est une expérience. On pense aux films de Sharunas Bartas ( orthographe de mémoire) les longs plans fixes renforcent la pesanteur de la solitude, le dérisoire des vies creuses, l'ennui de la maladie. Une prise de risque.
Très intéressant d'un point de vue informatif, le film accumule d'excellentes actrices et son discours féministe est le bienvenu. Les images sont belles, au point que New York devient presue un personnage.
Néanmoins le film manque de tension et
Néanmoins le film manque de tension et
James Gray, c'est du cinéma soigné, mais c'est parfois trop lisse. C'est le cas de cet opus, impeccable, rien à dire, parfaitement dirigé mais voilà, on espère presque que Joséphine Ange Gardien apparaisse pour remettre les personnages dans le droit chemin. Voilà.
Poignant. Profond, sobre. Sans mélo, sans fioriture et surtout sans voyeurisme. Le point de vue d’un môme tout du long, l’apprentissage de la rupture dévastatrice, l’apprentissage de l’absence brutale, la découverte du chagrin dévorant. La frayeur du lâcher prise.
Close, de Lukas Dhont, ( on avait adoré son Girl) est un souvenir déchirant qui nous parle de nos fantômes. Ceux qui nous hantent à jamais.
Cetain•es auraient ...
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J'imaginais un film à mi-chemin entre 8 femmes et Péril en la demeure et en cela c'est satisfaisant même si on songe plus à l'humour noir d'un Chabrol. Saluons un auteur subtil et fin dialoguiste qui sait choisir un bon chef-op ( au moins pour les 7/8 du film) et sait faire jouer des actrices de tous les âges. Un fin suspense bien prenant et des coup de théâtre bien amenés, c'est du beau travail. On regrette seulement le regard appuyé ...
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On apprécie ces bandes-annonces qui en disent assez pour avoir envie, mais suffisamment peu pour aller de surprise en surprise. Voici une satire décapante, avec des scènes qui parfois évoquent Blake Edwards ou Jacques Tati mais filmé par Bukowski. On rit et on s'étrangle de malaise. Sexisme et Cynisme du dominant, décidément, Oslund ne nous épargne pas.
Le film bénéficie d'un capital de sympathie germanopratine qu'on ne lui ôtera pas, mais qui le laisse surévalué. On l'aura vu en entier sans réel déplaisir sur tout qu'on attend le fascinant monologue de Françoise Le run. Mais que de propos réacs et lourdement sexistes dans la bouche de Léaud. Des dialogues mal vieillis et parfois saugrenus. Des chansons entières écoutées sur un plan fixe. Seule Bernadette Lafont est ...
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J'ai ri de bout en bout. Dès le début du film, car on n'est pas dupe sur la qualité du jeu. On se retrouve devant un nanar absurde et l'on se surprend à observer les détails incongrus, les cocasseries des dialogues, les mouvements de caméra ( et même son immobilisation d'un moment) jusqu'au dernier, tremblant, mais audacieux. On rit aux giclées de sang, en plaignant ceux qui attendaient un film efffrayant et croient se retrouver devant ...
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La représentation de différents handicaps grâce à des comédiens touchés par ce handicap est excellent: tout le monde se donne avec force dans l'interprétation d'une histoire prometteuse.
Hélas la mise en scène est paresseuse, les dialogues et les rebondissements téléphonés, les résolutions frisent le ridicule et la seconde partie est consternante on dirait une enfilade de tik toks nazes. Un projet emballant qui s'avère ennuyeux.
Hélas la mise en scène est paresseuse, les dialogues et les rebondissements téléphonés, les résolutions frisent le ridicule et la seconde partie est consternante on dirait une enfilade de tik toks nazes. Un projet emballant qui s'avère ennuyeux.
Les comédies sont réussies lorsqu'elles sont porteuses de message et de réflexion. C'est un des points forts de cet excellent film. Il fait rire et il émeut. Les personnages, creusés avec chacun leur personnalité, leurs démons et leur grandeur, sont tous attachants. Les dialogues sont épatants et l'image est bien léchée. Les acteurs sont épatants. J'ai particulièrement adoré un passage monologue au cours duquel un des personnages ...
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Allez, on l'a un peu moins aimé que Effacer L'Historique, mais franchement c'est l'antithèse de ce cinéma d'humour à la papa entre Bon Dieu et Epouse moi mon pote ou un kev adams. On rit du début à la fin, on jubile de la situation, on s'attache aux personnages. Deux choses quand même, on attendait la vélocité de Effacer, et ce Béquet décrit comme raciste homophobe, raciste okay c'est bien amené, mais on be fait que SAVOIR qu'il est ...
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Le meilleur film DC hors Batman. Vraiment très drôle et pas seulement pour les fans invétérés ! Un grand film d'aventure burlesque avec juste ce qu'il faut de trash.
Fréderic Tellier sait filmer tant la pesanteur psychologique que l'intime et nous offre les deux en un savant mélange. C'est remarquable. Le film est un beau travail de collaboration avec chef-op et monteur. Le dernier plan est sublime et mystérieux. Les comédiens sont impliqués et bien menés, toujours crédibles, le plus souvent juste. Qu'on ne croie pas que j'exagère en songeant, pour ce film, à Costa Gavras ( avec un rythme plus ...
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Un film attachant qui recycle admirablement le vaudeville et en cela il est fort. Les dialogues sont ciselés et le propos est profond. Une belle direction d'acteurs tous impeccables. Guiraudie ne fait jamais le même film tout en faisant du Guiraudie.
Adapter et rendre accessible les deux tiers du long roman de Balzac, notamment grâce au récit lu par le merveilleux Xavier Dolan, Giannoli y est parvenu. C'est indéniable. Néanmoins, on espère toujours que le réalisateur a appris de ses précédents films, hélas. On a l'impression qu'il peine à diriger les acteurs ( l'aspect cabotin de certains, le surjeu du pourtant adorable et pétillant Lacoste) il y a donc un aspect pantouflard dans ...
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Trois points de vue se succèdent et nous nous surprenons à rechercher les petits détails différents, les attitudes, les paroles et tacher de saisir dans la subjectivité de chaque protagoniste la vérité sur cette affaire. Ridley Scott nous transporte dans le temps et nous transforme en enquêteur. Pour faire court : Le combat final est effrayant de véracité, à couper le souffle. Peut-être le film le plus difficile de Scott, servi par ...
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Un excellent chef-opérateur ne fait pas un bon film si le scénario est faible. Ce film est probablement financé par les évangélistes. Les personnages pleurent tout le temps au point que leur souffrance affichée amuse. Hudson est formidable mais ce film est tellement lourd qu'on s'en fiche à la fin, et comme par hasard au lieu d'être politique ce film est mystique, nawak!
On s'ennuie. Cruella ce n'est pas le Joker. On sourit parfois mais on ne croit pas un instant à la métamorphose du personnage principal. De plus ( attention léger divulgâchis ) l'idée qu'on hérite de la folie par les gênes est un discours dangereux.
La bande annonce est réussie: on s'attend à un film à grand suspense construit comme un de ces film d'action teinté d'un peu d'humour. C'est un autre film qui nous attend, beaucoup plus lent mais pour le coup, on eut souhaité plus de pesanteur. Il n'en demeure pas moins que Benedict Cumberbatch nous captive par son interprétation jusqu'à sa transformation physique et qu'on n'échappe pas à l'émotion suscitée par l'amitié extrême de ...
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Film assez formidable interprété, porté par trois comédiennes impeccables mais aussi des seconds rôles à fond dedans. Chaque personnage a été bien écrit et les répliques pince sans rire sont hilarantes. Puis on croit voir survenir un glissement de genre, on chute dans un thriller et cela nous réjouit. On aurait néanmoins souhaité que Allan Mauduit colle à cet engagement. Certes la scène western est réussie avec ce décalage dans ...
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Un truc me pétrifie dans la vie: c’est constater l’accablante solitude de l’autre. Donovan est un film sur les ravages d’une vie solitaire.
Je crois que de nombreux soi-disant cinéphiles prisent le confort que leur fournit un réalisateur populaire avec sa version annuelle d’un même film. Ces auteurs inventent une nouvelle histoire pour chaque film mais nous servent la même mécanique, les mêmes rouages et les mêmes ...
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Tout va être dit mieux que je ne puis le faire sur ce remarquable film. Tachons donc d’être bref et d’ajouter des points moins exploités.
Le tout premier cinquième semble un soupçon fastidieux, par ces lectures de courriers en off mais il y a tellement d’éléments à saisir que ce choix est amplement justifié. Une fois le film en place, la précision réaliste est telle qu’on salue le glissement du récit, d’un protagoniste à ...
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J’ai donc été voir L’Amour Debout de Michael Dacheux. J’y allais pour soutenir ce qu’on me vendait comme un premier film héritant de la grâce d’un Rohmer et d’un Truffaut. Ça flairait le frais émoulu FEMIS mais il faut soutenir le jeune cinéma Français. L’autre argument étant que cela semblait l’anti-thèse de Épouse moi mon pote, j’entrais donc en salle, résolu à me montrer bienveillant face aux possibles ...
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Nous sommes devant un polar assez désespéré bien tourné avec une distribution, un régal. Les personnages incarnent leur personnages avec un plaisir évident, Vincent Cassel est particulièrement épatant dès sa première scène mais les autres aussi nous fascine chacun à leur façon. Oulaya Amamra est de plus en plus juste dans ses rôles même si le personnage qui lui est attribué demeure un peu trop flou pour nous, nonobstant la ...
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Formidable thriller écologique avec une belle mesure de poésie. On savoure un suspense et de la beauté cinématographique. On sourit aussi, bien entendu. Le personnel principal est fascinant de détermination, les personnages secondaires bien développés. Dans une Islande attrayante et sauvage.
Les prises de vue et le montage forment une récit captivant. Le personnage principal, interprété sobrement, est l’antithèse de l’arabe de service de tant de films français, un personnage tridimensionnel, avec ses contradictions, entre franchise et provocation. La séquence final est profondément touchante ( si l’on excepte ce message téléphonique légèrement pesant, ce qui est surprenant car on nous offre à d’autre moment des ...
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On ressort tout ému de ce récit choral, où l’histoire se conjugue au courant de pensée intérieur. Le montage est ciselé au cordeau, la mise en scène est juste, pudique malgré les propos souvent lestes et les vues sur la peau. On apprécie chacun des personnages, tous tri-dimensionnels même furtivement, même l’amant auto-stoppeur. Moi qui restais indifférent à la fraîcheur de Vincent Lacoste, je l’ai trouvé remarquable de ...
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Il y a cette scène où l’espèce de Dechavanne incarné par Bacri fait une pitoyable imitation de Montand et quelqu’un admet que s’il la fait à chaque fois c’est que personne n’a osé lui dire qu’il n’était pas bon. C’est un peu ce que je reproche à l’entourage de Jaoui-Bacri, ils n’osent pas leur dire qu’ils roupillent. Ce duo a encore plein de choses à dire, mais c’est mou. On passe le film à attendre la ...
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Le dernier tiers est énervant. La jeune effrontée qui ne trouve la paix qu’en se conformant avec épiphanie dans un église, bonjour la guimauve. Dommage car le reste du film est joli.
L’Italie et Oliver manquent d’épaisseur, et la seule véritable scène érotique tourne autour d’une jolie pèche.
C’est assez dommage car sans cela on excuserait la musique nunuche de Sufjan Stevens.
Reste que Timothée a un grnd avenir de comédie devant lui s’il ne se malkaulayculkise pas. Le personnage des parents bienveillants est formidable et originalement traité. On voit passer de jolies images et de belles idées qui ont ...
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Ce film est parfois gênant ! De jolies prises de vue mais un scénario creux et sans intérêt pour qui ne prend pas Morrissey pour Dieu. La séquence finale est un remplissage lénifiant, on peut au pire sourire en songeant aux groupies émues par la vision de Morrissey sonnant à la porte de Johnny Marr ( qui au passage est décrit comme un couillon) à l’aube d’une carrière éclatante, mais les autres s’en balek et donc, ce film n’a ...
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