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Si le public se fait une joie de retrouver Alex, Marty, Melman et Gloria dans de nouvelles aventures joviales, il risque cependant d'être déçu par le manque d'humour et de rythme de ce second volet.
Bien qu'il date de 1984, le film n'a pas perdu de sa superbe. Le visuel émoustille la rétine, l'histoire enchante le public et réveille en lui une certaine nostalgie...
Méconnue majoritairement de l'opinion publique, l'histoire de Nicholas Winton est pourtant bouleversante et mémorable. L'abnégation de cet homme et de son équipe afin de sauver des centaines d'enfants du massacre des camps force l'admiration. Son personnage est interprété par deux talentueux acteurs, son histoire oscille entre deux périodes, celle d'avant-guerre (1938) et celle cinquante ans plus tard (1988). Immanquable au visionnage, Une ...
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Cette comédie romantique très british adresse indiscutablement un message d'amour essentiel dont le monde a besoin aujourd'hui. Elle amène aussi avec son lot de stars du positif et du baume au cœur.
Il s'agit du quarante-deuxième et dernier long métrage de Clint Eastwood. Le réalisateur aux multiples casquettes termine sa carrière en beauté en signant une œuvre psychologique, morale et réfléchie.
Eli Roth mélange la comédie à l'horreur et reprend les codes du slasher. Avant tout critique de la société consumériste occidentale, le film met en avant des meurtres ensanglantés originaux mais dispose d'un scénario déjà-vu ailleurs...
La puissance d'un film passe par l'énergie et les émotions qu'il procure. Si vous avez le vertige, vous risquez d'avoir les mains moites et le cœur qui bat. Les sensations fortes transmettent un sentiment de malaise pour toute personne souffrant d'acrophobie. Bluffant !
En définitive, avec peu de budget, il est possible d'accomplir des exploits. 4,75/5.
En définitive, avec peu de budget, il est possible d'accomplir des exploits. 4,75/5.
Méticuleusement parlant, la réalisation se distingue. Dans La Zone d'intérêt, l'horreur de la guerre est décrite sans jamais la montrer. Le film éveille les sens et joue sur le contraste entre deux mondes, le mal représentant une famille d'un dirigeant nazi, bien intégrée, bien vêtue avec une belle maison et un grand jardin et le bien représentant les déportés, des prisonniers invisibles à l'œil du public mais dont on entend et/ou ...
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Artus pose son scénario sur le handicap, sujet peu traité dans le cinéma. Malgré les bonnes intentions du réalisateur, le film dégage dans son ensemble une certaine déconvenue. Par ses blagues lourdes, vulgaires et répétitives, la comédie trébuche dans l'agacement. Cependant, il faut noter le travail colossal de toutes les équipes. L'encadrement a été à la hauteur et les jeunes comédiens handicapés sont tops. Bref, pour une ...
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Pour ce retour, de nouvelles idées sont mises sur table par la troupe. Les péripéties s'enchaînent, c'est drôle, frais, jovial et absolument pas redondant. L'équipe s'amuse, le public aussi !
La bande à Fifi, comme on la surnomme, se retrouve pour un nouveau projet tout aussi délirant que pour Babysitting. Elle transmet de la joie, du plaisir et de la bonne humeur, tous les ingrédients nécessaires contre la déprime.
Ode à la différence, le long métrage de Stephen Daldry partage un message de tolérance et d'acceptation. Le jeune Jamie Bell qui interprète Billy Elliot déborde de talent. Son interprétation est digne des plus grands.
L'union Depardieu/Reno fonctionne, les gags fusent, l'ensemble est plaisant. Le final est toutefois assez expéditif.
Sans nul doute, le résultat est en deçà des attentes. Il manque de l'humour et des rires. Néanmoins, le plaisir de retrouver nos acolytes est bel et bien présent.
Qu'il est bon de retourner dans les années 1980 et de replonger dans un classique indémodable mélangeant les genres. Le Flic de Beverly Hills regorge d'humour, son casting mené par Eddy Murphy dans le rôle principal brille de toute part. Il faut rajouter la bande sonore légendaire et l'ambiance nostalgique pour obtenir un divertissement admirable.
Il est légitime de qualifier le scénario d'usuel mais malgré ce défaut, le film tient en haleine sur l'ensemble du visionnage.
Visuellement excellent, Alien : Romulus est le septième long métrage de la saga. Plus tourné vers la science-fiction que vers l'horreur, le film séduit et n'est pas réservé qu'aux plus fervents. Fede Alvarez propose de nouvelles idées et parvient à renouveler l'engouement du public.
Comment peut-on faire un tel navet ? Qui a pu financer ce genre de projet ?
Aucun élément ne fonctionne. Tout est décousu. Avec de mauvais acteurs, un scénario ridicule et des effets spéciaux gênants, ce film est un chef-d'oeuvre de nullité.
Aucun élément ne fonctionne. Tout est décousu. Avec de mauvais acteurs, un scénario ridicule et des effets spéciaux gênants, ce film est un chef-d'oeuvre de nullité.
Bourré de défauts, le film peine à convaincre et souffre d'absurdités scénaristiques majeures.
Il est à la fois risible, irréaliste et donc sans intérêt.
Il est à la fois risible, irréaliste et donc sans intérêt.
Il s'agit du deuxième long métrage d'animation en images de synthèse des studios Pixar. Le moins que l'on puisse dire est que le résultat est bluffant. La qualité de l'image ne trompe personne. L'animation sur le monde des insectes passionne. L'ensemble de l'équipe a mis la main à la pâte et mérite mille et un applaudissements ! 3,75/5.
Ce thriller réalisé par Danis Tanovic n'est pas transcendant. Ni exceptionnel, ni mauvais, il se regarde sans ennui et sans attrait particulier.
Œuvre culte du cinéma français, la comédie de Robert Lamoureux dispose d'un humour décalé aux répliques mémorables. Son ensemble est correct mais il est loin d'être exceptionnel.
Ce thriller racoleur déplaît. Malgré un scénario tenable, il souffre de ses péripéties douteuses et de son casting très médiocre. Keanu Reeves ne convainc absolument pas. Son interprétation frôle le ridicule...
Harrison Ford et Tommy Lee Jones se réunissent dans ce polar dynamique plein d'énergie. Sans temps mort, les péripéties s'enchaînent et ne génèrent aucun moment de lassitude pour le spectateur. Pas de doute, Andrew Davis a réalisé un thriller d'action scintillant !
Quentin Tarantino réinvente l'histoire de la Seconde Guerre mondiale à sa façon. Son œuvre mélange les genres entre horreur, drôlerie, gore. Sa mise en scène lui est distincte. Tout un art !
Avec un casting aussi riche, on pouvait s'attendre à mieux. Damaged ne fait pas d'étincelles car son scénario manque d'originalité. Le résultat est en deçà des attentes.
Pour son premier long métrage, la réalisatrice évoque le traitement des enfants placés dans des familles d'accueil. Le sujet délicat est interprété convenablement par Virginie Efira dans le rôle principal. L'ensemble de la réalisation est honorable.
À l'instar de blockbusters du même genre et de la même époque, Volcano souffre de son invraisemblable scénario et de ses clichés grotesques. En revanche, il bénéficie d'effets spéciaux jaillissant de part et d'autre et d'un tempo enflammé. 3,25/5.
Martin Scorsese frappe encore très fort. Son œuvre détaille avec méticulosité l'histoire de la population amérindienne qui a fait fortune grâce à l'or noir dans l'Oklahoma des années 1920. Elle dévoile aussi les convoitises de Blancs peu scrupuleux prêts à tout pour détourner l'argent de cette communauté. La reconstitution et les décors sont authentiques, le travail est ample et d'une virtuosité irrécusable.
Les 3h26 ne se ...
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Il est rare de voir un film développer sa thématique sur l'arithmétique et plus précisément sur la conjoncture de Goldbath, problème mathématique non résolu encore à ce jour. En prenant ce sujet ésotérique, la réalisatrice a pris un risque, celui de ne pas éveiller la curiosité du plus grand nombre. À la grande surprise, la formule fonctionne. Elle est portée par la prestigieuse comédienne Ella Rumpf.
Une nouvelle fois, Ben Affleck prouve son talent, que ce soit devant ou derrière la caméra. Pour son troisième long métrage en tant que réalisateur, l'américain situe son scénario en Iran pendant la révolution de 1979. Il parvient à rendre son œuvre anxiogène, saisissante, palpitante et au casting engageant. À ne pas rater !
Dans une fosse du bassin minier du Nord de la France pendant la Bataille du charbon, un groupe de mineurs découvre une crypte peuplée par une créature maléfique. Si le travail de reconstitution respecte l'histoire houillère, le côté horreur est en revanche loin de séduire. À conseiller principalement pour les décors.
Il s'avère assez coriace d'être la Première dame de France. C'est ce que mentionne le long métrage de Léa Domenach. La réalisatrice esquisse le portrait de Bernadette Chirac et les difficultés de l'épouse du Président de trouver sa place dans l'ombre de son mari. L'écriture du synopsis oscille entre réalité et fiction.
Slasher culte de la fin des années 1990, Souviens-toi... l'été dernier fait jeu égal avec sa "concurrente" Scream. De bout en bout, l'intrigue passionne tout comme le casting alléchant. Qu'il est bon de se souvenir de ce film !
Au cours du marathon de Boston de 2013, deux explosions ont retenti près de la ligne d'arrivée semant la panique et le chaos dans la capitale et plus grande ville du Massachusetts. Le film dévoile la chasse des auteurs de cet acte criminel par les services de police les jours qui ont suivi l'attentat. Peter Berg signe un drame poignant. 3,75/5.
En avril 2010, l'explosion de la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique tue 11 ouvriers et provoque un désastre écologique sans précédent aux États-Unis. Le drame arbore cette catastrophe dans des décors proches de la réalité et aux effets visuels faramineux.