Uptownblues
Membre depuis le 16 novembre 2007
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Postulat de départ alléchant qui part en cacahuète dans le fantastique avec une histoire à la Frankenstein et un dénouement alambiqué. C'est ultra violent, peut être trop puisque biologiquement à 6L de sang dans un corps humain on est dans ce film à 6L de sang par orteil. La violence est gratuite. Ça m'a fait penser à Peninsula dans le genre. Ça frise un peu le ridicule. Reste le rôle principal de Jang dong yoon assez classe. Bref ...
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Niveau bonne surprise on est servi. Même si on peut reprocher un scénario peu original (on est habitué au recyclage), la réalisation fait la différence. Loin du film d'action auquel je m'attendais, c'est hyper soigné, le peu de scènes d'action au càc très réalistes. Peut être quelques longueurs ou la sensation de tourner en rond mais rien d'agaçant. Côté casting, pas les têtes les plus connues (à part Don Johnson). En revanche ...
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J'aurais volontiers mis légèrement plus si je n'avais pas eu la sensation qu'on se fiche du spectateur. Un tel casting pour un tel résultat (partant déjà d'un scénario éculé qui sombre dans le grotesque dès le début), franchement c'est se moquer du monde. Et je suis bon public, encore plus quand il y a Mark Wahlberg.
Le résultat est moyennement crédible. La "fin ouverte" est plutôt une fin bâclée. J'ai cru que c'était en plusieurs épisodes mais non. Quid de l'utilité de tout ce que l'on voie du coup? Le jeune François devient lui-même attachant en dépit de cette volonté de le faire parler comme un beauf/racaille (propre aux feuilletons français) surtout quand dans les faits il tient plus du petit génie. Elbé a un petit rôle qu'il gère ...
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D'une idée très sympa d'un gagnant à la loterie qui se prendrait American Nightmare dans les dents on se retrouve avec du vide intersidéral. Scènes peu originales, pas particulièrement drôle (Akwakwak est une catastrophe sur tous les plans là où John Cena semble se donner à fond pour porter le film), je me suis ennuyé et quand la fin est arrivée c'était à se demander quand le film avait démarré.
Une grosse déception, gloubiboulga manichéen ennuyeux avec un Matt Damon toujours égal lui même spoiler: c'est à dire le plus surcôté des bovins hollywoodien
et une Jodie Foster sortie du placard qui récite son texte les lèvres pincées. Reste Sharlto Copley au charisme indéniable mais relégué au même rôle en version plus simpliste.
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Un plaisir de retrouver Guy Ritchie faisant du Guy Ritchie. Casting impeccable et BO atypique pour mener la danse, le scénario assez simple ne rend pas moins le film moins divertissant, bien au contraire (à part pour les pisses-froid d'ici). Un Cavill à son prime. Une excellente trouvaille pour une plateforme.
Pas particulièrement prometteur sur le papier, la bande annonce ne laissait rien augurer de super original non plus - et on découvrira plus tard que l'affiche de série B génère à elle seule plus d'action que l'entièreté du film.
Le hic ici c'est que tous les poncifs du thriller mystique sont regroupés mais mal exploités. Le choix d'Edimbourg ville envoûtante, pourquoi pas sauf qu'on n'en voit strictement rien. Ambiance zéro.
Les ...
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J'aime les films de requin et autant le pitch m'avait attiré, autant le combo Netflix + Xavier Gens m'avait refroidi, sans compter la bande annonce source d'un gros malaise laissant présager le nanar arriver.
Ce n'est pas un nanar mais dès le début ça part sur du grand n'importe quoi sauce écologie spoiler: la fille qui survit en ayant été tirée dans les profondeurs par le requin et qui remonte au calme je suis bon public mais faut pas ...
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C'est le moins bon des 3 mais un bon divertissement d'où mon questionnement quand je vois la note quasi identique à celle de l'opus précédent. Pourquoi tant bâcher un film quand on sait pertinemment à quoi s'attendre?
Quand David Ayer fait un film pour Prime, il n'y va pas par quatre chemins, il prend les poncifs des films d'action, du John Wick (j'aime pas cette comparaison usée et abusée mais force est de constater qu'on est en plein dedans), un Statham bien énervé et il nous livre un pur divertissement brutal, jouissif et sans temps mort.
Effectivement on n'est pas dans ce qui se fait de plus original mais un effort est apporté dans la mise en scène ...
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Très largement inspiré de films genre As Bestas ou Furie, un téléfilm sans aucune originalité, à l'écriture très quelconque (en même temps c'est pas comme si on s'attendait à quelques chose de la part de Despentes), thriller psychologique où effectivement la tension va crescendo mais extrêmement frustrant tant il est invraisemblable et cousu de fil blanc. Il ne se passe rien jusqu'à un dénouement expéditif tout aussi frustrant. Le ...
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Je ne savais même pas qu'un remake de ce grand classique était prévu et n'étant pas hostile au genre, je me suis dit pourquoi pas. Après tout c'est aussi un bon moyen de se divertir tout en sondant l'évolution du ciné et en en apprenant plus sur le réalisateur. Je n'ai rien contre Julien Leclercq ayant beaucoup apprécié l'Assaut et Lukas même si c'est souvent assez limité.
Côté casting je suis toujours preneur d'Alban Lenoir. ...
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Casting alléchant pour un ratage proche du navet.
Harrison Ford en dehors de son talent d'acteur plus que discutable pour ne pas dire quasi inexistant reprend ici son rôle mythique des années 80 (uniquement pour les années 80) qu'on pensait terminé depuis la débandade du crâne de cristal.
Ici en vieil aigri spoiler: à la souplesse improbable
, il est accompagné d'une certaine Phoebe Waller spoiler: actrice inconnue, laide de ...
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J'ai mis du temps à franchir le pas parce que la BA ne m'avait rien laissé augurer du bon, Netflix, en dépit de Berg/Wahlberg.
J'ai été plus qu'agréablement surpris puisque au lieu d'une sorte de comédie policière on est sur un bon policier avec quelques traits d'humour, l'histoire prennant aussi une tournure un peu plus dramatique.
Maintenant on est plus dans du Berg commercial, plus lisse qu'un 22 miles et bien loin de ses ...
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Adaptation intéressante sur le principe d'une histoire assez exceptionnelle, le film n'en est pas pour autant une claque. En effet, là où c'est un plaisir de retrouver Bloom et Harbour, le jeune Madekwe manque clairement de charisme pour nous faire ressentir quoique ce soit. On reconnaît le style Blomkamp qui, autant dans ses films dédiés était tout à fait pertinent, autant ici devient incongrue, aussi stylés soient-ils. À noter surtout ...
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J'adore ce genre de film des années 90/début 2000, des policiers/espionnages/suspense/thriller avec une réalisation simple mais efficace, une patte particulière propre aux 90s, sans prise de tête avec des casting parfois plus qu'honorables.
Y a eu cette "mode" de prendre les figures "comiques" afro américaines et de les propulser dans ce genre de films aux rôles plus sérieux.
On pensera à Will Smith et Martin Lawrence dans Bad Boys, ...
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Pour le peu que la BA laissait apparaître, je me suis dit chouette y a l'ours Dong Seok Ma donc je regarde. Et la majorité de la note c'est d'ailleurs pour lui.
En effet, le film en lui-même est un énième post apo inspiration Mad Max avec une histoire assez banale sur fond de transhumanisme. Le reste du casting est assez faible, le jeu et surtout les dialogues sont comme dans la plupart des films coréens assez pauvres et niais. Les scènes ...
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J'avais apprécié Antigang, bon film d'action et adaptation du film clivant (je suis de ceux qui l'ont adoré) The Sweeney avec l'ours ultra charismatique Ray Winston et Plan B. On avait alors une quasi copie conforme du film mais à la française avec Jean Reno et Alban Lenoir et le duo fonctionnait bien.
Mais c'est quoi ce truc abominable? Je ne mentirais pas en disant que la BO laissait présager un truc vraiment bof mais là quoi? Le réal ...
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Je ne m'attendais pas à un chef d'oeuvre mais pas non plus à une telle déception. Déjà le thème éculé des nazis sadiques quand on sait ce qu'ont fait les "alliés" et les soviétiques, bon ça justifie les massacres mais quitte à ne pas renouveler le genre, autant assurer. C'est ce que la bande annonce m'a semblé présager: Un mélange entre Valhallah Rising et Inglorious Basterds. Que nenni.
Bien qu'on ait à faire à moindre mesure au ...
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Encore une histoire de base de super agence de la mort qui tue bla bla bla mais ça devient louche bla bla bla. C'est tellement éculé qu'on est en droit de s'attendre à quelque chose pour se démarquer dans la mise en scène ou le scénario.
Or l'action est vomitive (aussi loufoque qu'une scène d'intro à la xXx reactivated en plus épileptique et laid) et le reste classique (n'est pas Mission Impossible qui veut, ou encore Atomic Blonde qui ...
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Immense succès de 1963, devenu depuis un classique érigé au rang de chef d'oeuvre par beaucoup pour son histoire tirée de faits réels et sa réalisation impressionnante pour l'époque au casting tout bonnement époustouflant voire carrément légendaire, ainsi que sa BO mémorable signée Bernstein.
Mélange des genres entre thriller d'aventure et psychologique, ça commence comme une histoire banale d'excursion virant au cauchemar composée d'un milliardaire taiseux, d'un photographe bas du front et d'un larbin fragile mais gentil incarnés respectivement par le grand Hopkins, Baldwin et Perrineau.
Mais le tout s'avère bien plus complexe qu'il n'y paraît en dépit de ce que l'affiche et le synopsis semblent présager. En effet, sous ses ...
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Un retour de John Woo en demi teinte. Casting quasi inexistant, BO qu'on oublie vite, scénario vu et revu, cousu de fil blanc. Mais c'est pas ce qu'on attend forcément de ce genre de film, ni de Woo.
Ce dernier s'en sort plutôt pas mal avec sa mise en scène du désespoir et de la détermination spoiler: plans sur le métronome, projection sur les boules réfléchissantes à la fin
et dans le genre, Kinnaman enterre largement Bruce ...
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C'est frais, drôle, tendre... De sujets graves, injustes, énervant. Tellement d'humanité dans ce petit film à la distribution impeccable, des enfants au troisième âge en passant par les adultes, avec un Michel Blanc pas assez récompensé pour son talent.
C'est parfois finement observé, parfois légèrement cliché, mais toujours léger et sans prétention.
Une brise qui caresse le coeur et la mémoire des jeunes années à la campagne, ...
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J'ai déconnecté pendant l'intro grotesque et d'une lourdeur incommensurable spoiler: course poursuite absolument grotesque où l'extraction d'une balle est tentée dans une voiture de course driftant dans les rues de Florence et ravageant tout sur son passage et un Reynolds qui est une copie de Wahlberg dans 22 Miles en moins bon parce que Reynolds n'est pas Wahlberg et Bay n'est pas Berg
.
En reprenant le bazar, c'est une histoire ...
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Réalisateur peu prolifique, Hoblit nous sort ici son meilleur film selon moi et un must du thriller judiciaire comme La Défense Lincoln quelques années plus tard.
Le grand Anthony Hopkins invoque son jeu d'Hannibal Lecteur, incarnant un personnage superbement machiavélique dans une histoire folle contre un Ryan Gosling impeccable en jeune procureur arrogant et beaucoup de rôles secondaires appréciables tels Pike, Straitharn, Cliff Curtis ...
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Sur le papier ça semblait simple mais efficace, le réalisateur de Taken et Gunman avec un casting plutôt correct et le film commençait bien. Malheureusement ça vire à la comédie d'action - encore eut-il fallu que cela soit vraiment drôle.
Parce qu'à part Venegas, le comique de répétition du mal de dos de Cena et 2-3 autres trucs aucunement mémorables qui font sourire, ça ne vole pas haut, certaines scènes frisant le ridicule ...
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Quand Michael Mann se lance dans le techno thriller il tente d'utiliser les mêmes codes qui font de lui un maître en son genre, à savoir une histoire en apparence simple, des personnages travaillés et la nuit.
Pour Hacker, j'ai eu l'étrange impression que de par la complexité du sujet, ou du moins d'un sujet auquel il n'était peut être pas un familier, il en a légèrement délaissé les autres aspects. Dans cet imbroglio scénaristique ...
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N'étant pas du tout un fan des films d'exorcisme que je trouve dans l'ensemble assez mauvais, pas tant sur le principe que dans l'exécution, j'ai été agréablement surpris par l'exorciste du Vatican, librement inspiré de l'histoire vraie du plus prolifique exorciste reconnu à ce jour.
Russell Crowe tient parfaitement le rôle et on a tout autant droit au côté thriller qu'à l'horreur avec une enquête intéressante quoique expediée et ...
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Mann est avec Miami Vice, au sommet de son art. Assez éloigné de sa série originelle, il nous livre sous couvert d'un énième film policier au scénario assez lambda un chef d'oeuvre du genre, comme il a pu le faire auparavant avec Heat.
Michael Bay, plus connu pour ses films explosifs et ses pratiques douteuses comme le recyclage de scènes en mode "les gens n'y verront que du feu dans mon gloubiboulga visuel" spoiler: The Island/Transformers la scène de la poursuite sur l'autoroute pour la plus connue
et nous ayant préalablement habitués pendant 4 ans à la saga décérébrée Transformers (qu'il continuera) nous sort ce film librement inspiré d'une histoire ...
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D'une idée plaisante le résultat est brouillon et plutôt moyen à quelques blagues prêtes et Harbour/Leguizamo.
Le Père Noël n'est pas aussi badass que je l'aurais imaginé, quelques longueurs, des scènes d'action assez mal filmées, le côté magique un peu naze. Bref un peu déçu.
Le Père Noël n'est pas aussi badass que je l'aurais imaginé, quelques longueurs, des scènes d'action assez mal filmées, le côté magique un peu naze. Bref un peu déçu.
Prenez un scénario à la Taken, quelques inspirations voire presque copies de Man From Nowherew, A Bittersweet Life et John Wick, le tout au rabais, et vous avez The Killer.
En dépit de l'acteur principal qui tire son épingle du jeu, le reste est d'une platitude sans nom entre dialogues niais voire inutiles (c'est pas une nouveauté chez les Coréens) et une BO pop rock techno immonde.
Reste donc, et vous allez être servi il n'y quasi que ...
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C'est grotesque, pathétique et sous couvert d'une ode à la tolérance ça tourne plus en dérision ce que cela veut valoriser. Bref je retiens les pseudos qui ont mis 5 étoiles à ça pour savoir à qui ne pas se fier lorsqu'il s'agira d'une véritable critique.
Le meilleur opus de la saga avant qu'elle ne parte en cacahuète avec le chauve de xXx et qui compense là où le 1 se voulait un minimum sérieux et plutôt ennuyeux tandis que Tokyo Drift était une sorte de sequel avec malheureusement pour acteur principal une moule ainsi que le catastrophique Sung Kang. Casting, BO, tout y est.