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Il y a des choses dans la vie qui sont malhonnêtes. Ce film est une de ces choses. Regardez Infernal Affairs de Andrew Lau et Alan Mak, regardez ce beau film noir, impeccablement mise en scène et cohérent, regardez le bien, le cinéma occidental ne peux plus produire des bijoux comme cela. Le cinéma asiatique s'envisage comme un art, une recherche d'esthétisme, une quête du spectaculaire qui ne se défausse pas du réalisme et de la ...
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N'allez pas voir ce film. Vous allez vous emmerder. Un sketch mal écrit succède à une chanson mal interprétée qui succède à un sketch mal écrit et ainsi de suite pendant plus de deux heures interminables. J.Sfarr, j'espère que t'as pas l'intention de laisser tomber la BD parce que le cinéma, c'est mort pour toi. L'absence totale de rythme, les scènes qui déboulent comme un chien dans un jeu de quilles, l'intrigue inexistante, la mise ...
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Un film qui n'a honte de rien. Un scénario obscur et famélique, des acteurs qui tantôt cabotinent comme des possédés ou se la joue "silence inspiré" avec en trame de fond une pseudo-guerre des polices qui s'achève bien après avoir achevé le spectateur sous une pluie de poncifs tous plus grotesques les uns que les autres. Qu'est ce qui pourrait mériter le plus le sceau de l'infamie ? Le placement produit "bonne maman" ? Plus ...
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Nous sommes transporté dans une autre dimension, une dimension non seulement faite de paysage en carton et de sons techno mais surtout de débilité. Un voyage dans une contrée dont les frontières sont la connerie. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la dimension de la stupidité. Bienvenue dans la dimension de Lara Croft 2, un monde où l'on peut frapper des requins en plein pif et s'en servir comme sous marin, ...
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Moi Philippe Harel, réalisateur grâce à ma consonance innée avec Philippe Garrel et acteur chauve sans talent, j'ai des frais. Des besoins impérieux d'argent, alors après avoir vécu sur mes acquis depuis 1997 et le miracle "Les randonneurs" en réalisant des films transparents, j'ai eut l'idée du siècle: rappeler mes amis qui ont pas percés dans le Show-biz comme Vincent Elbaz et Geraldine Paillasse ainsi que mon bon ami dépressif ...
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Aucun intérêt à part celui de me rappeler que je hais viscéralement les films chorals, ainsi que la filmographie de Klapish et les longs moments interminables devant une fenêtre avec de la petite musique au piano histoire de bien faire comprendre que "cette scène est mélancolique, OK ?". Klapish ne voulait pas montrer la carte postale ? Manque de bol son film commence par une image des toits de Paris, Klapish voulait nous montrer l'envers ...
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Oh mon Dieu, quelle douleur que ce truc. Interminable scandale cinématographique, MeRde 73 est au cinéma ce que Plus Belle la vie est à l'intelligence : une insulte. Comment décrire un film où il ne se passe que dalle ? Mais vraiment rien de chez rien, l'attente, le silence, le vide intersidéral ponctué de scènes sidérantes de poujadisme primaire entrecoupées par d'incroyablement chiante scènes de... euh ? Enquête ? Si on considère ...
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Une mauvaise comédie, molle de la bite comme un vieux pervers qui y arrive plus, Astérix aux jeux merdiques est tellement mal filmé que même l'Astérix réalisé par un Claude Zidi à l'article de la mort peut se vanter d'avoir plus de rythme que cette bouse informe. Les "acteurs" font le numéro qui les a fait connaître, le tout dans une absence de scénario qui méduse le spectateur qui a dépassé les 2 ans d'âge mental. Astier fait du ...
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This is Madness ? No, THIS IS COMPUTER-GENERATED IMAGERY ! En clair une bande de gus, inconnus au bataillon, braillent et gesticulent dans un hangar. Fin. Je peux pas dire que j'ai été vraiment déçu puisque, selon moi, Sin City sonnait déjà le glas du cinéma, alors dans le fond, 300, qui est une adaptation d'un comics crée par le même gars, n'est que dans la continuité de la débilité affolante de ce que Hollywood arrive à produire. ...
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Surement la pire chose filmée de l'histoire de l'univers, Blanche a définitivement grillé Bonvoisin du monde du cinéma aussi vite qu'il y est apparu. Et en voyant la bête on comprend comment cela est possible. En dépit de toute forme de respect narratif, les acteurs vont et viennent sans raisons apparentes (mention spéciale à Depardieu) au milieu d'un maelström de non-sens et de mauvais goût probablement dut à la cocaïnomanie du ...
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Incroyablement faible au niveau du message et de l'action, La Planète des singes de Tim Burton est à l'image de beaucoup de remake (bien qu'il se défende d'en être un) : un film indigne et inutile qui n'a comme seul mérite que celui de nous donner la nostalgie de l'original. Docteur Zaius, Zira et Cornelius, George Taylor et Nova... Ça c'était des personnages qui avaient de l'épaisseur et induisaient de bonnes réflexions sur l'humanité, ...
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Le onzième cercle de l'enfer de Dante.
... Hum... Que dire, j'étais jeune à l'époque de sa sortie en salle, j'aimais les jeux vidéos "Dieu me le pardonne", j'en ai vu un qui sortait au cinéma, j'y suis allé et j'ai compris, l'appât du gain ne justifie pas tout. Ce film est honteux, odieux, infamant, vil, repoussant, déshonorant, épouvantable, abject, ignoble, détestable, dégradant, puant, naze, con comme un balais, épouvantable, dépourvu de scénario, fatal pour Bob ...
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Dans la série massacrons les films du XXème siècle, la Paramount et Steven "j'ai perdu mon talent" Spielberg nous présente : "Indiana Jones et le crâne de caca". A la base, Georges Lucas voulait l'appeler "Indiana Jones et les martiens" mais ça aurait spoiler les cinq premières minutes du film. Il combat plus des nazis à la place on a droit au communisme, du communazisme en sorte qui ont vraisemblablement vu "Les aventuriers de ect..." et ...
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Le gros blond a réussit l'inimaginable, faire dix millions de spectateurs avec l'histoire d'un mec qui garde une photo de dauphin dans son portefeuille. Quoi ? j'ai vraiment écris ça ? Mais cette horreur est la PIRE MERDE ABYSSALE DE L'HISTOIRE DE L'HUMANITE TOUT PRODUITS CULTUREL CONFONDUS ! A vrai dire, filmer une merde qui nage entre deux eaux pendant deux heures serait moins pénible à regarder que ce truc. Une question est ...
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Voilà un film qu'il vaut mieux apprécier sous peine d'être un odieux raciste ou un punk anarcho-syndicaliste qui aime aller contre le courant juste pour pas faire comme tout le monde... Oh dites, vous me voyez venir n'est ce pas ? Ce film là, c'est pas sérieux non ? C'est daubé du cul vous trouvez pas ? Ah non, tout le monde le trouve génial, c'est la critique la plus intelligente sur le racisme ? Qui a vu "the intruder" ou "Malcolm X"? En ...
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C'est vraiment trop, trop trop de la merde. Non excusez moi pour cette critique pas assez argumentée : c'est carrément... mais comment dire c'est la quintessence même de la chiasse. On peut pas faire pire que ce FFil... ce... cette m... enfin cette entité nauséabonde. Je met officiellement Dany Boon sur ma liste noire de cyniques qui se sont enrichis en profitant de la crédulité des gens. Comment dire ; ce film est une merde absolue, qui ...
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L'Etrange histoire de Benjamin Somnifère : Film sirupeux et clichetonneux en 235 actes avec Mister Brushing : Brad Pitoyable et une jeune vieille : Cate Machin-truc dont le seul intérêt est de permettre de rajouter au moins une heure et demi au métrage (je met au défi quiconque d'être ému par cette histoire d'amour farfelue).
En clair, un enfant nait avec la tête de Robert Redford : déjà le spectateur qui n'en demandait pas tant, à ...
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Plus la date de la vision de ce film s'éloigne, plus il me reviens en tête, par bribes, des images surréalistes, des pans entiers de films, des bons souvenirs. J'avais eut beaucoup de mal à le regarder la première fois, je me disais que filmer n'importe quoi ne faisait pas forcément un bon film. Puis en le revoyant, j'ai été saisi par son aspect surréaliste et transcendantal. Cet esprit de liberté narrative, qui va quand même quelque ...
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Le film le plus accessible d'un Claude Sautet alors en parfaite maitrise de ses sujets de prédilection :le mal-être, l'amour impossible et les relations entre les gens qui ne sont pas d'un même milieu. Le film que je conseillerais à tous ceux qui n'ont encore jamais vu de films de Sautet.
Alors j'ai tout relu la guerre de cent ans, j'ai bien cherché un peu partout et il n'est dit nul part que Jeanne d'Arc était une hystérique transsexuelle qui passait son temps à hurler et mal-jouer. Deuxième point, j'ai tout revu "Another Luc Besson's stupid movie" (en plus, il avait promis à l'époque que ce serait son dernier) et je ne comprends toujours pas pourquoi il a pas fait un jeu vidéo avec ça tellement ça sautille dans tout ...
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C'est marrant j'ai faillit oublier que je l'avais vu celui là. Faut dire il est tellement crasseux de mongolisme qu'il doit surement s'auto-détruire du cerveau de celui qui vient de le visionner, comme une sorte de processus de sauvegarde de l'intelligence. Bon alors, parlons du film, enfin de ce truc. C'est lent comme une twingo, c'est musical comme la bagnole d'un Jackie qui aurait bloqué sa radio sur NRJ (sérieusement, il y a de la musique ...
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Abel Ferrarra se risque à un sujet casse-gueule et l'alcool n'aidant pas à garder l'équilibre, se casse la binette sur cette histoire de mafioso farfelue où le seul intérêt consiste à filmer la plastique de ses actrices. Rien n'est réaliste, tout est raté jusqu'à la réalisation et la fâcheuse tendance d'Abel a filmer de suffisament prés pour qu'on puisse compter les pores des visages de ses acteurs. On s'ennuie ferme, on décroche ...
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Gna gna gna gna gna... Gna gna gna gna gna... Gnégnégné... Nagnagnagna gna gna... Voilà c'était les choristes, ça vous a plus? Oui? Ben c'est normal c'est fait pour vous plaire, à vous les honnêtes gens, vous qui avez toujours raison. Ça fait pleurer dans les chaumières les orphelins, mais peut de gens se proposent comme famille d'accueil. Tout le monde adore la tournée des enfoirés bien que personne ne supporte un voisin qui ...
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En préambule, attardons nous sur la personnalité du réalisateur, Hervé Palud. Les cinéphiles déviants se souviennent peut-être de lui comme un des membres des 13 cloches, une troupe de comiques ringardes emmenés par Philippe Clair entre les 70's et les 80's, une sorte d'imitation des charlots et il a gardé des séquelles de sa jeunesse navetteuse. Son triomphe, un indien dans la ville, fût son seul succès d'estime dans une carrière de ...
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Certainement l'un des pires navets du catalogue hollywoodien, une histoire loufoque, des personnages sortis tout droit du jeu "les sims" tellement ils sont niais, une intrigue molle et une certaine virtuosité dans le désir de branchitude absolue. Aillons une pensée pour cette réalisation vomitive d'un certain Mac machin surnommé MCG, je le soupçonne de ne pas réellement exister et d'être seulement le nom d'un programme informatique qui ...
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Il existe une façon simple pour savoir si les gens sont des bovins attardés atteints de la maladie de Kreustfel-Jacob, c'est simple, il suffit simplement de les mettre devant un véritable chef-d'œuvre homérique du cinéma mondial comme par exemple "Aguirre, la colère de Dieu". Si il trouve que c'est nul à chier, alors on peut autoriser une euthanasie filmique pour ces personnes.
"Luc Besson's Crappy Tales presents": 15 août, un film qui envoie du bois, qui y va pas avec le dos de la cuiller, qui donne un gros coup de pied dans la fourmilière des âmes bien pensantes... Tremblez bourgeois! Avec Luc Besson c'est la nuit du 4 août le 15 août, les préjugés dans les salons cosys vont voler en éclat, et oui! Car figurez vous que le mec cool, n'est pas si cool que ça, Ah ça rigoles moins chez les bobos là! Et le type ...
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Un film beaucoup moins novateur qu'il n'y parait, me rappelant d'une façon quasi-malsaine la catastrophe du polar eighties (rue barbare, la balance, bleu comme la nuit, l'indic). Se voulant néo-réaliste et américanophile, cette mouvance ne réussit à produire que d'obscènes navets répugnants et chiants comme une garde à vue de 72 heures. 36 Quai des orfèvres peut donc se voir comme une œuvre nostalgique de la bêtise crasse de ces ...
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Voilà un bien bel exemple du révisionnisme pathologique hollywoodien et comme d'habitude dès qu'il y a un sale coup à jouer, il y a un français dans les parages. Voyons! ce n'est pas honnête un truc pareil, c'est tellement caricatural que ça vire régulièrement à la parodie. Si vous produisez un film sur la Russie du communisme pendant la guerre, pensons d'abord à le réaliser en Russie par une équipe Russe. Imaginons, cinq secondes, ...
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Bon... Et bien si vous êtes capable de soutenir la terrifiante scène d'ouverture avec Eddy Murphy déguisé en obèse, éructant devant des Eddy Murphy déguisés en autres obèses, tandis qu'une tête d'Eddy Murphy sort de la braguette du premier Eddy Murphy pour insulter les autres Eddy Murphy : c'est que vous êtes Eddy Murphy... ou un dangereux psychopathe. La suite est grosso modo du même acabit, par contre, qu'est ce qu'elle est jolie ...
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Film mal compris dans son ensemble, Platoon a incontestablement sa place parmi les films contestataires sur la guerre du Vietnam. Son seul défaut serait de ne pas exposer au premier plan sa critique mais de la laisser à l'appréciation du spectateur et de mettre l'accent sur l'action ce qui ne doit pas être un gage de nullité, n'en déplaise à certains. La guerre du Vietnam était insoutenable par son horreur mais jusqu'à sa fin chaotique ...
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Sans réel rapport avec la suite écrite par Michael Crichton (à part les noms des personnages, le nom de l'île et la marque des bagnoles), le "monde perdu" s'est bel et bien perdu dans les tréfonds du film spectacle, dans le mauvais sens du terme. Nous proposant une désespérante série de personnages en carton-pâte, si bien qu'on espère qu'ils vont tous mourir sans exceptions, le film accumule les scènes d'un thriller bas de gamme où ...
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En France on a pas de pétrole, mais quand on a une idée on tire sur la corde jusqu'à ce que le dernier petit filin soit suffisamment élimé pour lâcher minablement. Alors quand ce genre de démonstration du non-art à la française se joue carrément sur la scène internationale on se fait tout petit et on répond "Jean-Marie Gaubert? Ah non, connais pas et qui d'autre? Jean Reno? Christian Clavier non plus, ils sont pas français, ils sont ...
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Un film à l'image de son thème musical, une ânerie démoulée à la va comme je te pousse, rappé par Stomy Bugsy... Mais si Stomy Bugsy, Stomy Bugsy putain! C'était une star à l'époque; mais si il a existé! Je l'invente pas quand même, je suis pas assez dingue de la tête pour inventer un personnage comme Stomy Bugsy, ben si, rappelez vous ! il a mal joué dans ma 6-t va craker, c'est lui qui fais toute ces rimes pourries à la fin avant ...
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Pour ma critique de Taxi 4, je me permet de faire une simple citation de quelqu'un pas vraiment intelligent (disons le simplement, c'est une fan de Diam's alors qu'elle est majeure). Une anonyme qui m'a dit un jour cette phrase éloquente sur la qualité de la franchise Taxi et que je ne peux m'empêcher de vous retranscrire tel quel: "Tassi Kat? C'est le mieux, à la fin y'a carrément la maison de Scarface!" No comment.