Juliano
Membre depuis le 6 mars 2011
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S’évader à travers les livres, au-delà des barreaux, pour briser la routine pénitentiaire et espérer une amitié écrite à l'encre indélébile.
La machine et l’individu au service de l’industrie, face cachée d’une entreprise prête à tout. Au clair de la Terre, le capitalisme est roi.
Conçu par Mère Nature, cet homme déficient nage contre le courant de la discrimination génétique. Pour accomplir son rêve, il faut y croire.
James Cameron, peignant un tableau romanesque de ce naufrage au cœur de l'océan, nous place en première classe de cette aventure titanesque.
Dans cette fugue violente, la passion aveugle les tourtereaux. Si c'est une folie de t'aimer, j'accepte de devenir dingue. Tu es si cool !
George Miller capture l’essence du film d’action, sans qu’aucun grain de sable n’altère le rugissement du moteur. Soyez témoins !
Le fleuve de l'amour serpente entre les rives de la candeur et de la privation. La passion pour l'être chéri est une morsure sans antidote.
L’œuvre qui montre l'amour et la nature dans toute leur splendeur. Sur la terre du Nouveau Monde, l’étranger découvre un vrai sens à la vie.
Dans la famille Corleone, les liens du sang tiennent à cœur, mais les affaires prévalent sur la vengeance. Le pouvoir ne se refuse pas.
Quand le droit permet de fusiller les hors-la-loi, tremper ses mains dans le sang devient un gagne-pain et l’appât du gain prime la morale.
Dans l’Ouest, où un train peut en cacher un autre, le duel du dernier râle se joue pour sonner le glas du fiel. Une œuvre sans fausse note.
L’homme dérangé cède à l’appel des sirènes du mal. Dans un désert d’indifférence, le désir d’évasion empêche de regarder la réalité en face.
Un père à la recherche de sa fille s’égare en cédant au mal. Si l'on devient prisonnier de ses actes, le jeu n'en vaut pas la chandelle.
Quand un hors-la-loi est froid comme une lame et que la vengeance prime le butin, il est grand temps de remettre les montres à l’heure.
Dans ce film phare sur le traumatisme, la vérité s’avère fracassante, comme les vagues sur les falaises de Shutter Island en pleine tempête.
Un rêve éveillé où l’on admire une habile architecture de l’onirisme à tous les niveaux. Un souvenir s'enracine parfois dans l'inconscient.
Dans un monde en dégénérescence, où le péché demeure en chacun, ce tueur en série compose méticuleusement son œuvre empreinte de noirceur.
Vu la gravité de la situation, l’Homme, cultivant l’espoir, se livre à l’exploration de l’espace, pour ne pas être réduit en poussière.
Annoncer l’épidémie qui décimera l’espèce humaine, c’est l’assurance de passer pour un fou ; pourtant, le grand air aura bientôt disparu.
Un mélange de Beethoven et de violence au goût du libre arbitre. Si l’ordre est rétabli au détriment du choix moral, il faut réfuter cela.
Une tempête de folie dans le labyrinthe de la psyché. À l’Overlook, où le sang coule à torrents, les fantômes ne cessent pas de reparaître.
Au-delà des rideaux rouges se dessine la source des maux de Twin Peaks. En cet autre endroit, douleur et chagrin sont des mets de choix.
Donnie, adolescent perturbé, donne libre cours à ses bizarreries et suit son destin. Quand le temps presse, il faut avoir la bonne réaction.
Quand survient le dernier souffle, le moment de partir pour le grand voyage arrive enfin. Malgré tout, l’existence est préférable au néant.
Bienvenue au Bates Motel où s’arrêter se paye cash : la Mère Horreur n'y fait pas les choses à moitié. Psychose ou l’impossible séparation.
De l’ascension aux désastres du tenace Barry, les plans éclairés par la lumière naturelle fascinent comme des tableaux éclatants de beauté.
Aller au bout de soi-même pour sublimer son art, quitte à se consumer : la perfection n’est pas une utopie. Orchestration d'un duel intense.
Dans l’hôpital malade, où l’on ne sait plus soigner, les médecins font la sourde oreille aux maux de leurs patients, mais la révolte gronde.
Faite de violence et de racisme, cette histoire américaine bouleverse surtout par ses injustices. La haine est le réel ennemi à combattre.
Dans le théâtre d’une fresque sur l’Amérique, les rêves d’un songeur se dissipent en fumée. Vague à l’âme des souvenirs du passé et à venir.
En voulant retrouver sa bien-aimée, Django, d’esclave enchaîné, va devenir chasseur de primes déchaîné et la gâchette la plus rapide du Sud.
Une mise en scène qui transporte dans un environnement superbe et hostile. L’homme est un ours pour l'homme, mais s'entretuer est vain.
À la recherche des pièces d’or, les ambitieux se divisent en deux catégories : ceux qui gagnent et ceux qui perdent. La dure loi du profit.
Dans une ville où la justice est défigurée par un shérif tyrannique, un tueur repenti renoue avec ses vieux démons, pour rétablir l’ordre.
Sur des musiques grandioses, dans des contrées sauvages, l’histoire de la perpétuation des Mohicans se déroule avec héroïsme et lyrisme.
Lorsque la bande sonore se marie aux images, c’est le bouquet final d’un travail délicat. Un cri céleste est celui qui éclate sans artifice.