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On pense tout de suite à un archétype bien connu, qui a souvent les honneurs de la littérature, voire ceux de l'humour (en particulier façon "stand up"), et bien sûr du cinéma (ou des fictions télé). Ici c'est le pendant, au masculin - quand la mère est absente, ou peu impliquée : "Eli Dhrey", qui résiste dans le tissu à confection dans un Sentier désormais très largement sinisé. Le sexagénaire (qui va connaître les joies d'une ...
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Voilà un travail à quatre plumes agréées (dont le réalisateur), qui se voudrait du "cinéma social" sans doute - mais on est bien loin de la maestria britannique en la matière !
On tente le registre de connivence, avec appareillage « humoristique » ?... Et de croiser à telle fin, et de faire mariner l'appétence pour le culinaire télévisuel et le discours convenu sur de jeunes pensionnaires (GusGus, Alpha et autres Mamadou ou ...
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X fois sur le métier, remettez votre ouvrage... Pour EM, c'est déjà la 11e fois ! "Long" après "long", il retisse le fil de sa Carte de Tendre contemporaine et cinématographique. Cette "Chronique" est toujours emballante côté dialogue, Sandrine Kiberlain a du...métier, et même le naturel languissant de Vincent Macaigne est bien employé ! EM reste une valeur sûre, entre marivaudage classique et univers rohmérien : à voir - et célébrer.
Soit un triangle amical, au féminin (deux fin de trentaine, une milieu de quarantaine) - deux membres dudit étant officiellement en couple, au début du récit. Qui se complique d'une intrigue amoureuse secrète pour la troisième protagoniste... L'argumentaire de cette ébauche de Carte de Tendre version contemporaine se tissant sur les tenants et aboutissants des sentiments de ces dames, narrés sur l'air de la confidence. Ce 12e « long » ...
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Soit quelques jours en novembre... 13-novembre 2015, la suite : débuts autant fiévreux que désordonnés de l'enquête-fleuve nécessitée par le massacre à Paris revendiqué par l'État islamique. Pour ma part, trouve ce nouvel opus (2022) de Cédric Jimenez encore moins passionnant, et a fortiori convaincant, que « BAC Nord » (2021) ! Jean Dujardin est décidément un interprète médiocre – incapable d'évoluer dans un autre emploi ...
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Vous prendrez bien un bon bol de nostalgie ?.. Par bon faiseur (Philippe de Broca), en ce moment sur arte.fr, une fantaisie hellénique d'excellente compagnie (Noiret, Girardot, Francis Perrin & co - rôles secondaires en nombre, et de charmante fantaisie) ! En 1980, le cinéma français excellait encore dans la comédie - bien construite, légère et enlevée... Quelle régression, pas loin de 50 ans plus tard, quelle perte en qualité...
Où l'on ne peut que constater que chaque époque a le(s) moraliste(s) qu'elle mérite ! Au Grand Siècle, Jean de La Bruyère ; pour notre siècle pitoyable, les sieurs (et dame) Julien Sibony ou Hélène Lombard, à l'écriture, et le sieur Thomas Bidegain (& co) à la mise en images. 10 pauvres faiseurs en 2019 (année de sortie de "Selfie"), contre un maître, à partir de 1687 (1ère édition des "Caractères")... Si l'idée était ...
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Mon ignorance crasse en la matière ne m'autorise pas à juger du réalisme ambiant de cette « Boîte noire », ni même de sa cohérence technique et scientifique. Cependant, les qualités de la dramaturgie, et la maîtrise de la réalisation, en font un thriller fort honnête, et donc un plutôt bon moment de cinéma.
Un regret ? N'avoir (selon moi) pas suffisamment soigné l'incarnation du « lanceur d'alerte », avec cet acousticien du ...
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On n'est jamais mieux servi que par soi-même... Voilà un proverbe que Daniel Auteuil suit volontiers : coscénariste (adaptation) et coproducteur de ce 5e "long" réalisé par lui, il en tient aussi le rôle principal (l'avocat de la défense, "Jean Monier") ! Il a aussi le sens de la famille, puisque sa fille aînée, Aurore, assure un petit rôle (la soeur de la victime), et la demi-soeur cadette de cette dernière, Nelly, est aussi à la ...
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Si vous aviez couvert de louanges le "Marie-Antoinette" de Sofia Coppola (2006), fantaisie ripolinée rose bonbon Hollywood, vous allez sans doute faire de même avec ce nouveau reconditionnement de l'Histoire de France, signé lui aussi au féminin. C'est Maïwenn qui s'y colle, et c'est donc un opus hexagonal. Ou presque. Car un choix de casting (on y reviendra) saute aux yeux : l'international est visé (mais il y fera un flop - mérité ...
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Les services municipaux ayant réservé cet am, comme d'habitude à l'occasion du FFA, des séances (en AP) aux "seniors" angoumoisins (ici, du 4e "long" réalisé par Hervé Mimran), ai donc profité de cette intention libérale... Le seul "atout" du film est sa durée contractuelle - 1 h 30 seulement ! Pour le reste... 4 scénaristes ! Pour rendre une copie navrante. On est là devant, pas tant un vrai navet, qu'un authentique... nanar. Grosses ...
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On pourrait être tenté(e) de sous-titrer ce très britannique « The Trouble with Jessica » (un « trouble » qui peut se traduire par « inquiétude », « peine », ou plus largement, « difficulté ») en « Jessica, ou comment s'en débarrasser ». Mais on est bien loin de l'allusion à Ionesco ici... Tentons plutôt un « Miam, du clafoutis », qui convient mieux à l'ambiance tragi-comique, au psychodrame d'humeur (et ...
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spoiler: De la moraline appliquée (au plus mauvais « cinéma d'auteur » imaginable) : voilà comment résumer en quatre mots cette navrante dernière livraison Téchiné en date ! Heureusement, cela ne dure que le minimum syndical : à peine 1 h 30, générique compris. Pour qu'une fliquette (de la PTS) un peu azimutée (Isabelle Huppert, encore distribuée dans ce type de rôle, grâce, les 70 ans passés, à une silhouette de pré-ado ...
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Toujours aussi inclassable, et délectable, Quentin Dupieux ! Comme cet autre cinéaste à « films d'auteur », Bertrand Blier, il aime les acteurs, et leur rend hommage à sa façon iconoclaste, avec son dernier opus en date, « Le Deuxième Acte ». QD, cela se vérifie une nouvelle fois, on aime, ou on déteste... Le décor (champêtre) et minimaliste, les vrais/faux dialogues d'un supposé film en phase, pour partie, de ...
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« Vadrouiller » : se promener sans but précis – presque « à l'aventure »... Voilà ce que « Justine » (Sandrine Kiberlain, une habituée des frères Podalydès) va proposer à son patron, « Franck » (Daniel Auteuil, un petit nouveau), prenant comme départ la mission d'occasion de « Jocelyn » (Bruno Podalydès, qui se distribue comme à l'accoutumée – là en marin d'eau douce), sur un des si pittoresques canaux de ...
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Des films sur Alzheimer (et autres formes de démence sénile), il y en avait déjà. Et aussi sur l'alcoolisme (et autres addictions). Et encore sur l'inceste et la pédophilie. De pas mal, à beaucoup... Ceci rappelé, quel attrait cinématographique nouveau, voire seulement renouvelé, avec ce « Memory » ? La rencontre de deux « cabossés » new-yorkais, elle, « Sylvia » (Jessica Chastain, 2e moitié de la quarantaine), lui, ...
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Si Marcello Mastroianni était encore de ce mondespoiler: , il s'apprêterait à devenir centenaire en septembre prochain ! Mais il a succombé à un cancer il y a maintenant 24 ans. Il a eu 2 filles, une légitime, Barbara, disparue en 2018, âgée de 67 ans, et une adultérine, Chiara, qui a aujourd'hui 52 ans et est née pendant une brève liaison (de 1971 à 1975) avec Catherine Deneuve.
Il est patent que CM ressemble physiquement ...
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Dans la catégorie « films délicieux », voyez le dernier long métrage en date de Pascal Bonitzer, qui s'était déjà brillamment illustré de la sorte avec son « Cherchez Berthe » (2012) - même affichiste, semble-t-il, dans les deux cas !
Notais en son temps pour « Berthe » : « Histoire (et dialogues) bien écrits, mise en scène et interprétation en rapport, pour une comédie enlevée ». Appréciation à l'identique pour ...
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Découvre tardivement cette Palme d'or 2021, à l'occasion de son passage sur ARTE – tardivement, pour cause de terrorisme covidiste à l'époque. Partagée entre rire (jaune) et consternation ! L' « oeuvre » distinguée par le jury cannois , c'est du Julia Ducournau à 100 % (réalisation, mais aussi scénario et même « dialogues » - sic pour ces derniers, qui plus est inaudibles). Elle a alors à peine dépassé le milieu de la ...
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Baptiste Debraux signe avec cet « Un Homme en fuite » son premier « long », dont il assure d'abord (en collaboration) le scénario. La scène est limitée (ou presque) à « Rochebrune », commune fictive du département des Ardennes (et alentours), sinistre (prises de vue de nuit, ou sous la pluie et autres tristesses hivernales), autant que sinistrée (petite ville en net déclin économique). « Anna » (Léa Drucker), gendarme de ...
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Ponctué (à propos !) par "Madame Bovary" et... Guy Mardel (80 ans en juin prochain), que voilà un plaisant "N'avoue jamais"...
Dans la famille Marsault, il y a d'abord le père, « François » (André Dussollier), général à la retraite depuis des lunes, marié depuis 50 ans avec « Annie » (Sabine Azéma), 10 ans de moins que lui. Le couple a eu trois enfants, tous aux alentours de la quarantaine : « Amaury », l'aîné (Gaël ...
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Soit un acteur en vogue jeune quinqua (Guillaume Canet) qui avait l'ambition de devenir comédien, mais qui, vague à l'âme aidant, quitte brutalement les répétitions de la pièce montée sur son nom, à un mois de la première. Parti « réfléchir » en thalasso - on est hors-saison - dans une petite station balnéaire bretonne, propre et même chic, il va connaître de brèves retrouvailles avec "Alice" (l'Italienne de père allemand Alba ...
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L'actrice Paola Cortellesi (que je ne connaissais pas...) réalise pour la première fois, après en avoir (co)écrit le scénario, un remarquable "C'è ancora Domani" (impossible de visionner autrement qu'en version originale), où elle assure aussi le premier rôle féminin, en "Delia". La scène est dans le quartier populaire romain du Trastevere, l'image en noir et blanc, et le récit traite de quelques journées "particulières", lors du ...
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Pourquoi donc « Mila Wizman », 17 ans, affirme-t-elle avoir été violée par « Alexandre Farel », 22 ans, qui l'avait emmenée avec lui, sous la bienveillante pression du père de celle-ci et de sa propre mère, la compagne dudit, à une soirée étudiante ? Aucune violence ayant laissé chez la victime prétendue des traces médico-légales, qui auraient pu attester de pénétrations forcées et autres sévices... L'auteur présumé ...
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Alors que la France vient de « constitutionnaliser » le recours à l'IVG, se plaçant donc ici en héritière du titisme (dans sa constitution de 1974, la Yougoslavie avait instauré « un droit humain de décider librement de la naissance de ses enfants »), mais, en l'espèce, avec plus encore de « progrès », puisque notre droit positif permet d'avorter légalement jusqu'à 14 semaines d'aménorrhée, quand la version titiste ...
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"Les Combattants" (2014) était médiocre - le boboland avait a-do-ré... Seules les jolies prises de vue des Landes avaient de l'attrait dans ce premier "long" du bien-pensant Thomas Cailley, s'essayant à l'auteurisme, mâtiné de futurisme. En 2023, le boboland aime aussi (beaucoup) le deuxième film de TC - re-dithyrambes. Qui, à nouveau co-auteur, livre une fable dystopique des plus... décevantes. Encore plus fort que "L'Île du Dr Moreau" ...
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Que de progrès en 10 ans !... Justine Triet signe un 4e "long" (de fiction) remarquable (et ô combien remarqué déjà, au moment où je poste - c'est-à-dire avant les César et Oscar prochains), et oublie les afféteries « auteuristes » des « Victoria » ou « Sibyl » précédents, pour faire montre d'un réel talent ! Cet "Anatomie d'une Chute" (titre opportun, à apprécier à plusieurs niveaux) fera date dans la catégorie ...
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"Stop, ou encore" ?... D'un spectacle, l'autre : un gros extrait du répertoire pour commencer ("La Bayadère"), et un (heureusement) plus court par compagnie contemporaine en conclusion. Et au milieu ?... Du remplissage laborieux, entre moraline appliquée au "monde de l'art", romances insipides et dialogue familial embarrassé - le tout pour deux heures d'un ennui colossal, au général ! Que retenir de ce poussif "En Corps" (kolossale ...
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"Primo" spoiler: (Pierre Niney, aux faux airs de Louis Garrel, mais en plus avenant et mieux coiffé), admiré par sa mère au-delà du raisonnable, vit à Paris dans une chambre de bonne en faisant semblant de préparer son bac (après l'avoir déjà passé et raté dans l'Indre-et-Loire où ses parents tiennent un modeste magasin de fleurs). Se faufilant chez des jeunes bourgeois (16°, Neuilly) qui ont organisé une "boum", il y rencontre ...
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"Délicieux" ? Vraiment ?... Pataud et bourratif, plutôt ! Entre anachronismes permanents : ou trop tard, comme l'invention du restaurant moderne (débuts près du Louvre sous Louis XV, et non "aux champs", en 1789), ou trop tôt (comme la mayonnaise, attestée en 1815 seulement), et fond de sauce cinématographique à "morale" (les aristos sont pédants, sans coeur et sans cervelle, et finalement indignes des bienfaits de la table - à l'image ...
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Adaptation (à une vague introduction près) de la seule partie centrale du gigantesque "Illusions perdues", savoir les vicissitudes du jeune Lucien Chardon, dans l'ambition de relever un matronyme du nobiliaire, Rubempré, qui tente de se faire une place dans le marigot journalistique du Paris de Charles X - tremplin, pense-t-il, pour la carrière dans le monde littéraire à laquelle l'Angoumoisin aspire depuis toujours. Las... Xavier ...
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Le sujet abordé (reprenant des faits réels) est important. Très important : la pédomanie ne cesse de croître - et le crime organisé a vite compris que les profits engendrés étaient considérables... "Sound of Freedom", unanimement honni (ou méprisé - voire les deux) par la Bien-pensance (ce qui est plutôt bon signe, en un sens...) traite de cette horreur avec délicatesse, décourageant, bien sûr, tout voyeurisme ! Après ...
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Le film "engagé" selon un héraut (oui, pas de féminin en l'espèce - inutile de tenter quelque barbarisme "inclusif" !) gaucho/bobo garanti sur facture (celle de l'avance sur recettes du CNC*) stipendié de la Bien-Pensance, une nommée "Catherine Corsini" (celle du lamentable "Un Amour impossible", par exemple) : veine faussement documentariste, personnages outrés, et, parmi de nombreuses figures (non)stylistiques imposées : personnels du ...
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Coup de soleil (Paris, ses parcs et avenues), coup de semonce, de tabac, de Trafalgar (tentatives du moins), coup de blues (au propre, hélas - cette rengaine de jazz en fil rouge musical, quelle barbe... et au figuré), coup de grâce... ? Voilà un "Coup de Chance" qui bredouille et s'égare ! Cet opus "Allen in Paris", mais façon "frenchie", avec casting ad hoc (pas de direction d'acteurs...), déçoit. De A à Z... Intrigue laborieuse (sur ...
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En fait de "Haute Couture", ne rien espérer ici : ce n'est qu'un prétexte, fort peu illustré - donc, même un éventuel aspect documentaire ne sauvera rien ! On imagine que l'"écrivain" Sylvie Ohayon, qui se lance, la cinquantaine venue, dans un 2e film (en solo, cette fois) aura voulu scénariser et réaliser une fiction d'apprentissage. Mais Nathalie Baye, en "première" (d'atelier), ne sauve pas davantage ce court brouet convenu, sur l'air ...
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Vous reprendrez bien un peu de propagande travestophile/homosexualiste (et autres curiosités/philes) ?... Là, par un "fils de" (amateur comme Papa de l'industrie horlogère haut de gamme ?...), chevronné de la nunucherie/potacherie, qui plaque ce savoir-faire (limité) sur un sujet "dans l'air du temps" (le "Je suis apparemment une femme, mais c'est une erreur"). Avant le "biopic" sur Tapie (Netflix, en septembre prochain) - dont l'intéressé ...
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