BlindTheseus
Membre depuis le 23 février 2008
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Basé sur une histoire vraie une intrigue intéressante sur ces prisonniers politiques ainsi que ces combattants simplement dépourvus de l'essentiel & assimilés à la "racaille", pdt que ces autres bénéficient joyeusement de privilèges énormes; le script mettant le doigt notamment sur la propagande et l'illetrisme obligé favorisant la guerre - toutefois le reste suit difficilement en raison de sa focalisation sur les intrigues ...
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Poigant, mouvant, une belle histoire plutot contre tout cliché qui nous déplace au début des 70's avec de plus un tas de détails réalistes, sinon de cheerladers. Jusqu'au noeud de l'intrigue on ne se doute pas un seul instant ou se dirige bien ce conte actuel pas sans suspense. Maintenant on peut aussi effectivement se demander pourquoi le débile n'est pas blanc, ou riche -parceque cela existe aussi.
Trop marketé, débile, infantile. Irréaliste et déja vu.
Parfait nanar qui exploite sans vergogne aucune les concepts des productions semblables de l'époque: On se demande ce que vient faire River Phoenix dans cette galère ou il doit lutter contre d'affreux et grotesque parasites à la "1984", et seule la secrétaire yuppie tragiquement trop arriviste (jouée par l'excellente J.Room) tire son épingle du jeu tandis que la BO electronica au son Atari typique rythme un tempo par ailleurs bien trop téléguidé.
Le classique parfait du techno-thriller actuel, bien léché et réaliste: pas de fausses notes - pas de second degré pourrave (on a peur pour Ruby seule et isolée en cette maison de verre & parmi toutes ces brutes) - et pas de grand twist théatral mais un tout ultra efficace.
Dans une veine simple un film qui dérange (surtout les vieux c*** et les débiles friqués ou non), adoptant un ton réaliste qui nous rappelle finalement les choses essentielles. Smart, bien réalisé, pas démagogique et plus hippie que bobo.
Total plantage, ne vaut que pour son scénario modèle des buddy movies autrefois produits dans le genre mais en mieux. D'autre part ces "autres types" & héros - qui disposent ici d'une infinité de capitaux - sont surtout de grosses folles effarouchées par rien qui passent leur temps en couple soit à mentir ou à la caféteria à soigner leur gonflette ou leur dernier nokia. Bad, bad, bad; en effet.
Sympa, bien fait, une bonne surprise qui réfléchit et qui en rappellera d'autres similaires et précédentes d'autre part pas si communes: D'autre part le chapitre sur le behaviorisme virtuel et l'indépendance de la femme (en fait de en rare) met un point d'honneur à relever le niveau d'un script qui n'est pas que fondé sur un antagonisme primaire aidé par les effets spéciaux ou les séquences de gunfighting à la Matrix. Bluffant et ...
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Plutôt mal fait, grotesque; inutile.
Beaucoup de moyens ne suffisant pas à faire un bon blockbuster et c'est ce que prouve cette énième copie carbone d'autres prédecesseurs des 80's plus successful sinon meilleurs. Pauvre Tom Cruise...
En dépit de l'atmosphère faussement cool d'un village à l'ambiance sympa on est effarés par l'aspect authentique cliché des héros et héroines du film, même féministes; et les auteurs reculant semble-t-il devant tout semblant de réalité à chaque noeud dramatique sinon contrarieté laissant donc un script trop empli de questions, de jokers et de phases narcissiques (de tte façon tels les poncifs gays du récit ) quand on oublie ...
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Très vieux film qui s'extasie tout le long devant un Gabin point trop ferme avec des enfants qu'il doit envoyer dans une maison de correction. Tendance mais en fait assez désuet et pas très original, de plus le son ne bénéficie pas d'une bonne copie sinon décente: Pour les plus "âgés" d'entre nous...
Il faut, en général, se méfier comment on traite les 'parias' en notre société et c'est ce que montre ce chef d'oeuvre surréaliste avec la revanche de deux harpies honteusement exploitées (dans un silence total); climaxant finalement en tragédie. Le comportement de ces bourgeois tour à tour méprisants, menacants, puis obéissants, ne fera pas que sourire et enfin les protagonistes principales réalisent ici une merveille ...
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Entre coups tordus, aventures ou simples mesquineries inattendues qui donnent par ailleurs du piment à l'aventure, on revoit avec plaisir cette fantaisie totalement invieillie au scénario hyper culte et copié 1500 fois; Génial. " Les chiens aboient, etc !"
Avec ses croyances superstitieuses et antédéluviennes un script qui nourrit les memes flux et intrigues déja vues 1000 fois autres part - de préférence - tandis que l'histoire avance au rythme le plus commun possible: Sans surprises.
Malgré sa double structure très noire et sa causticité, un drame avec beaucoup d'humour (qui ne plaira donc pas à tout le monde) entre TV réalité et polar; qui se moque de ces technocrates à la philosophie rose-bonbon sinon de l'uniformisation rampante. L'esprit irrévérencieux et libertaire du début des 80's.
Même si la forme de l'oeuvre se conjugue avec un simplisme flagrant alors que le casting un peu fade a l'air d'avoir été fait produit par D.Besnehard, il y a là l'exemple d'une adaptation pas si académique et enfin certaines scènes, comme celles avec les serviteurs hargneusement jaloux à l'égard du hussard, (O.Martinez) resteront dans les annales ainsi que sans doute celles consacrées à la contamination des villages de Provence. On ...
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Semble trop soucieux de ressembler au lot commun tout comme d'ailleurs le récit, plutôt avare et sans intérêt. Aucun grain de sable. Il ne suffit pas de cloner ses précédents ou de doubler les intrigues pour avoir du succès surtout quand c'est nul.
Encore un documentaire simplement indispensable qui nous fait prendre conscience du danger de la pollution - qui concerne toute la planète et pas que le tiers-monde -: donc les pires inquiétudes pour l'avenir et un fort regret pour la démocratisation des transferts de déchets nucléaires.
Semblant favoriser des histoires et des haines ancestrales dignes de Roméo & Juliette (quoique d'un niveau culturel nettement en dessous) , ce film a l'air également d'être impregné d'un jeunisme nauséabond sinon despotique qui fait d'ailleurs fi de toute crédibilité: Favorise donc l'âge mais sans hésitation d'un autre âge...
Le meilleur opus de la série: Impertinent et dérangeant, le récit se joint à une satyre de la société et de ses soaps blockbusters à tendance fantastique, avec de plus, un nouveau personnage horriblement laid (Tracassin) tentant par tous les moyens de réduire notre héros, si possible, à ce qu'il n'est pas ou de le faire ressembler à lui-même, sans oublier les deux nemesis -cette fois dotées d'un ego énorme et d'une paresse ...
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Le plus grand nombre a rarement raison: La preuve. Excellent film.
"Killers" est un très mauvais polar tout-public et un peu débile à la manière des années 90's ou l'humour n'a qu'une place toute relative ou alors au 1601ème degré. Aucun suspense, pire clichés et poncifs.
Minimum syndical de la comédie dramatique alpha, de plus J-Lo semble s'ennuyer ferme et on la comprend.
Belle oeuvre à l'esthétique celluloid et arty des 50's: Malgré le fait que l'histoire de rédemption, très stérérotypé, joue sur les acquis
du réalisateur, on se laisse porter par une bien étrange atmosphère
ainsi que de beaux plans du désert de la mort.
du réalisateur, on se laisse porter par une bien étrange atmosphère
ainsi que de beaux plans du désert de la mort.
Intructif, frais, un document qui mêle le sport à la vie de tous les jours sinon de bureau, à l'image désormais de Pékin, Berlin mais aussi L.A. et San Francisco. Plaira surtout à Paris/région parisienne.
Pas convaincant, trop normal. Une comédie qui se déroule sur les gratte-ciels de NYC mais qui n'est pas assez crazy ni 'high'!
La nature est fondamentale et il faut parfois sortir des sentiers battus, parceque là ou est le "populo" il n'y aura déception: Voilà en gros la morale de ce film au ton dogma, charmant et à voir comme une pub Stimorol.
Un film trop vu et revu, le samedi soir.
Gros nanar aseptisé.
La vie du plus célèbre couturier du monde:Un documentaire qui ne dévoile pas trop sans égratigner et semble être fait pour être diffusé sur fashion TV. Un peu comique quand on connaît la difficulté des vrais créateurs à se faire entendre! (avec bien entendu le passage contenant N. Kidman) Ne reste finalement qu'une idée de la personnalité de cet homme de talent à la vaste culture, pour qui l'art doit être "sans limites"...
A une sombre époque du temps gallo-romain, un complot se trame entre puissance barbare et délire mystique: Un point de vue intéressant qui donne un ingénieux thriller, ou les "vieux sages" tentent de réduire au silence les scribes tandis que se monte la traite des blanches et le trafic d'esclaves (bien svt conclu avec l'accord des parents). Réaliste.
Trop fatale, trop typique. De plus les présumés se voient beaucoup trop de (très) loin.
Etriquées.
Le difficile destin d'une fille-mère du début du XXème avec tout ce que cela comporte d'éléments tragiques et mémorables: Avant la rencontre avec John, l'employé du cirque voisin, nous avons droit à l'affreux docteur, la longue séquence avec ses employeurs hobereaux égoistes et mesquins qui l'abandonnerons d'ailleurs en pleine nature simpement parcequ'elle n'adopte pas pour sa part la même religion, sans oublier Linda l'acrobate qui la ...
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Classique. Sans commentaires...