Bobby Sander
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0,5
Publiée le 23 août 2015
Le film réactionnaire mais gentil par excellence, à l'image du rôle public de Jugnot. J'ai toujours eu du mal à croire que des jeunes pouvaient aimer ça. C'est une forme de maturité innocente pour les petits enfants soumis.
3,5
Publiée le 24 janvier 2015
Pittoresque. Son exécrable moyenne est décevante mais compréhensible. Malgré tout l'originalité (pour le meilleur et pour le pire) m'incite à lui donner une bonne note.
2,5
Publiée le 14 juillet 2013
Un road-movie banal mais efficace, avec des interprètes de talent et des situations prévisibles.
5,0
Publiée le 27 mars 2013
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3,5
Publiée le 3 mai 2011
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3,0
Publiée le 2 mai 2011
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3,0
Publiée le 2 mai 2011
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2,5
Publiée le 1 mai 2011
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2,5
Publiée le 1 mai 2011
2sur5 Illustration poussive, souvent théâtrale mais sans ampleur, d'un roman-culte par un DePalma assez en forme mais peu en verve. DePalma avait pourtant un objet (le best-seller de Tom Wolfe) mais il se contente d'appliquer ses recettes et de les diluer dans un mélange de maestria vaine et de prises de vues téléfilmiques. Plus séduisant en tant que comédie (avec quelques gimmicks forts comme ce révérend black délirant) que convaincant ...
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2,5
Publiée le 1 mai 2011
3sur5 Le grand come-back d'Indy : les fans ont détesté, ils ont leur raisons et elles se tiennent, mais pour les autres, pourquoi pas ? Il faut admettre que ça part plutôt mal ; exagérément vieilli, Harrisson Ford/Indiana Jones est devenu l'ombre de lui-même (on pense au Bruce Willis de Die Hard 4), vieux professeur grisonnant qui ne fait guère plus de folies de son corps. Il n'est pas aberrant non plus de croire qu'il valait mieux ...
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4,0
Publiée le 27 avril 2011
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2,5
Publiée le 25 avril 2011
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1,0
Publiée le 24 avril 2011
1sur5 Spielberg rempile pour un second opus bien plus monocorde encore, en dépit d'une escale citadine façon King Kong (ce sera la seule surprise au programme). Le premier grief concerne la participation de Julianne Moore, qui paraît assez sous-exploitée par Spielberg, lequel se contente d'en faire une jeune scientifique volubile et obstinée encore plus inerte et caricatural que le personnage, déjà très artificiel, campé par Laura Dern ...
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2,5
Publiée le 24 avril 2011
2sur5 Si la culture populaire l'a parfaitement assimilée, la marque ''Jurassic Park'' ne marque pas l'apogée de son initiateur sur le grand écran, bien au contraire. Il n'est d'ailleurs pas interdit de considérer Jurassic Park comme le début du déclin artistique du très (trop?) respecté Spielberg ; l'exécution du film semble avoir tenu pour lui la solennité d'une promenade de santé. En résulte un divertissement forain, à la fois ...
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2,0
Publiée le 25 mars 2011
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3,0
Publiée le 17 mars 2011
3sur5 Retour d'Hideo Nakata aux commandes de la saga, lui qui avait signé le diptyque nippon originel (Ring 0, japonais également, n'est pas sorti en salles en France et aux USA). Naomi Watts est de nouveau aux prises avec Samara (ex-Sadako) et la cassette maudite, mais l'intrigue a moins à voir avec cette dernière qu'avec la relation entre une mère et, d'une part, son fils sous l'emprise de forces surnaturelles, d'une autre, une fille ...
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3,0
Publiée le 17 mars 2011
3sur5 Contre toute attente, le remake US de Ring, ce film parmi les plus surcotés de sa décennie, n'a rien d'un simple copycat. Plus charnel, il dépasse même son modèle en s'en écartant ostensiblement. D'une rare élégance pour un blockbuster (d'autant plus surprenante de la part du réalisateur d'un film aussi criard et laid que Pirates des Caraibes), le film sait entretenir atmosphère et suspense. Si cette fois, les images de la vidéo ...
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4,0
Publiée le 17 mars 2011
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4,0
Publiée le 17 mars 2011
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4,0
Publiée le 17 mars 2011
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2,5
Publiée le 17 mars 2011
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5,0
Publiée le 16 mars 2011
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4,0
Publiée le 16 mars 2011
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1,0
Publiée le 16 mars 2011
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2,5
Publiée le 16 mars 2011
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1,0
Publiée le 16 mars 2011
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1,0
Publiée le 16 mars 2011
1sur5 Absolu film de blaireaux, parfait pour les jeunes mongoliens se rêvant bad boys. Tout part de la base suivante : c'est des histoires de keums fiers d'eux, et ça donne ça : ''toi tu me suce'', ''t'est un p'tit enfoiré d'pédé'' ; ''tu la sens la zik là ? - waaaah j'la sens !'' ; ''oh ta came c'est de la daube'' ; ''enculé de ta mère''. C'est un peu American Pie au premier degré (autrement dit le film brasse ''coolitude'', jeunisme ...
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1,0
Publiée le 16 mars 2011
1sur5 Ca y est, c'est l'heure, la fin du Monde est arrivée, les Machines viennent l'anéantir, ou le conquérir (enfin c'est pareil, ce détail n'a pas trop été élucidé, il faut dire que ça nécessitait de construire la partie scénario alors que l'important, c'est la bouillie). Les Machines déciment donc les menaces futures (et qui s'ignorent) mais Schwarzy est là qui va tous nous sauver. Ce troisième opus supervisé par Mostow, filmeur ...
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4,5
Publiée le 6 mars 2011
Un film qui m'a toujours marqué !

Non seulement c'est une bonne comédie, mais aussi une histoire sensible, avec en fond un décor réaliste qui ne tombe ni dans la démagogie ni dans les clichés !

Brillant, touchant, magistral, Beau, complètement réussi !
2,5
Publiée le 6 mars 2011
Sleepwalker se voudrait puzzle gigantesque ou tous les détails quotidiens prendraient leur place dans une fantasmagorie narcissique. Mais en divisant de façon très scolaire son récit pour finalement n'avouer ses intentions qu'en fin de parcours (et alors que cette annonce ne fait que remettre en place ''la vérité'' du script sans relancer la donne), l'oeuvre donne des réponses évidentes et somme toute comparables à celle de n'importe ...
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2,5
Publiée le 6 mars 2011
2sur5 Transformers la revanche a divisé, séparant deux groupes d'hominidés bien distincts, paraît-il : l'amateur de cinéma de bourrin ; et puis l'autre. La perspective est assez restreinte, pourtant, difficile de nier qu'elle s'applique parfaitement à cette sequel lucrative. La saga Transformers, ce gigantesque espace ou tout est disponible, tout ne demande qu'à être dégommé dans un coup de burin, est un authentique terrain ...
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3,0
Publiée le 6 mars 2011
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4,0
Publiée le 13 février 2011
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2,5
Publiée le 12 février 2011
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4,0
Publiée le 12 février 2011
Après les aventures hautes-en-couleur et très ''collection de prestige'' quoique sans boursouflure (le côté tranchant, plus ''US'' justement), le film gagne en profondeur lorsqu'il s'agit pour Lagardère de se venger et trouver l'amour là ou il paraît insensé d'avoir sa place aujourd'hui. Le lien incestueux du tuteur à l'orpheline (évacué dans les adaptations récentes – fiction TV par Josée Dayan) y introduit un quelque chose de ...
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4,0
Publiée le 12 février 2011
C'est un peu Les 12 Travaux en version horrifique : la monstruosité glacée des formalités et administrations écrasent toute vérité, nient la personnalité du sujet mis à l'épreuve. On ressent l'impuissance et la colère face aux fous [socialement] bien déguisés qui prétendent se responsabiliser pour vous. Ce deuil à l'envers (ou improbable, contradictoire) touchera notamment tous ceux qui ont connus, de près ou de loin, des pressions ...
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