lacroix p
Membre depuis le 14 février 2010
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Très difficile de tenir près de 2 h 15 et d’assister à une suite de scènes quasiment hystériques avec musique et mouvements de caméra brutaux. On n’apprend rien sur Limonov. Trop long et inutile. Dommage que l’ensemble soit décousu car la mise en scène de chaque séquence est interessante.
Le scénario très convenu (j’avais deviné la fin au bout de 15 minutes, l’intrigue n’est finalement guère palpitante) est sauvé par la mise en scène et par le talent des acteurs.
Tout serait parfait dans ce film sans la faille énorme du scénario qui fait un magistral bras d’honneur à la médecine légale actuelle dont le rapport est complètement bâclé dans le film. C’est grâce à cette pirouette que la suite du feu a du sens. On se trouve devant un rapport de médecine légale des années 50 pas des années 2020.
La première heure est fulgurante et glaçante, Trump se construit: Ensuite le personnage se perd un peu et nous aussi, dommage entre affairisme et cynisme mais sans scénario.
Proche du nanar. Tout sonne faux : les personnages, les dialogues, les décors (quelle vision caricaturale de l’intérieur des seniors !), le scénario (ah ah ah l’inspecteur de police qui dévoile ses soupçons). Affligeant, comme bâclé, le film enchaîne avec une facilité déconcertante, les scènes invraisemblables. Ozon nous a plongé avec talent dans un univers intégralement décalé (Sitcom, 8 femmes), dans le drame de ...
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Très - trop - long, le film pêche par un manque de cohérence et de compréhension des principaux personnages (le père et la mère), un nombre inutilement long de scène de violence filmées durant les émeutes. La première heure est laborieuse, la seconde magnifique (ah la scène de l’interrogatoire), la dernière demi-heure foutraque. L’octroi du prix spécial interroge quand même un peu.
Étonnement, rien ne manque à ce film pour qu’il soit passionnant (bonnes actrices, belle image noir et blanc, sujet prenant, suspense de l’issue…) mais qui ne réussit tout de même pas à captiver. La faute sans doute au primat du sport sur le scénario.
Impossible de ne pas être pris au corps par ce quasi triller, les acteurs sont excellents, prix spécial pour le supposé bourreau. La mise en scène est haletante.
La preuve est faite qu’avec un roman aussi attendu, lu et daté que Le Comte de Monte Cristo il est possible de captiver le spectateur pendant 3 heures : aucune baisse de régime, décors somptueux, acteurs parfaits, émotion…rien ne manque. Une machine à récompenses et sans effets spéciaux ! Si seulement la trilogie poussive des trois mousquetaires avait ce souffle.
Bien pour les acteurs et la mise en scène mais à la fin une question demeure : tout ça pour quoi ? Quel message ?
Les dialogues font mouche et se n’est que dans la dernière partie du film qu’ils s’essoufflent un peu, ce qui est dommage puisque c’est à ce moment que la naïveté du scénario se manifeste (le commissaire priseur qui se laisse berner par un amateur d’art). Agréable moment cependant
Passées les 10 premières minutes et une fois compris le principe du film, on s’ennuie très vite face aux dialogues sans intérêt, à l’absence apparente de scénario et surtout à l’incroyable prétention qui se dégage de tout cela. Forcément surjoué, pas d’autre choix que de caricaturer les acteurs qui jouent les acteurs, cela devient assez malsain. Un point fort dans le film : il libère son public au bout seulement de 1 h 20 (et ...
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Le vide des mots, le choc des images ! Dans un décor de guerre, des personnages à la mad max se battent pour on ne sait quoi ni qui, non pas parce que l’intrigue est complexe mais parce qu’elle n’existe tout simplement pas. Et à la fin : bang bang le président est mort. Alors on veut bien accepter la métaphore post mandat trumpiste bla bla bla mais c’est quand même très léger. Belles scènes, beaux maquillages, belles lumières, ...
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Assez captivant du début à la fin, assez sec dans son expression, le film nous laisse malheureusement sans réponse concernant les ressorts du personnage principal, aux confins des zones d’ombre faciles et de l’incohérence. C’est dommage car c’est au cœur du sujet.
Prenant, une image très belle, magnifiquement filmé: cela suffit à nous emporter dans la tourmente de l’adolescence déchirée par l’éducation. Les acteurs sont excellents, à commencer par le personnage principal. Une belle découverte.
Presqu’ennuyeux la dernière demi-heure, le propos du film se perd entre les tranches de vie de Ravel, non abouties et la composition musicale du Boléro imparfaite elle aussi. Les contre jours et les ambiances sombres finissent par desservir le film et sont pénibles.
Pas mal de rire, des blagues de potaches mais une dérangeante impression d’improvisation, voire d’amateurisme nuit à la réalisation. Les acteurs semblent s’amuser plus que le public, on se demande pour quoi ou pour si le film a été fait
J’ai été surpris par la musique décalée, les invraisemblances du scénario parfois et par la fin du film qui m’a plongé dans un abîme d’incompréhensions. Mais je comprends que le film un peu racoleur ait plu même si le thème de la violence sur les femmes est traité avec beaucoup de légèreté.
Cette magnifique histoire méritait bien mieux que ce film larmoyant qui se déroule au son des violons : appauvrie, elle ne nous apprend rien sur le héros, sur les vicissitudes, sur sa vie. Mérite le Netflix d’Or.
2,5 pour la mise en scène et les acteurs ; pour le reste je suis en phase avec la critique de l’Obs. J’ai personnellement trouvé le scénario racoleur mais truffé d’incohérences, d’une extrême facilité
Un film peu conventionnel qui place le spectateur très à distance en décrivant le quotidien glaçant, cynique et banal de ceux qui vivent à côté de l'horreur qui par contraste se laisse deviner.
Un film que j'ai trouvé grotesque et qui fatigue rapidement la vue (caméra sautillante), l'ouïe (musique très contemporaine). Des décors ridicules rétro-kitsch, une absence intégrale de sens, des scènes à la limite du soutenable...on est à des années lumières de Tim Burton et de son poétique et troublant "Edward aux mains d'argent".
On s'use un peu. Le scénario est toujours bâclé, l'histoire menée à la baguette et peu importe les invraisemblances ; les acteurs sont toujours sales, ça sent le crottin, Milady est une vipère et se bat comme un diable... en robe longue. Je n'irai sans doute pas voir le 3eme volet de ce qui aurait dû être un téléfilm.
La moitié du film est constituée de courses poursuites à cheval, en voiture, en rickshaw, en train sans aucun intérêt car déjà vues et revues. Le reste du film n'a pas de sens. Il était temps que la série se termine.
Un film sans doute au propos trop vaste, qui réserve d'excellents moments ; dommage que les 30 dernières minutes se passent au pas de charge au risque de survoler le sujet et d'enchaîner les invraisemblances.
Excellents comédiens, des longueurs avec un scénario qui patine en seconde partie de film, le propos semble un peu confus, inachevé, pour ceux qui ont connu cette période cela passe encore, les autres risquent de s'ennuyer un peu
Je suis sorti après 45 minutes. Le film est une suite d'interventions dans le cadre du procès, en huis clos, je trouve que les acteurs récitent plus qu'ils n'incarnent, le rythme est très lent. Je n'ai pas adhéré
Une fois passées les 3 premières minutes, le malaise devient vite envahissant. Pierre Niney incarne t il un psychotique ? Si oui, ce n'est pas drôle et si non alors....quoi ? Un film qui a enchanté la critique mais qui m'a laissé indifférent
Je reconnais que c'est sans doute une palme méritée mais j'ai trouvé que le film n'exclût pas quelques longueurs, la fin notamment ; certains personnages sont vraiment ratés (le psy).
4 étoiles pour l'image et les plans. Certaines scènes gores sont difficiles à supporter et on préfère ne pas voir le film en couleur...dommage que la personnalité du tueur psychotique ne soit que survolée et que sa traque se borne à la manifestation de la violence plutôt qu'à un démêlage de sa folie par les enquêteurs
Etonnamment, le personnage du compositeur, qu'on aurait cru central dans le film, est finalement en retrait. On ressort en se demandant qui il pouvait bien être. Ce n'est pas bien grave, on se renseigne. Tous les personnages sont traités de la même manière et c'est dommage. Restent un beau film, de beaux airs d'opéra, de beaux costumes, de beaux décors...
Bien interprété (mais pas extraordinairement non plus pour la jeune actrice incarnant le 1er rôle), bien mis en scène, sobre mais captivant, ce film a en plus le bon goût de ne pas durer trop longtemps.
Il faut y aller pour les costumes, les décors (Versailles superbe), les perruques et pour finalement le temps qui passe assez vite durant la séance. On oublie : Maïwenn qui a l'âge de la mère de Jeanne du Barry, son insolence au détriment de sa sensualité, le vide assez sidérant du propos (tout ça pour ???), la fameuse comtesse valant bien mieux et plus que cette madame sans-gêne de galerie des glaces qui lui a été accordée dans ce film.
Hormis les quelques raccourcis de mise en scène, limite nanar, assez incompréhensibles d'ailleurs, et les tons sépias un peu top appuyés, l'ensemble se regarde avec plaisir, les acteurs y sont pour beaucoup. A suivre avec intérêt
Film très habile, excellente mise en scène, la première demi-heure est magistrale. Ensuite, le propos s'égare un peu entre une histoire d'amour et des personnages déchirés, un monde politique qui finit par ne servir que de toile de fond. L'intérêt s'émousse un peu pendant la seconde moitié du film. Excellents acteurs.
Si vous vous demandez ce que vous faites là durant les 10 premières minutes, un conseil, faites ce que j'aurais dû faire et ce à quoi j'ai renoncé : sortez immédiatement, ce film n'est pas pour vous. Les deux interminables heures qui suivent sont une série éprouvante de scènes glacées. Cate Blanchet est certes excellente mais ça ne suffit pas à sauver le marasme d'un scénario incompréhensible.