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Andrew V. McLAGLEN n'est pas un débutant, il nous a souvent offert des westerns de qualités, sans transcender le genre, mais qui tenait la route.
Ici, il cède à l'air du temps, mêlant la fin d'une époque, celle de l'ouest et de la modernité, automobile, téléphone, et le retour, à la vieille méthode. Supporter par deux poids lourds du genre, chacun dans leur domaine, bien naturellement le film s'offre quelques scènes de violences, toujours pour rester dans l'air du temps. On peut regretter la scène où, la jeune fille est offerte en pâture à deux cowboys, et où, le jeune amoureux les laisse faire, afin de sauver sa peau et celle du patriarche, encore, un fait d'un autre temps, qui pourrait laisser faire cela aujourd'hui. Certes, Coburn use de ce stratagème et c'est logique mais la réaction des poursuivants, n'est pas celle à laquelle, on pourrait espérer. Une bonne scène de viol, c'était très courant, voir indispensable dans les films des années 70, cela justifiait bien des représailles, mais c'était souvent, racoleur, et toujours, malaisant.
Alors, mis à part cette scène, il reste un film de facture classique, qui pourra s'oublier aussi vite qu'on aura finit de le visionner.
Ici, il cède à l'air du temps, mêlant la fin d'une époque, celle de l'ouest et de la modernité, automobile, téléphone, et le retour, à la vieille méthode. Supporter par deux poids lourds du genre, chacun dans leur domaine, bien naturellement le film s'offre quelques scènes de violences, toujours pour rester dans l'air du temps. On peut regretter la scène où, la jeune fille est offerte en pâture à deux cowboys, et où, le jeune amoureux les laisse faire, afin de sauver sa peau et celle du patriarche, encore, un fait d'un autre temps, qui pourrait laisser faire cela aujourd'hui. Certes, Coburn use de ce stratagème et c'est logique mais la réaction des poursuivants, n'est pas celle à laquelle, on pourrait espérer. Une bonne scène de viol, c'était très courant, voir indispensable dans les films des années 70, cela justifiait bien des représailles, mais c'était souvent, racoleur, et toujours, malaisant.
Alors, mis à part cette scène, il reste un film de facture classique, qui pourra s'oublier aussi vite qu'on aura finit de le visionner.