harpsichord
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Stupéfiant, bouleversant. Une prestation d'acteurs comme on en fait peu, un chef d’œuvre ! Même la dernière scène est juste géniale. A revoir !
Nous étions 4 dans la salle ... ça fait peu ... Pour autant, franchement, ce film, c'est rien ou pas grand-chose.
Mais quels textes !! Rien que pour ça, ce film vaut plus que le détour. A la sortie du film, nous avons échangé à 3 : Les textes (d'Aznavour) seront-ils publiés ? Il me semble que ce sont eux la vrai vedette du film. Un pur bonheur !
Mais quels textes !! Rien que pour ça, ce film vaut plus que le détour. A la sortie du film, nous avons échangé à 3 : Les textes (d'Aznavour) seront-ils publiés ? Il me semble que ce sont eux la vrai vedette du film. Un pur bonheur !
Pourquoi mettre un 5 étoiles ? Ce n'est sans doute pas le chef d'œuvre du siècle alors la raison est ailleurs.
Les acteurs sont excellents, certains plus vrais que nature. Les personnages terriblement humains. Presqu'un documentaire. La mise en scène, épatante, fait monter la pression, même s'il vaut mieux lâcher prise et laisser filer l'intrigue plutôt qu'essayer de comprendre l'ampleur des malversations que l'on perçoit assez ...
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Film somptueux ... La prise de conscience est toujours douloureuse. Après ce film comme après d'autres œuvres, et je pense à Juan Branco avec livre "Crépuscule", on ne peut plus dire "Je ne savais pas". Impossible. C'est un grand coup de poing dans la ... que l'on prend avec ce film. Alors oui, bien sûr, l'Argentine c'est loin. Et comme tout ce qui est loin, le fantasme est facile. Pourtant ... pourtant comme ailleurs, il existe des être ...
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Il y des tas de cinéastes, certains sont géniaux. Et puis, il y a Xavier Dolan. Je sors bouleversé soit dans mes certitudes, soit dans mes émotions à chaque film que j'ai vu de lui.
Pourquoi un chef d’œuvre ? Parce que le choc des cultures porté avec autant de délicatesse, de pudeur, de réalisme, sans angélisme mais avec tant d'humanité vaut le déplacement. Film magique comme les engueulades, comme les interventions qui vont émailler le film et faire avancer chacun des protagonistes bousculé dans ses certitudes. L'Amérique de 1956 est-elle si différente de la France de 2019 ? La question reste ouverte et mérite ...
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Rien que pour avoir mis des mots sur une telle violence, c'est déjà énorme. Mais, pour avoir "montré" avec autant de justesse les dégâts occasionnés chez ceux qui ont eu à vivre ces actes, pour avoir fait toucher du doigt l'incompréhension devant l'incompréhensible, il y a juste un mot, un seul : MERCI
Film totalement décevant ... Un remake inutile des années sida. Il me semble qu'on peut parler d'amour autrement, non ?
Un pur chef d’œuvre. L'objet d'abord. A la fois intimiste, les sentiments d'une femme face à elle-même, ses rencontres. A la fois cruel, les rapports à la mort comme à la maladie. La vie de Julieta est peut-être bien plus banale qu'il n'y paraît, bien plus ordinaire, une histoire de vie tout simplement. Mais une simplicité impossible à évoquer, à dévoiler au quotidien. Un dénouement tout en finesses et subtilités. Nous connaissons ...
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Chic un Ducastel et Martineau ! Quand la chose gay vous intéresse, ces deux là font figure de référence. Pour autant, le film est apparu plat et sans envergure. Pourquoi ? Déjà une scène de sexe, pas mieux filmée que n'importe quelle série porno comme on en trouve des milliers sur internet.
Ensuite le propos : Comment peut-on encore faire un film sur la transmission du HIV depuis un traité non détectable vers un séronégatif ? Rien ...
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Un éveil à la sexualité sans drame ... juste les tâtonnements de l'adolescence pour se découvrir, se transformer au contact de l'autre ... accepter ... s'accepter ...
Amateurs de télé réalité, de drames existentiels, de mises en scène pour voyeurs, de violences et de crises d'hystérie ... Bref amateurs du cinéma à la mode, passez votre chemin vous serez déçus ...
Amateurs de chemins escarpés, de sous bois silencieux, de printemps ...
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Autant par la construction du scénario, l'intelligence de tout ... Il y a une vraie intelligence d'Amour dans ce film ... J'ai été, plus que tout, ému par la scène finale au couvent ... guetter et écouter ce qu'elle dit à Sœur Hildegarde ... Tout le film converge vers ça ... Unique ! Bouleversant ! Une énorme leçon de Vie avec une majuscule. Le reste n'est que mise en scène, mise en condition pour arriver à ça. Enseignement absolu ...
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Chef d'oeuvre, pourquoi ?
Les garçons et Guillaume laisse dès le titre entendre qu'il va être question de "genre", thème à la mode. Pourtant, pour goûter aux subtilités de ce film, il faut aller au delà du prétexte sexué.
Et au delà, que trouve-t-on ? Une double réflexion d'une part sur ce que nous, parents ou adultes en général, projetons sur les enfants. D'autre part sur la quête de soi et le dépassement de ce que la société ...
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Encore et toujours la famille selon toutes ses formes. Encore et toujours ces personnages atypiques. Tout cela mis en scène avec humour, tendresse et délicatesse. Y compris pour ceux qui ne le méritent pas ... y aura-t-il un jour un vrai salopard dans un film de Ozpetek ? Même un salopard serait regardé avec humanité ... Parce que finalement, c'est bien d'humanité qu'il s'agit. Des destins, des quêtes qui se télescopent, des groupes qui ...
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Vu en avant-première ... Dans une salle qui est restée abasourdie ... en silence plusieurs minutes à la fin du film ... Difficile de se lever de son siège après un tel film ...
Tout est juste ... les personnages sont crédibles ... le scénario aussi ... superbe ...
Une très belle réflexion sur la différence et sur l'autre ... sur le camp d'en face ...
A voir ...
Tout est juste ... les personnages sont crédibles ... le scénario aussi ... superbe ...
Une très belle réflexion sur la différence et sur l'autre ... sur le camp d'en face ...
A voir ...
En quoi ce film est un chef d'œuvre ?
Simplement sur la fable sociale de gens simples qui expérimentent la force collective face au pouvoir et à la division organisée par le même pouvoir. Une grande leçon de démocratie, finement filmée et mise en scène.
Les magnifiques paysages du Larzac et le sujet sont un prétexte, parce qu'il me semble que finalement, c'est la force et la conviction d'un réel processus démocratique qui restent le ...
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Excellent ... quand on a vu « les nouveaux chiens de garde », on comprend mieux pourquoi il y a un tel décalage entre la presse et les spectateurs.
D'abord une alerte de l'emprise de l'économie libérale sur l'éducation ... Ceci explique donc cela !
Ensuite un film criant d'humanité. Parents, adolescents, enseignants, courrez voir ce chef d'œuvre pour comprendre à quel point chaque protagoniste de l'Education, avec un grand E, est ...
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La danse n'est qu'un prétexte à l'intérêt plus que limité. Mais il en fallait un. Et c'est la danse qui a été choisie. Bonne pioche, sans doute !
Nous assistons, impuissant, à la plongée d'une rare violence dans les tréfonds de la noirceur humaine. Cette plongée me paraît traitée de manière aussi exceptionnelle que dans le silence des agneaux ou le faucon maltais. A ce titre, chef d'oeuvre.
La schizophrénie issue de la paranoïa ...
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Superbe film et pourtant ...
Acteur exceptionnel à tout point de vue par son charisme, son magnétisme, sa qualité de jeu : Carlos Aduviri. Contrairement aux autres acteurs, il ne joue pas, il vit le film.
Une fois ceci posé, que reste-t-il ? Plus grand'chose ! Tout le reste est, à mon avis, surjoué : regardez-moi comme je joue bien dans un bon film pétri de bons sentiments. Trop c'est trop à en être écoeurant et le film perd en ...
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Ce n'est qu'un des tous meilleurs films que j'ai vus. Le fond : Une tragédie, une vraie au sens où l'impossible, l'inimaginable arrive. Les acteurs : Justes et confondants d'humanité dans la peau de personnages enrôlés dans le pire scénario de vie que l'on puisse imaginer. La forme : Montage, prise de vue, éclairage, son, tout est cohérent. Impossible de prendre du recul, impossible de séparer le fond de la forme, tout est d'une ...
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