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En France étrangement on s'intéresse à des demeurés qui s'émancipent. Ce film est un sombre navet gris, qui nous montre la médiocrité avec médiocrité.
La mise en scène est grossière, les personnages et les situations rappellent un sitcom style "plus belle la vie". Quel navet !
Peut-on appeler cela un film ? Le jeu des acteurs, la lumière, le scénario, la mise en scène, tout est affligeant. Ce qui l'est encore plus c'est que ce film puisse être financé.
Une catastrophe industrielle. Quelle adaptation horrible ! Il faudra refaire une vraie adaptation du roman de Bastien Vives. Les acteurs sont mauvais, la mise en scène et la lumière d'un téléfilm France 3. Charlotte Le Bon n'a pas non plus de scénario, elle s'emmèle les pinceaux avec son lac et son fantôme. Quand il n'y a aucun talent, on a ce film.
Qu'est-ce que ça parle dans ce film et qu'est-ce que le héros est stupide ? Il accuse tout le monde sans avoir aucune rigueur. La fin symbolique ne finit pas l'histoire et plaque un message intellectuel. Le filmage de télefilm achève le tout.
Bon, Michelle Yeoh découvre qu'elle est plein de personnes. Elle fait des cris de hyène quand elle va à un rendez-vous avec Jamie Lee Curtis déguisée en boudin. So what ? Le film s'étire et on perd tout intérêt à suivre cette histoire. Un navet comme on va en faire.
Sans aucun doute l'un des films les plus surclassés de l'année voire de la décennie. D'un ennui total et d'une prétention abyssale, ce film charrie tous les défauts du cinéma indépendant américain, avec des plans longs comme des jours sans pain et une apathie scénaristique qui laisse pantois. Le pire c'est que Mescal qui joue un père qu'on voit couché ou de dos la plupart du temps est nominé à l'Oscar du Meilleur Acteur. Tout cela ...
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Nanar complet où l'invraisemblance des situations se marie avec un vide du discours. Garrel imite le traitement de mise en scène des autres. C'est plaqué, c'est raté.
Le problème de ce film est qu'il assène une demi-heure de médiocrité affligeante suivie d'une heure de justification de cette demi-heure débile... Pour finir par nous dire que les responsables sont en fait des héros car ils se sont battus pour cette "chose".
Film de notre époque assurément : le résultat ne compte plus du tout, la qualité des films passe après sa justification sociale
Film de notre époque assurément : le résultat ne compte plus du tout, la qualité des films passe après sa justification sociale
On est las du nombrilisme de Maiwenn. Cette recherche de son identité est de mauvais goût et nous perd en route. a aucun moment elle se demande si le spectateur est intéressé par ce qu'elle raconte.
Rarement on a vu Fanny Ardant aussi bouleversante que dans ce film où elle multiplie les morceaux de bravoure. Dans cette histoire touchante, tout fait mouche.
Est-ce que le sujet est intéressant : les problèmes d'érection de Claude Berri... on attend autre chose du cinéma français.
Resnais s'interroge sur la mort et l'amour. C'est intéressant, un peu long, surtout vers la fin où on fatigue devant les discours à répétition.
Décors en surimpression, de carton pâte, discours intello ennuyeux, scènes grandiloquentes et théâtrales, où est passé l'auteur de "Nuit et brouillard" ?
Diane Kurys nous avait habitués à mieux. Où est-elle passée ? Ici tout sonne faux et aucune scène n'est cinématographique. Le scénario est terrifiant de situations convenues, la mise en scène inexistante, la musique omniprésente et démago horripilante. Seule Fanny Ardant se débat dans cette galère.
Absence totale de dramaturgie, scénario indigent, loufoqueries gratuites et qui ne font pas rire, à aucun moment "Perdrix" ne retient l'attention. Tout est artificiel et fait pitié.
Difficile de croire une seconde à tous ces acteurs qui n'ont jamais vu de vrais militaires en exercice. Scénario pas du tout crédible, incohérent de bout en bout.
Sous prétexte de filmer l'atmosphère des années 60, Rozier en oublie le scénario. Les personnages vides et sans aucun intérêt produisent un ennui incommensurable. On se fout de cette histoire et des états d'âme de tout ce joli monde. Comme il faut que ça soit profond, la guerre d'Algérie vient en filigrane annoncer la gravité de l'entreprise. Pitoyable !
Long comme un jour sans pain, avec un sens de la distanciation qui confine à l'absence totale de cinématographie, voilà le chef d'oeuvre du cinéma grec. Avec des plans fixes interminables sur une actrice qui raconte pendant plus de dix minutes face caméra l'histoire de la Grèce, et au moins 50 plans avec des moustachus qui portent des valises dans des terrains vagues ! Didactique, amorphe, intello -surfant sur la force de la représentation ...
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Prétentieux, ennuyeux, ce film n'a rien de remarquable. La pauvreté de la mise en scène nous plombe et nous prions pour que tout cela s'arrête !
Un début brillant, audacieux, avec un talent dans l'audace comme Fuller sait le faire. Et puis... plus rien, une intrigue tirée par les cheveux et une narration bien poussive, sans éclat.
Nanni Moretti nous avait habitués à mieux... Ennuyeux à mourir, sans véritable dramaturgie, ni logique, le film est raté.
Tarantino a un talent indéniable. Certaines scènes comme la visite au ranch sont des petits chefs d'oeuvre. Mais Tarantino a un vilain défaut : il kiffe la violence. Avec l'affaire Manson, ça ne pouvait pas coller, il n'y a rien de plus glauque, de plus terrifiant que cette histoire. Il détourne donc la fin pour faire de cette horreur une pitrerie où ça joue du lance-flammes. Pauvre de nous ! On aura tout fait à Polanski, on lui aura ...
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Long comme un jour sans pain, narratif, pauvrement mis en scène, sans surprise, je me demande pourquoi on encense encore ce film.
Bien sûr Silvana Mangano est incendiaire, mais le film est un navet ! L'intrigue qui se termine par des coups de feu où personne n'arrive à se relever pour tirer prête à rire !
Long, pénible, sans véritable mise en scène, Pasolini cinéaste surclassé utilise du Bach sur son drame social qui s'étire. C'est très ennuyeux et très affligeant.
c'est étrange, l'histoire du mec et de la fille qui vivent l'un à côté de l'autre sans jamais se croiser, je ne sais pas pour vous, mais j'ai l'impression de l'avoir vu 100 000 fois. Et en mieux car qu'est-ce que c'est poussif ! Tout est laborieux, Klapisch est devenu un cinéaste laborieux. On sort fatigué.
Filmé comme un sitcom, le film témoigne d'un amateurisme de mise en scène et d'écriture assez désolant. On ne croit pas vraiment aux situations: il faut voir Banderas sonner à la porte de son acteur d'il y a 20 ans pour mesurer le grotesque de l'entreprise ! Il n'y a finalement pas de différence avec "plus belle la vie" et on a le temps de regarder le mobilier rouge pétant (ah oui, c'est les restes de la Movida !)
Un film qui ne devrait pas exister. Il n'y a pas de sujet, pas de scénario. c'est un défilé d'anecdotes où l'on peut constater l'indigence des préoccupations des personnages. tout confine à la "beauferie", Pas de réalisation, pas d'histoire, une dramaturgie grotesque, une démagogie de chaque instant.
L'histoire est sublime, le film est paresseux. On ne comprend pas bien au début l'enjeu du film. L'absence de réelle mise en scène et d'écriture condamne le film à n'être que le vecteur scolaire de cette histoire fondamentale.
Curieux qu'un tel objet existe encore sur le marché... Faute de dramaturgie, nous voilà propulsés dans un énième film d'errance avec plus ou moins une looseuse qu'interprète plutôt bien Laetitia Dosch. Malheureusement l'absence de mise en scène, le cliché de toutes les situations, le manque d'empathie devant un personnage aussi horripilant nous conduit à un ennui total dès les premières images. On dirait un ersatz d'un mauvais film ...
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Où Guillaume Gallienne veut-il en venir ? Le trajet de son héroïne n'est pas clair, les ellipses ne permettent pas de reconstruire une logique. Le filmage télé et le peu d'empathie qu'on peut avoir pour le personnage principal nous amène à penser : à qui s'adresse ce film ? Aux potes de Gallienne à la comédie Française ? Car le public lui peine à comprendre quoi que ce soit, encore moins quand la fille quitte son bled natal pour se ...
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Scénario prévisible (on a tout de suite compris l'issue de cette bluette misérabiliste, sans mise en scène (le film dure 1h40 et doit nous proposer 1h de champ/contre champ), le mauvais équilibre des grosseurs (la "réalisatrice" a dû se couvrir en filmant sous plusieurs focales et résultat le film pâtit de cette absence de précision censée donner plus de liberté aux acteurs mais plombant complètement le film sous son amateurisme), ce ...
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Aucune émotion et pas de cinéma dans ce film bavard qui aurait fait un bon documentaire. Tout est long, interminable et le film, faute d'une structure dramatique s'égare dans le vide.
Long ennui bien filmé mais sans personnages, sans dramaturgie. Parfois les acteurs ressemblent à des mannequins d'Abercrombie et le film répète la même scène avec un aplomb déroutant : un avion arrive, les soldats se protègent la tête, un bateau coule... Risible et étonnant d'un réalisateur de l'envergure de Nolan.
Ce film n'a aucune logique narrative. Du grand n'importe quoi qui nous empêche d'adhérer au propos ou d'avoir quelconque empathie pour les personnages. A la fin, une scène grotesque sortie d'une série Z vient conclure cette histoire dont on se fout allègrement.