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Rythme lent, réalisation maladroite, toc, cheap, scénario naïf comme un vieux téléfilm des années 80, générique de fin fait sous MS-DOS.
À sauver : les effets spéciaux mécaniques très bien faits pour l'époque.
À sauver : les effets spéciaux mécaniques très bien faits pour l'époque.
Il y a quelque chose de pourri à Hollywood.
L'angoisse de la page blanche est le prétexte à un film arty, artificiel et théorique.
On s'ennuie quand-même même beaucoup dans cette chambre miteuse dont les murs se décollent, laissent passer des bruits étranges, et où sifflent les moustiques.
L'angoisse de la page blanche est le prétexte à un film arty, artificiel et théorique.
On s'ennuie quand-même même beaucoup dans cette chambre miteuse dont les murs se décollent, laissent passer des bruits étranges, et où sifflent les moustiques.
Scénario intéressant mais pas très crédible, rythme trop lent, le premier film des frères Coen a les défauts de la jeunesse.
Générique de début sublime qui laisse espérer un "Millenium" ou un "Seven". Las ! On assiste à un Fincher mineur sur une histoire simplissime, un film aussi froid que son personnage principal.
Scénario original et solide, sur le triangle amoureux. Les allers-retours temporels ne sont pas gênants, ils sont même utiles, contrairement aux films de Nolan. Réalisation des matches hyper inventive, Zendaya est très belle mais elle joue toujours pareil. J'avais deviné un twist du match final.
La fin de l'année scolaire dans un collège américain : les grands frappent les petits, ça se drogue, ça boit, ça parle, ça casse, mais surtout ça s'ennuie et personne ne get laid. Ce système se transmet entre les générations.
Techniquement très bien fait avec peu de moyens. Petit film d'horreur Argentin assez répugnant, gore, nihiliste et pessimiste mais pas très effrayant. Rempli de règles artificielles sorties de nulle part (ne pas utiliser l'électricité, des balles)
Histoire classique mais prenante et juste, images sublimes, réalisation parfois années 70 à grand renfort de zoom; les intermèdes philosophiques sont très bien trouvés. Fin choquante et un peu décevante.
Un grand couturier ne laisse aucune place à l'amour et au hasard. Sa vie est regentée par des règles immuables. Sa sœur qui travaille avec lui, semble toujours s'interposer entre lui et chacune de ses conquêtes. Mais la dernière d'entre elles va se rebeller contre une destinée toute tracée.
DDL est impeccable, Vicky Krieps aussi, réalisation élégante, qq longueurs.
DDL est impeccable, Vicky Krieps aussi, réalisation élégante, qq longueurs.
Film très pénible à regarder : j'ai souvent passé la lecture en x2, ce qui est très mauvais signe : du pathos du début à la fin, de l'héroïne, du SIDA, de la coke, de l'hystérie, du harcèlement sexuel, et surtout Sofiane Bennacer qui est tout simplement insupportable.
Garrel comme d'habitude excellent.
Garrel comme d'habitude excellent.
Christine Angot lave son linge sale en public, son statut de victime l'autorise à cracher sa colère à la tête de ses proches, à livrer l'adresse de sa belle mère, diffuser des images non autorisées, s'affranchir de tout. Seule sa fille, l'enfant qu'elle aurait aimé être, incarne l'espoir.
Scénario paranoïaque solide, sur la violence intrinsèque de l'homme, qui peut surgir, sans raison, à tout moment.
Rythme parfois trop lent.
Moralité : l'enfer c'est les autres.
Rythme parfois trop lent.
Moralité : l'enfer c'est les autres.
Très beau film sur le temps qui passe, les lieux qui restent. La vie n'est qu'un moment sur la Terre.
Le dispositif de la caméra fixe est vite oublié, les différents sauts dans le temps qui s'entrechoquent, ne sont pas gênants pour la compréhension. On ne s'ennuie jamais et on est souvent ému.
Le dispositif de la caméra fixe est vite oublié, les différents sauts dans le temps qui s'entrechoquent, ne sont pas gênants pour la compréhension. On ne s'ennuie jamais et on est souvent ému.
Un Hitchcock bavard confus prévisible et ennuyeux. Restent la beauté de la french riviera et de Grace Kelly.
Il y a toujours cette veine sociologique chez Östlund, cette justesse des rapports d'intérêt et de pouvoir chez les humains.
Il y a les convenances, les règles sociales, et la vérité : même les riches ont des boyaux.
Sur l'île, spoiler: les rapports de domination s'inversent entre riches et pauvres, hommes et femmes
. À quoi sert une Patek Philippe quand on meurt de faim ? Des bretzels ont plus de valeur.
C'est parfois ...
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Film à sketches étranges et fantastiques qui a dû inspirer "la quatrième dimension". Les meilleurs sont ceux du miroir et du ventriloque. Le moins bon celui des golfeurs. La mise en scène est brillante, le scénario cohérent mais pas beaucoup d'effroi.
Pour : géniale chanson du générique de début écrite et interprétée par Dolly Parton, tellement drôle avec son accent red neck.
L'atmosphère bon enfant, des situations très amusantes.
Contre : un scénario parfois laborieux.
L'atmosphère bon enfant, des situations très amusantes.
Contre : un scénario parfois laborieux.
DreamWorks tient enfin son WALL-E ou son là-haut, un film ambitieux et profond. Graphiquement magnifique, toujours très lisible, le métrage commence sans mièvrerie mais avec beaucoup d'humour dans le monde cruel brutal et sans pitié de la nature. C'est un renard très drôle qui va apprendre au robot les règles de la vie sauvage. La collaboration permet à chacun d'apprendre et de s'enrichir de l'autre.
Des emprunts à ET, Tron, WALL-E.
Des emprunts à ET, Tron, WALL-E.
Très bonne idée de départ mais on part ensuite sur une histoire tirée par les cheveux et pleine d'incohérences.
Avec très peu de moyens et d'effets, un rythme lent, mais des images énigmatiques, (avec des signes, des correspondances comme chez Lynch), étranges (spoiler: les 3 chiens, la photo qui s'anime
) et malsaines spoiler: (le père qui hésite à rentrer dans la chambre de sa fille
) et un superbe travail sur le son, le film, presque expérimental, parvient à effrayer vraiment.
Certains rdv sont ratés (spoiler: le père ne ...
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Super chansons de John Farrar et ELO (Magic, Suddenly , Xanadu), mais la direction artistique, les effets spéciaux, le scénario et surtout la réalisation ont été confiés à des bras cassés.
Mais quel plaisir de revoir danser Gene Kelly ! Et Olivia Newton-John illumine le film de sa grâce.
Sequence animée signée Don Bluth.
Mais quel plaisir de revoir danser Gene Kelly ! Et Olivia Newton-John illumine le film de sa grâce.
Sequence animée signée Don Bluth.
La comédie romantique parfaite quand on vient de se faire larguer. Même si l'intrigue est classique, elle est bien écrite. Drew Barrymore est pleine de charme, l'évocation des années 80 est hilarante ( le copain de Robbie déguisé en MJ), et surtout la BO n'est qu'un flot ininterrompu de tubes, même Billy Idol vient faire un caméo. Mention spéciale à la mémé qui rap sur sugarhill gang.
Un film avec d'énormes moyens humains, des explosions, des cascades, des courses poursuites de trains mais l'intérêt de le voir aujourd'hui est très limité. Les gags ne sont pas drôles, aucune émotion ni fond moral. Aucune comparaison avec le génie de Chaplin.
Beaucoup plus réussi et maîtrisé que "la sirène du Mississippi" écrit par le même William Irish, "la mariée était en noir" est l' histoire de la revanche d'une femme sur 5 hommes.
Pas du tout répétitif, les morts ne se ressemblent pas, la dernière est très maline quoique peu plausible.
Magnifique musique de Bernard Hermann.
On retrouve l'affiche de la compagnie des wagons lits présent dans la chambre de Michel Bouquet dans "l'argent de poche".
Pas du tout répétitif, les morts ne se ressemblent pas, la dernière est très maline quoique peu plausible.
Magnifique musique de Bernard Hermann.
On retrouve l'affiche de la compagnie des wagons lits présent dans la chambre de Michel Bouquet dans "l'argent de poche".
Histoire qui commence bien mais qui devient invraisemblable, hors de toute logique, avec des hasards improbables, impossible pour moi de rentrer dans ce délire. Comment aimer une femme qui vous ment, vous trahit, se sert de vous, comment la croire quand enfin elle dit qu'elle vous aime, alors qu'elle est en train de vous empoisonner ?
Une histoire de tromperie pas vraiment passionnante, on s'ennuie ferme. Dans un petit rôle, Philippe Dumat, acteur de doublage (Papa Schultz)
Toute la malice, la drôlerie et l'innocence de l'enfance se retrouvent dans cette chronique de la vie des élèves d'une école de province, en 1976. Seule la vie difficile d'un élève vient ternir le tableau d'une France idyllique.
Ceux qui ont eu la chance d'être enfants à l'époque du film, auront plaisir à retrouver ce temps où avant que le film commence, les réclames des commerçants locaux s'affichaient sur l'écran de cinéma.
Ceux qui ont eu la chance d'être enfants à l'époque du film, auront plaisir à retrouver ce temps où avant que le film commence, les réclames des commerçants locaux s'affichaient sur l'écran de cinéma.
L'histoire d'Adèle, amoureuse éplorée, qui idolâtre un homme qui ne l'aime pas, rêve sa vie, traumatisée par la mort de sa sœur, n'intéresse pas beaucoup. Adjani joue la folie magistralement.
Beaucoup plus réussi et subtil que "Jules et Jim" avec quelques passerelles entre les 2 : réplique sur la nuque, les dominos, le premier roman de Claude s'appelle "Jérôme et Julien". Une histoire plus juste, et des acteurs avec beaucoup plus de charme : JP Leaud qu'on adore tant depuis Antoine Doinel, mais aussi les 2 anglaises, admirables.
Georges Delerue tient un petit rôle, sa musique est comme toujours sublime.
Georges Delerue tient un petit rôle, sa musique est comme toujours sublime.
La caméra de Truffaut est libre, comme Catherine qui s'affranchit de toutes les règles, décide de tout, prend les hommes et les jette dès qu'elle s'ennuie, elle est autonome, mais devient insupportable d'égoïsme.
Que le film soit post synchronisé est assez pénible.
La musique de Delerue est belle, et "le tourbillon de la vie" mythique.
Que le film soit post synchronisé est assez pénible.
La musique de Delerue est belle, et "le tourbillon de la vie" mythique.
Scénario diabolique, hyper angoissant, fin peu plausible : pourquoi Bjorn ne dit pas à sa femme ce qu'il a vu dans la dépendance ? Le couple poli est une victime, les convenances les tuent. Les autres font tout ce qui est impoli, testent leurs limites, les poussent à faire ce qu'ils ne veulent pas.
Comment on laisse passer sa chance, on se soumet. La civilisation perdra toujours face à la bestialité, la brutalité. "Pourquoi ? Parce que ...
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Copié collé des films des années 80, scénario pas très réaliste mais des scènes mémorables avec beaucoup de voitures cassées, les mêmes chansons (the heat is on, neutron dance, axel F) et des acteurs qui s'en donnent à cœur joie. l'histoire père fille est inintéressante, c'est un divertissement pur, vite oublié, mais pas cata comme le 3.
Scénario très simple mais sans temps mort, pas de misérabilisme tire larme, ni de démagogie, on rit beaucoup avec les différents personnages tous très attachants.
Ça démarre pas mal mais les attermoiements de Marc Lambert, enfant gâté qui ne veut renoncer à rien sont assez pénibles; une scène fait penser à la femme d'à côté de Truffaut.
La musique inquiètante de Jean-Claude Petit est réussie.
Guillaume de Tonquedec tout jeune a une réplique.
La musique inquiètante de Jean-Claude Petit est réussie.
Guillaume de Tonquedec tout jeune a une réplique.