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Quel plaisir de revoir ce film, si on s'attarde sur son affiche, déjà, on a envie de le découvrir, elle est prometteuse, elle n'en dévoile pas trop, mais elle nous plonge déjà dans l'ambiance des grands espaces. Et elle nous présente une distribution solide, en tête, l'ancien, la valeur sure, Sidney Poitier, secondé par Tom Berenger, acteur de cette décennie par excellence, il y a aussi Kirstie Alley dont le regard, pourrait faire chavirer n'importe quel cœur.
Le réalisateur capable du meilleur, comme ici, ou du pire, comme avec Arrête ou ma mère va tirer, a une filmographie très singulière, vous l'aurez compris.
Le film démarre dans un milieu urbain, très eighties, et au lieu de nous faire une explosion, une scène d'action incroyable comme c'était la mode à l'époque, on choisit de nous faire une scène d'ouverture froide, directe, impactante. On prend donc le spectateur au sérieux.
La suite nous offre un récit qui ne s'embarrasse pas des détails, on avance, car il faut avancer pour ne perdre le spectateur dans trop d'incohérence, il faut garder le rythme, alors tout va vite. On aurait pu croire, que le réalisateur allait jouer sur l'identité du tueur; jouer à nous donner de fausses pistes, créer un suspens jusqu'à la toute dernière confrontation, mais non, il faut aller vite, alors on se débarrasse des personnages superflus et on continu le récit.
On est pas étonné de retrouver Clancy Brown sous les traits du méchant, rappelez vous, c'était déjà lui, dans Highlander, qui voulait couper des têtes à tour de bras.
Le duo Poitier, Berenger fonctionne bien, deux personnalités bien trempées, qui vont devoir s'apprivoiser, et même si certains, trouveront que les touches d'humour par ci, par là ne sont pas à propos, je trouve, qu'elles tissent un lien entre les deux hommes, et renforce le duo.
C'est donc un pur Body movie, qui savait si bien nous plaire dans ces années, et qui fonctionne parfaitement.
Le réalisateur capable du meilleur, comme ici, ou du pire, comme avec Arrête ou ma mère va tirer, a une filmographie très singulière, vous l'aurez compris.
Le film démarre dans un milieu urbain, très eighties, et au lieu de nous faire une explosion, une scène d'action incroyable comme c'était la mode à l'époque, on choisit de nous faire une scène d'ouverture froide, directe, impactante. On prend donc le spectateur au sérieux.
La suite nous offre un récit qui ne s'embarrasse pas des détails, on avance, car il faut avancer pour ne perdre le spectateur dans trop d'incohérence, il faut garder le rythme, alors tout va vite. On aurait pu croire, que le réalisateur allait jouer sur l'identité du tueur; jouer à nous donner de fausses pistes, créer un suspens jusqu'à la toute dernière confrontation, mais non, il faut aller vite, alors on se débarrasse des personnages superflus et on continu le récit.
On est pas étonné de retrouver Clancy Brown sous les traits du méchant, rappelez vous, c'était déjà lui, dans Highlander, qui voulait couper des têtes à tour de bras.
Le duo Poitier, Berenger fonctionne bien, deux personnalités bien trempées, qui vont devoir s'apprivoiser, et même si certains, trouveront que les touches d'humour par ci, par là ne sont pas à propos, je trouve, qu'elles tissent un lien entre les deux hommes, et renforce le duo.
C'est donc un pur Body movie, qui savait si bien nous plaire dans ces années, et qui fonctionne parfaitement.