alf38000
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Second film (et sans doute le plus connu) mettant en scène les aventures grand-guignolesque et loufoques des Charlots, le tout tourné au tout début des seventies avec les moyens du bord.
Tellement mauvais que ça en devient magique à défaut d’être bon… une époque où il faisait bon vivre sans se prendre au sérieux.
Sans oublier que avant de prendre le nom des Charlots cette équipe déjantée et farfelue était composée de vrais ...
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Nope ! Une claque ? Assurément … mais pas dans le sens attendu !
2h10 d’ennui mortel, de remplissage creux et inepte que même les scénaristes de Netflix n’auraient pas osé proposer à leurs producteurs.
Comme l’ont si bien paraphrasé deux des personnages du film "Batman vs Superman": «Appelez ça comme vous voudrez. Prenez un bocal de pisse et appelez ça thé à la pêche de grand-mère. Vous n’attrapez ni mouche, ni moi. ...
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Premier film de S.F de l'histoire a bénéficier des procédés Technicolor et CinémaScope, (procédés jusqu'alors réservés aux superproductions des majors Hollywoodiennes) le long métrage de Fred M. Wilcox pénètre avec fracas dans la cour des grands et prends ses distances avec les B-movies fauchées qui fleurissaient sur les écrans des cinémas de quartier en ce milieu des 50's.
Des décors ainsi que effets spéciaux soignés, une B.O ...
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Habituellement je suis plutôt bon public, mais dans le cas présent, je suis assez dubitatif.
Certes le long-métrage de David Fincher n’est pas inintéressant, le thème de la double personnalité revenant comme un leitmotiv dans le 7ème art (L’esprit de Caïn, Magic, American psycho, Sœurs de sang, Identity, ou plus récemment Shutter island,…) pour le plus grand bonheur des réalisateurs comme des spectateurs.
Cependant après ...
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1898, le roman du génial H. G. Wells sort des presses.
1953, Byron Haskin porte à l’écran l’œuvre du romancier.
2005 le non moins génial Steven Spielberg nous propose le remake du long métrage éponyme sorti un demi-siècle plus tôt, et... patatras, c’est bien là que le bât blesse, ce qui était imaginable à l’époque de la sortie du roman, voire même 50 ans plus tard, ne passe plus du tout aujourd’hui dans l’imaginaire ...
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Je ne perdrai pas mon temps et mon énergie à pointer du doigt chaque irrationalité présente dans le dernier long-métrage de Roland Emmerich.
Habituellement, les différentes oeuvres du réalisateur pour spectaculaires qu’elles soient, reposent à minima sur une relative cohérence, changement climatique brutal pour "le jour d’après", mutation génétique due à la radioactivité pour "Godzilla", fin du monde programmée pour "2012", ...
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Mel Brooks est sans aucun doute un clown irréverencieux mais il aime le cinéma et ses monstres sacrés, et sa parodie du Frankenstein de la Universal est sans conteste avant tout un hommage trés bien réalisé. On rit beaucoup, tous les acteurs cabotinent à outrance (ce qui est dans la logique du film), Gene Wilder et Peter Boyle en tête, ainsi que les regrettés Madeline Kahn et Marty Feldman, irrésistible dans le rôle d'Igor, sans ...
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Lyrique, déjanté, flamboyant, psychédélique, hallucinant, les termes ne manquent pas pour définir le chef-d'œuvre du réalisateur de Carrie au bal du diable. Allégorie jouissive mêlant les mythes de Frankenstein, de Faust, de Dorian Gray ainsi que du fantôme de l'opéra et/ou règlement de compte avec les majors du show-biz et d’Hollywood (difficile de faire abstraction des déboires passés du cinéaste avec la Warner ou de ne pas ...
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Si Kubrick etait sans conteste un grand mégalo, Verhoeven est sans doute un grand parano, la violence, le sexe, le pouvoir qui corromps sont les fils conducteurs de son oeuvre. Mais voila, à force de vouloir ouvrir les yeux de son public, Paul Verhoeven oublie parfois qu'il est avant tout un réalisateur et que son obstination à vouloir dénoncer coûte que coûte l'amoralité de notre civilisation peut lasser, et Hollow man utilise de bien ...
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Un film tourné à la manière d'une pièce de théâtre, et où le seul élément fantastique est l'incroyable récit que fait un universitaire à ses collégues incrédules (clin d'oeil volontaire ou non à "la machine a explorer le temps" de H.G. Wells).
Une œuvre extrêmement bien ficelée qui fait de nous un participant supplémentaire à ce huis-clos, à la seule différence que contrairement aux autres personnes presentes nous ...
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Quand Roland Emmerich ouvre les cordons de sa bourse (ou plus exactement les cordons de la bourse de ses producteurs) on sait très exactement où passe l'argent, dans des décors grandioses, des effets spéciaux époustouflants et/ou éventuellement dans le cachet de ses acteurs mais certainement pas dans le salaire des scénaristes, et dans le cas présent, encore moins dans celui des conseillers historiques.
1er film américain réalisé par Paul Verhoeven en 1987 (surnommé par la presse "le hollandais violent", on se demande bien pourquoi), Robocop surprend au premier abord par sa violence érigée en système quasi institutionnel, pègre, police, médias, entreprises, simples citoyens, tous les acteurs de la société côtoient cette barbarie organisée et semblent s'en accommoder, paradoxalement c'est d'un cyborg, une machine faite d'un cadavre ...
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Avec Daybreakers, Peter & Michael Spierig revisitent avec un certain talent le thème habituel du vampirisme bien trop souvent galvaudé ces dernières années.
Ici aucune référence aux forces des tenebres (ou si peu), pas plus que de pouvoirs surnaturels (les vampires ne se transforment pas en loup ou en chauve-souris, ni ne grimpent le long des murs) ;en fait ces créatures de la nuit se présentent comme terriblement humaines si se n'est ...
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Par où commencer… ?
Une bonne idée de départ, des acteurs plutôt convaincants, une pauvreté de moyens techniques tout à fait dans la logique de l’œuvre puisque nous assistons en live à l’effondrement et à la disparition programmée de notre civilisation, voire même de l’humanité… et… c’est tout !
Le film pose mille questions et ne propose aucune réponse.
Quelle est la cause de l’effondrement civilisationnel ?
Pourquoi ...
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Si "Don’t look up" (déni cosmique chez nos amis québécois) n’est pas le premier film à mettre en scène la destruction de notre planète du fait de sa rencontre avec un autre corps céleste, (Le choc des mondes, Meteor, Deep impact, Armageddon, Melancholia ou encore plus récemment Moonfall, ont déjà largement défriché le chemin, que-dis-je, l’autoroute) ce long-métrage réalisé par un spécialiste de la comédie (Adam McKay a par ...
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On sait que les spectateurs qui vont voir les films de Christopher Nolan ne sont pas tous forcément des experts en physique quantique, tout comme ce dernier d’ailleurs.
On sait également que cela faisait déjà longtemps que Nolan avait pour habitude de s’amuser à semer ses aficionados dans pléthore de labyrinthes spatio-temporels, avec Tenet on a enfin la preuve que lui aussi s’y est perdu depuis un certain temps. Dommage qu’on ne ...
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Loin des errances dans lesquelles s’étaient abîmées les derniers opus mettant en scène le slasher intergalactique le plus efficace de ces 50 dernières années, le long-métrage de Dan Trachtenberg nous ramène aux origines de la franchise pour notre plus grand plaisir.
Alors, certes, tout n’est pas parfait, les plus pointilleux d’entre nous (dont je ne m’exclus pas), pourront toujours arguer un relatif illogisme dans la continuité ...
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S’inspirant largement de la littérature gothique romantique (on ne peut s’empêcher de penser à Frankenstein ou à la belle et la bête), Guillermo Del Toro nous entraîne dans un monde à mi-chemin entre un gore érotique et le film d’espionnage, le tout mâtiné d’une touche d’humour noir.
Un style qui n’est pas sans rappeler les œuvres de Caro et Jeunet ou bien encore celles d’un certain Burton (Tim de son prénom).
Sans ...
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Comédie musicale fantastique oscillant en permanence entre loufoquerie absolue et humour noir, ce remake que l’on doit au génie de Frank Oz est en tout point une réussite.
Sans dénaturer ni l’œuvre originale des studios Corman ni la comédie musicale qui a fait les beaux jours de Broadway, Oz insuffle au film son ton très personnel (l'ombre du Muppet show plane en permanence), les acteurs principaux arrivent à être excellents tout en ...
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8 Oscars, 5 British Academy Film Awards, 5 Golden Globes, un tel palmarès devrait se suffire à lui-même.
Le monument que nous lègue Sir Richard Attenborough, hormis les moyens techniques hors normes mis en œuvre (500.000 figurants bénévoles venus de toutes les provinces du pays pour la scène des funérailles) n’a d’autres but que de faire connaître à la mémoire universelle l’incroyable espoir que ce petit homme (devenu bien ...
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Tiré d’un roman à succès de Nancy Springer (auteure spécialisée dans le détournement de personnages célèbres fictifs ou historiques), le long-métrage mettant en scène la jeune Enola, incarnée par la pétillante Millie Bobby Brown, nous conte les aventures de la cadette (jusqu’alors inconnue) de la fratrie Holmes.
A noter une fort belle reconstitution des décors et costumes de l’Angleterre victorienne, contrastant malheureusement ...
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Alexandre de La Pateliere et Matthieu Delaporte posent leur caméra dans un appartement parisien d'un quartier bobo, laissent libre cours au talent de leurs acteurs et... moteur.
Un huis-clos familial comme on les aime, avec comme point de départ une blague d'un gout douteux, et voila que tous les non-dits, les vieilles histoires et les petites rancoeurs refont surface; Un cauchemar pour les participants et un régal pour les spectateurs qui ...
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Certainement le plus mauvais film de David Cronenberg…
Le réalisateur reprend ici sans grande conviction, le fil conducteur du déjà médiocre Vidéodrome sorti une quinzaine d’années plus tot, mais qui lui, avait au moins l’avantage d’avoir comme tête d’affiche la sculpturale Debbie Harry.
On est loin du surprenant et dérangeant Chromosome 3, et c'est bien dommage.
Comme quoi les erreurs ne servent pas toujours.
Le réalisateur reprend ici sans grande conviction, le fil conducteur du déjà médiocre Vidéodrome sorti une quinzaine d’années plus tot, mais qui lui, avait au moins l’avantage d’avoir comme tête d’affiche la sculpturale Debbie Harry.
On est loin du surprenant et dérangeant Chromosome 3, et c'est bien dommage.
Comme quoi les erreurs ne servent pas toujours.
L’idée était là, tous les ingrédients pour faire un grand film de S.F étaient réunis, et… Tout ça pour ça… c’est à dire, pas grand chose.
Mis à part le "héros" de l’histoire, tous les autres personnages sont interchangeables et insignifiants, et ce n’est pas le scénario bancal (quelque peu pompé sur le thème de la recherche du père, "Apocalypse now" est déjà passé par là) qui relèvera le niveau.
Reste la ...
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Kubrick a-t-il été réellement été approché par la CIA en vue de réaliser un faux alunissage ?
La question mérite d’être posée, d’autant plus qu’il est de notoriété publique que la NASA s’était inspirée en partie de "2001 l’odyssée de l’espace" pour mettre au point les tenues des astronautes de la mission Apollo 11.
Partant de ce postulat, le réalisateur nous entraîne dans une aventure psychédélique et déjantée, ou ...
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Adapté d’une BD à succès, "la mort de Staline" nous conte les tractations (trahisons) ubuesques qui s’installent au sein des apparatchiks d’un régime totalitaire et paranoïaque inquiet de son futur immédiat suite à la brutale disparition de leur maître à penser.
Alors que le cadavre du petit père du peuple est encore tiède, on assiste avec un plaisir jouissif à la panique qui s’empare de la fourmilière du politburo ...
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Faire un film se situant à la croisée des chemins entre la comédie musicale et l’opéra rock n’est déjà pas chose facile, placer l’intrigue de façon totalement anachronique dans le Paris de la belle époque, confier les séquences chantées reprises à des groupes de rock et les faire réinterpréter par des acteurs et actrices, c’est le pari totalement fou que s’est imposé Baz Luhrmann… et ça marche !!!
Cette œuvre baroque ...
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Sans doute aurais-je dû voir ce film avant sa consécration à Cannes, probablement en aurais-je moins attendu.
Car le long-métrage de Bong Joon Ho, pour autant bien réalisé qu’il soit,
renvoie inévitablement à bon nombre d’autres œuvres sorties précédemment.
Les satires sociales d’une part, qui sont depuis longtemps le terrain de jeu privilégié des cinéastes britanniques et surtout italiens, ( L’argent de la vieille ou ...
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Si il est evident que john Badham a pris quelques libertés avec le roman originel (inversions de quelques personnages, lieux différents, fin alternative) il n'en a pas moins su en faire un grand film; Ici point de canines dégoulinantes d'hémoglobine pas plus que de monstre assoiffé de sang, non ce Dracula -ci (magistralement interprété par un Frank Langella au sommet de son art) nous transmet non pas de la répulsion mais bien au contraire ...
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Depuis l’avènement du parlant, les majors du cinéma n’ont eu de cesse de nous inonder de comédies musicales... mais dans cette avalanche d’œuvres, dont la plupart sont à oublier, une, particulièrement va se hisser au-dessus des autres et atteindre des sommets, je veux parler bien évidemment de l’inoubliable "Chantons sous la pluie".
Cette joyeuse sarabande que nous devons à Stanley Donen (ainsi qu’à Gene Kelly comme ...
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En adaptant la BD uchronique culte de DC Comics "Watchmen" d’Alan Moore et de Dave Gibbons, le réalisateur Zack Snyder, encore auréolé du succès de son long-métrage "300" (et à qui l’on doit, entre autre "Man of steel", "Batman vs Superman" et "Justice league") s’attaque à un monument de la culture geek réputé inadaptable sur grand écran et réussit l’exploit de nous entraîner dans la noirceur poisseuse de cette Amérique ...
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Sans aucun doute le meilleur film de Bob Clark qui utilise ici la parabole du fantastique pour décrire une horreur bien réelle celle-là, la guerre du Viet-nam.
Tout est étudié pour plonger le spectateur dans l'ambiance la plus glauque et la plus inconfortable possible, le choix du 16mm, la pellicule a gros grain sans oublier une bande son déstructurée aussi horripilante que le bruit d'une craie sur un tableau noir.
Bob Clark dénonce et ...
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Si il est une œuvre qu’on ne présente plus, il s’agit bien du long-métrage "L’exorciste", et si les excellentes notes données au film de William Friedkin sont amplement méritées (je ne reviendrais pas sur les scènes d'angoisse pures distillées durant les 2 heures de projection), le choix de la version (1973 ou 2003) donne le pire et le meilleur.
Je m'explique, si la version de 1973 est incontestablement la meilleure au yeux des ...
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Conseil aux cinéphiles de la jeune génération.
La première chose est de se mettre dans la peau d'un spectateur de la fin des 60's, car Cerveau d'acier comme tous les films traitant de technologie a vielli.
Ceci dit si l'on fait abstraction du coté visuel, le film etait premonitoire à plus d'un titre, la mondialisation, la telesurveillance, le fichage, le controle de l'existence de chaque individu lambda, sont là autant d'éléments qui ...
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Nicolas Meyer est plus scénariste et romancier que réalisateur et cela se sent, car si il évite avec subtilité tous les écueils d'un recit traitant du voyage temporel avec tous les paradoxes qui en découlent inévitablement, à l'inverse, les prises de vue, les cadrages, les effets speciaux manquent de rigueur voire de professionnalisme, qu'importe, le film se regarde avec un plaisir certain et les personnages endossent magnifiquement leurs ...
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