streptocock ses critiques films

Ne tombons pas trop vite sur ce Tron : Legacy, sur lequel les critiques ont eu la main un peu lourde sans doute. La suite du film culte cumule, il est vrai, les erreurs de parcours. A commencer par un scénario anémique, développant poussivement le renversement du monde virtuel au sein de la Grille et la prise de pouvoir de Clu. L'intrigue, ultra-balisée, ne surprend jamais et s'avère terriblement banale, ne soulevant que trop rarement les ...
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Le petit feel-good movie made in France du moment est une bonne surprise. On pouvait s'attendre à quelque chose de gentil et proprement mené, et globalement, c'est toujours à peu près le cas. C'est un peu formaté, très balisée, mais le parti pris évident du conte de fées justifie parfaitement l'ambiance surannée, surcolorée de cette jolie histoire d'amour et de chocolat. Jean-Pierre Améris réussit à nous transporter avec ses ...
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Si Julie & Julia était un plat, ce serait sans doute un bon gros pudding écoeurant. Venant de la cuisinière Nora Ephron, c'est à peine étonnant, tant l'ensemble déborde de niaiserie et de fadeur. Surtout que Julie & Julia souffre d'une sorte d'"effet Cyril Lignac" : l'adaptation française est insupportable (sachant que 90% des concepts "novateurs" de Lignac ne sont que des plagiats d'émissions anglaises, je précise). Rarement une ...
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Kick-Ass, on aime ou on déteste, toujours est-il que ce film ne laisse pas indifférent, loin de là. En ce qui me concerne, ce film comme une bombe. Nerveux, survitaminé, cool, violent, décalé, traversé de fulgurances psyché complètement barrées, ce film mérite amplement son statut de nouvelle référence du monde geek, tant les allusions aux comics, Star Wars et autres Seigneur des Anneaux abondent dans chaque plan. Outrageusement ...
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Après la parenthèse Arthur et ses Minimoys, Besson enfreint à nouveau sa promesse de ne plus retoucher à la réalisation (sans doute là où il fut généralement le plus inspiré) et repasse derrière la caméra pour signer cet Adèle Blanc-Sec aux allures de blockbuster à la française. Qu'on se le dise, Besson n'est pas le personnage qu'on dépeint : producteur chevronné, on peut évidemment lui reprocher le formatage de la plupart des ...
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Tout ce qui brille est la première réalisation de la jeune actrice Géraldine Nakache, révélée au grand public par le succès de Comme t'y es belle de Liza Azuelos (réalisatrice de LOL), elle-même coproductrice du film. Bref que de la référence du film de nanas. D'ailleurs, Tout ce qui brille s'adresse avant tout à elles, c'est évident. Je suis allé voir ce film dans la douzième salle reculée d'un grand multiplexe, et la salle ...
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A peine deux ans après le très bon Sweeney Todd, le futur président du Festival de Cannes Tim Burton nous revient avec l'adaptation du roman mondialement connu de Lewis Carroll Alice au Pays des Merveilles. Enfin pas tout à fait : pour ce film coproduit par Disney, Burton a composé avec une intrigue hybride d'Alice au Pays des Merveilles et De l'autre Côté du Miroir, suite des aventures loufoques de la jeune fille. Ceux qui ont connu le ...
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Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle Orléans est le remake par Herzog d'un film assez culte auprès de certains cinéphiles réalisé par Abel Ferrara avec Harvey Keitel. Sauf que là où Ferrara jouait sur l'aspect extrêmement rédempteur de l'intrigue manichéenne, Herzog dévie ce point de vue et offre de toute façon une adaptation très libre de l'oeuvre de Ferrara, puisque située dans un autre lieu en d'autres temps. En l'occurrence ...
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Attention coup de coeur! Film au casting composé quasiment exclusivement d'inconnus (à l'exception de Bleibtreu, jeune espoir du cinéma allemand depuis quelques années, et Birol Ünel, acteur turc très connu dans son pays et acteur fétiche du réalisateur), ce film du réalisateur germano-turc Fatih Akin a reçu le Prix Spécial du Jury (la médaille d'argent en gros^^) au festival de Venise 2009. Akin, plutôt connu pour ses films assez ...
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Pour ceux qui connaissent peut-être, ce film est le remake de Nathalie, film français avec Fanny Ardant et Emmanuelle Béart. Film vu en fin d'exploitation à tarif réduit. Egoyan est un cinéaste canadien (comme son nom ne l'indique pas) qui m'avait interpellé par certains de ses films précédents comme Exotica (1994) ou De beaux lendemains (1997). Reconnu par le monde de la critique, il avait ces dernières années commencé à décliner ...
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Une comédie ridiculisant l'armée, les Américains savent faire (MASH, Hot Shots...). Mais alors un pitch pareil, j'avais jamais vu ça! Et encore il ne présage en rien de la folie furieuse de ce film plus qu'original! Mélangez des militaires ricains plus cons que vous n'auriez jamais pu l'imaginer, un journaliste neuneu largué par sa copine pour un éditorialiste avec une certaine particularité physique (j'en dis pas plus), un ancien ...
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Considérer ce film comme un biopic de Gainsbourg serait une hérésie, le film se posant vraiment comme un "conte" cinématographique. Sfar ne veut pas retracer la vie de Gainsbourg mais juste faire partager au spectateur les images qu'il se fait de lui. Rien ne dit que ce que vit Gainsbourg dans le film a eu lieu réellement et honnêtement on s'en moque. Le film est un hommage au génie délirant de l'Homme à la tête de Chou, dont ...
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Ce film est un bon divertissement, spectaculaire et impressionnant. Il n'atteint certes pas le niveau d'intensité de la BD de Frank Miller (le génie à l'origine aussi du tout aussi génial Sin City) et le jeu d'acteur ne casse pas des briques mais on prend un grand plaisir à suivre cet agréable jeu de massacre. A regarder en ayant débranché les neurones.

Le film parodique de zombies a engendré un nombre croissant de films ces derniers temps, la plupart de qualité bien douteuse, tentant vainement de concilier humour et horreur. La plus grande réussite du genre, Shaun of the Dead, avait pris le parti de reléguer directement l'épouvante au second rang, laissant la bouffonnerie s'exprimer totalement. La réussite principale de ce Bienvenue à Zombieland et partir de ce même postulat et de ...
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Whatever Works est un faux petit film. Après quatre long-métrages européens qui avaient renouvelé l'oeuvre d'un génie qui commençait à s'essouffler un peu. Retour à l'éternel New York et un cinéma plus "allénien" pourrait-on dire. Woody Allen retrouve ici des thèmes déjà vus dans son cinéma : il invoque en Larry David une nouvelle figure du double qui, par sa férocité, sa misanthropie et son inadaptation au réel, l'inscrit dans ...
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1963 : Fellini présente 8 1/2. Le tournage lui offre une grande liberté grâce au succès critique de La Dolce Vita. Fellini peut donc laisser libre court à cette imagination débridée et baroque qui fit la patte de son cinéma post-néoréaliste. Résultat : Huit et Demi laissa beaucoup de monde sur le carreau, peu à l'aise avec un film si radical que cette oeuvre. On en a souvent parlé comme une sorte d'Art Poétique fellinien, de mise en ...
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A peine un an après ses étouffantes Noces Rebelles, Sam Mendes présente sa petite soeur, aussi pétillante que son grand frère était oppressant. Résolument tourné vers un style acidulé propre au feel-good movie estampillé indépendant, cet Away We Go se distingue dans la filmographie de Sam Mendes, celui-ci s'orientant vers un modestie de moyens qu'on ne connaissait guère de la part de ce cinéaste habitué à un plus grand classicisme. ...
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Sonate d'Automne est un chef-d'oeuvre, n'en déplaise eux détracteurs de Bergman. Peu de cinéastes ont su comme lui capter les mouvements de l'âme et les élans du coeur humain. Ce portrait grinçant de relations mère/fille qui s'enveniment, tout en délicatesse et en subtilité, captive et prend aux tripes par ses dialogues virtuoses, par le face-à-face inoubliable entre Liv Ullmann et Ingrid Bergman, les deux femmes de la vie du cinéaste, ...
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Palme d'Or controversée l'an dernier, Entre les Murs ne mérite pourtant pas les critiques qui se sont parfois abattues sur lui, tant ce film fait preuve de qualités exceptionnels. Tableau froid et ultra-réaliste, le film ne se veut pas pour autant une généralisation de l'état des classes dans les cités scolaires des zones difficiles. Il se veut plutôt comme une galerie de portraits, une expérience quasi-documentaire en immersion totale ...
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Frost/Nixon part avec l'avantage d'un sujet passionnant qu'est cette confrontation surréaliste entre le président disgrâcié Richard Nixon et David Frost, journaliste plus spécialisé dans le talk-show. Le film semble partir sur des bonnes bases. Réalisé par Ron Howard... là c'est à couteaux tranchants, Howard n'étant pas un spécialiste du genre pour ainsi dire. Mais il faut reconnaître que le cinéaste a su élever sa qualité pour ...
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La Poursuite infernale est une véritable claque, un western d'une implacable pureté. L'esthétique des grands paysages désertiques est juste somptueuse, mise en valeur comme il se doit par un merveilleux noir et blanc. L'Ouest américain a rarement été aussi beau que chez John Ford. La narration quant à elle reste d'une sobriété remarquable et l'intrigue se suit avec une fluidité déconcertante. Mais derrière l'histoire des frères Earp ...
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Si Promenade avec l'amour et la mort n'est pas le plus connu des films de John Huston, celui-ci n'en demeure pas moins un long-métrage de grande qualité. Fresque ambitionnant de revisiter l'esprit picaresque médiéval, le film cache (de manière parfois trop simpliste) une tribune du cinéaste qui parle finalement plus d'aujourd'hui qui d'hier. Diatribe contre la folie des hommes, le fanatisme religieux et les totalitarismes politiques, ...
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Neuvième réalisation de l'éclectique cinéaste sud-coréen Kim Ki-Duk, Printemps, été, automne, hiver... et printemps est un film d'une grande exigence vis-à-vis de son spectateur. Parabole mystique et religieuse, le film prend le parti pris contemplatif et se tait pour laisser parler les paysages oniriques de cette Asie qui s'irréalise, telle l'Asie des estampes. Le paysage, volontairement chargé crée une sorte d'isolement du temple, ...
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Troisième long-métrage de Kenneth Branagh, Dead Again constitue l'un des piliers de la période faste de la filmographie de l'acteur britannique, qui commence avec ce film et se clôt sur Hamlet en 1997. Peut-être pas le film le plus connu du sextet, Dead Again n'en est pas pour autant le moins bon. Ce thriller est en effet mené de main de maître porté par un scénario riche en rebondissements et qui n'hésite pas à faire la part belle aux ...
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Une excellente surprise qui plus est gentiment offerte par Air France (en même temps vu le prix du billet d'avion...). La première réalisation de Julie Delpy est une franche réussite tant son film sonne juste et évite les écueils traditionnels et autres lieux communs auxquels le genre a pu nous habituer. Les répliques fusent quelle que soit la langue et dansle style, on croit retrouver des accents de Woody Allen : personne n'est épargné ...
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Ce Labyrinthe de Pan est une expérience cinématographique vraiment particulière, et particulièrement savoureuse. On ne peut que louer l'inspiration esthétique sur ce film de Guillermo del Toro, qui parvient à créer une atmosphère à part mais totalement fascinante, faite d'une atmosphère glauque et paranormale vraiment captivante, tout en renouvelant les codes. En somme un peu de Burton, un peu de Todd Browning, etc. Le cinéaste pioche ...
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Tout juste légendaire! Blade Runner est un pur chef-d'oeuvre qui se porte comme un charme malgré ses (déjà) presque 27 ans. Et pourtant ce film n'agit avec tout son charme qu'après au moins deux visionnages. La première fois on peut rester perplexe face à la complexité d'une oeuvre si ambitieuse et devant une symbolique parfois retorse (notamment les toutes dernières minutes du film, très évasives). Mais il ne faut pas s'arrêter à ce ...
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Ah Dark Crystal... Rien qu'à l'évocation de ce nom ressurgissent les souvenirs de ce film qui a bercé mon enfance. OK l'animation a peut-être un peu vieilli mais comment ne pas être bercé par la féérie de cette histoire de fantasy magique et poétique, le tout orchestré par le duo Frank Oz/Jim Henson, légendaires géniteurs des Muppets. Allégorie politique, méditation sur l'honneur et sur la persécution des peuples, ce Dark Crystal ...
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Simplement une merveille de film policier que cet Assassin habite au 21. Henri-Georges Clouzot fut certainement l'un des cinéastes les plus élégants que le cinéma français ait connu, son art de la mise en scène s'accorde à merveille à l'intrigue sombre et tortueuse de l'excellent roman policier de Stanislas Andre Steeman. L'image en noir et blanc est d'une beauté sombre prodigieuse et crée une ambiance oppressante propice à ...
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Un excellent Chabrol au scénario extrêmement bien travaillé. Le Boucher est un des exemples qui prouvent que Chabrol a su s'adapter à l'après-Nouvelle Vague, et ce film confirme à mes yeux que la période Nouvelle Vague ne fut pas la meilleure du cinéaste. Cette intrigue policière se révèle très efficace par son réalisme. Prenant source dans une série de faits divers morbides (l'assassinat de plusieurs enfants), le film de Chabrol ...
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Ce Ken Park est une expérience extrêmement dérangeante, un brulôt aux relents pornographiques assumés au risque de choquer le spectateur lambda. Photographe reconverti au cinéma, Larry Clark a le goût des belles images, aussi ne peut-on pas faire de reproches sur ce point à l'esthétisme du film, assez remarquable. Par contre le parti pris résolument entrepris vers la pornographie me laisse quelque peu de marbre bien que les scènes ...
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Nos jours heureux est une vraie bonne petite comédie, certes sans prétention mais vraiment savoureuse pour la galerie de portraits qu'elle nous propose. On sent que les réalisateurs ont voulu exalter un esprit de colo idéal, louant un environnement qu'ils ont connu étant jeunes. On aboutit donc à un schéma on ne peut plus conventionnel calqué sur le modèle de la rédemption : les enfants réfractaires et indisciplinés se convertissent ...
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Le cinéma est avant tout une question de plaisir : aussi un bon film est d'abord un vrai moment de plaisir. Alors d'accord Good Morning England ne révolutionne rien, ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes et souffre des symptômes-type du blockbuster : happy-end un peu surfait et indigeste, mise en scène conventionnelle, réflexion peu poussée... Mais que voulez-vous, lorsque j'ai voulu trouver les raisons d'enlever une étoile, je me suis ...
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Une très bonne comédie que ce Ridicule. Le film dépeint à merveille la corruption morale et les habitudes de la cour, tout le cérémonial de l'étiquette à Versailles. Bien évidemment, cette vie de cour s'articule autour d'un élément fondamental : l'esprit, qui ouvre bien des portes à la cour et permet à un petit notable de province, Grégoire Ponceludon de Malavoy, de grimper les échelons. Arrivé naïf à Versailles avec l'ambition ...
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Ca faisait longtemps que je m'étais pas autant marré devant une comédie française. Les Ch'tis étaient drôles, OSS 117 : Rio ne répond plus est hilarant! Porté par l'expérience du premier épisode, le deuxième opus se paie même le luxe de le surpasser largement par son irrévérence et la force comique de son personnage principal, Hubert Bonisseur de la Bath. L'intrigue parle d'elle-même, puisque s'y côtoient des nazis, des agents du ...
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Slumdog Millionaire, Oscar controversé du meilleur film, a pourtant tout d'un bon film : on y retrouve le style caractéristique de son créateur Danny Boyle (rythme effréné, effets de caméras stylisés notamment au niveau des filtres de couleur, travail tout particulier accordé à la bande-son) qui est souvent déterminant : on aime ou on déteste, et je dois avouer que j'apprécie ce style. Qui plus est, l'intrigue est originale en ce ...
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