Vareche
Membre depuis le 1 avril 2006
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Mandicco est de moins en moins subtil. Ou il ne l'a jamais vraiment été On hesitera pas à dire de plus en plus lourd. Connan est son film le plus populaire, parce que tout entier dédié à un maniérisme pop qui le fait passer pour un clip géant, aux références manifestes (Satyricon, Lola Montés, Fassbinder, Bersek, Marketa Lazarova) et au premier degrés sympathique. Il tire un parti plutôt brillant de ces dialogues surrécrits (avec ...
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Que reste t'il de Pétrone dans le film de Fellini ? Si ce dernier évacue un peu facilement la réthorique subtile du livre (le procés de l'éloquence, les longues poésies de Trimalcion ou les oraisons funèbres, les ruses auprès des Crotoniates) ou des histoires complétes (les soldats garous, les amours avec Circé, les combats contre Lichas et Tryphène, les aventures d'Eumolpe...) il en ajoute (le meurtre de César, les galères, le ...
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Nope s'est le mot qui unit une soeur et son frère, que tout oppose, qu'ils glissent subrepticement au monde qui les menaces. Il y a ce rapport évident entre l'homme noir et sa visibilité, celui qui sur une pellicule de Muybridge devient le premier acteur de l'histoire du cinéma par défaut, puisque ce qui intéresse Muybridge ce n'est pas le jokey mais le mouvement de l'animal. Voilà le point de départ théorique fort stimulant que Jordan ...
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Joker n'est que la continuité malheureuse de la mouture nolienne de batman. Beaucoup de réalisme psy+un environnement déstylisé+ le gentil contre le méchant, égale Batman Rises. Adieu la folie des mythes bienvenus aux atermoiements avec effets de réels garantis. Les scénaristes ici semblaient vraiment trop fan de la serie Baskets de Louis C.K. et Zach Galifianakis, alors imaginez la série mais sans l'humour. Ici pas de méchant, ...
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Au début de mignonnes il ya la famille et la religion, et donc le mariage. Et puis très vite en même temps, le désir et son objet qui devient un peu le chemin de Damas de la protagoniste (et on verra que symboliquement les personnages secondaires. Un seul désir pour deux états, celui qui permet d'échapper au quotidien, de se voir autrement et de chérir l'autre plus que soi même, et puis l'autre, monstrueux, plus absolu, plus tragique, ...
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Real Player one, c'est une oscillation permanente entre deux monde qui se découpent dans la seule filmographie de Steven Spielberg, le survival horror et son muséum de monstres (War of World, La list de Schindler, Duel, Les dents, Jurrasik park, Munich...) et le portrait de l'individu triomphant de la vieille morale conservatrice/dominante (AMistad, ET, The Panama Papers, The terminal, War Horse, Lincoln...). Ces deux rives n'offrent pas un ...
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De quoi parle DIamond Island ? Peut être du coup qu'en regardant son Sommeil d'or documentaire autour des propos d'anciens spectateurs proches, du cinéma cambodgien des 60's, j'aime imaginer que Davy Chou avance bille en tête, que rien ne peut être plus important pour lui que de parler de la volonté de la jeunesse de vivre le temps présent. Comme si la pulsation inestimable d'une richesse à porté de main, de désirs libres, pourrait peut ...
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"Elle" prouve qu'a Cannes en selection officielle on s'emmerde et que les critiques cinés doivent picoler tous ensemble du muscadet bien sec pour se mettre d'accord. Mais qu'a voulu dire Verhoeven dans ce film ? Que la vie des femmes est décidément un mystère et que les hommes qui les violent ne sont que des enfants apeurés dans des caves ? La misogynie inversée de Verhoeven est légendaire, dans Elle ça devient du bon gros foutage de ...
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Ah Siddarth, aprés Aayitha Ezuthu du grand ratnam, il portait l'horrible rang de basanti, et le un peu faible Midnight Children, bon aprés Udhayam NH4, pas vraiment regardable, le Once Upon A Warrior de Disney m'avait laissé grave. Jighartandra marquait son retour avec un réalisateur auréolé d'un premier film qu'il me tarde de voir. Subbaraj fait un truc assez scolaire, un film parodique sur le cinéma et en même temps un vrai film de ...
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Dolan et Nolan, génies ??? les critiques des spectateurs d'Allocine sont souvent hallucinantes. A croire que les grands studios étatsuniens ont mis un paquet d'hallucinogène dans le pop corn. Nolan choisit donc un postulat à priori hyper chiadé, sauver la terre des menaces écologiques pas vraiment crédibles, une pendémie mondiale sur les céréales et de la poussière, pour prétexte de réinventer un genre, la SF littéraire ...
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Il n'y a qu'une chose vraiment intéressante dans le film de Sofia, c'est quand elle s'amuse avec les nanas, sans chercher à les juger, sans chercher à les rendre détestables. Ca c'est la première partie jouissance, avec effets de groupe, c'est pas sidérant c'est pas la Vie Au Ranch, mais on conçoit que l'esprit de fun qui anime ses allumeuses de la déconne, c'est une création haute couture, une super sitcom (et la plupart son mieux ...
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La condanna est peut être le premier film sans refuges du cinéaste des corps hurlants, les films de Bellochio suivront comme de belles cachettes, de belles commodes pour douter, se réfugier dans les seins, les sourires ou le visage de Giovanna Mezzogiorno, dans son dédales de moments "à la gloire de la femme" du peuple. La Condanna revient donc comme un coup de canon, d'une froide haine contre la duplicité bourgeoise, comme je l'ai compris, ...
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Bien qu'inculte en matière de BD graphique, je me dis en regardant Watchmen que l'êtrre humain est encore capable de s'infliger les contradictions et les laodeurs les plus oprressantes sur 2h30, que l'art pompier nous est donné d'observer, ensacrifiant à la modernité la plus affligeante. Nul élegance dans ce watchmen, moins sans doute que pour The Fountain auquel parfois l'esthétique du film se referre en desespoir, mais sans doute un peu ...
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roland emmerich s'est retourné six fois dans sa tombe, les japonais vont de voir débatisser godzilla une deuxième fois, Garet Edward a surement réalisé le meilleur blockbuster pour les nuls de l'histoire, une bonne suite à son premier film qui empilait les couches d'un académisme prout prout pas bien éloigné d'un téléfilm des soeurs Olsen. Godzilla c'est l'anti the Host, est le bon aloi de Oblivion, Battle of LA, independance Day, ...
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Fifi hurle de joie est le nom de ce qui ne se dit pas, un aphorisme, un titre parfait, qui convient pour souligner la réaction de Bahman Mohasses à un vaste ensemble social qui va de la démocratie à l'égalité des droits. Hurler de joie, tout autant à l'arrivée du Shah au pouvoir, qu'à la convergence démocratique en occident, hurler de joie à l'arrivée de Mitterrand au pouvoir, tout autant qu'à celle d'Hitler, c'est à l'effet de ...
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Desincrustations numériques new age, des effets spéciaux laids et qui ont démodé les pires pubs lauréal ? Des dialogues interminables où chaque minutes portent un immense malaise devant autant de sérieux (et la fantaisie la dedans ??). Venez donc vous baladez en Terre du Milieu avec ce guide michelin de luxe aux enjeux dilués. Venez passez des ponts, un peu de spéléologie, de la grimpette et des grandes statues, une séance ...
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Un film qui commence par une ouverture digne du GOgo TAles de Ferrara sur une musique plutôt pénible, avec un défilé de danses superbement filmer laisse planer deux questions. Le réalisateur veut-il nous montrer ce que l'industrie du sexe fait miroiter comme symbole pour mieux s'en défendre, où cherche t'il à attirer l'oeil par équivalence cinématographique (toutes les scènes de bordels depuis le début du cinéma) ? Whore's Glory se ...
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Comment être envoûté par le manque de caractérisation des personnages du film, Korine ne cherche visiblement pas à se départir des clichés et expéditions souvent caricaturales qui encombrent le films pour jeuen adulte, au contraire il en assume tous les codes se la jouant Tueur Nés rencontre 100 Jours à Cancun. Problème rien n'affleure tant tout semble à la fois déjà filmé, déjà vu, déjà éclairé et monté (un clip de justin ...
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Abec Tsaï Mingh Liang difficile toujours de savoir à quoi s'en tenir, aprés l'arithmétique et austères visages, son trés classique Et là bas quelle heure est-il? , celui-ci s'affirme un peu comme un pendant aux oeuvres de Jia Zhang Ke. Lumières et couleurs magnifiques pour cerner une réalité frontale, un décorum de nature vivante cotoie dans une proximité d'espace neuve, un chaos urbain, quasi toujours intra-muros. Comme chez le ...
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Aprés s'être bidonné devant ce Shrek pour geek qu'était The Hobbit 1, avec son matérialisme de CM2 et ses ralonge aussi pénible qu'un mauvais vaudeville, force est de constaté que Jackson a sentit la médiocrité cinématographiqe de son cancer visuel s'étandre et que pour en soigner les effets les plus secondaires (ennuis, lourdeurs/laideurs, redondances), il a fallut bien sur en rajouter dans le spactaculaire pour djeunes adeptes de ...
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Quelle tristesse de voir les cahiers du cinéma se perdre en conjectures malheureuses sur l'esthétique admirable de ce film. On croirait entendre le même croassement qui avaient saisit ses critiques devant le baroque du cinéma fantastique tchécoslovaque de Juraj Herz. Lasri ravive mon souvenir de Morgiana, des films fous de jakubisko, ou le délire technique est viscérale, une volonté de se saisir de l'ensemble des codes et des ...
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Malheureusement la tamoulfusion n'opère que peu dans Chennai Express, Rohit Shetty (dont j'avais apprécier Golmaal et Singham 2) a les coudées larges et réussi sa première partie avec des hauts (les scènes comiques) et des bas (une mise en scène trés propre, sans grande surprise), et un scénario qui comme souvent dans le cinéma commercial hindi ou tamoul étire la moindre retrouvaille sous un déluge visuel, là aussi trop codifié. ...
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On ne peut pas raisonnablement continuer à louvoyer, les mystères de lisbonne est l'une des plus belle adaptations littéraires au cinéma, aussi belle et exigeante que la version du Feu Follet de Malle ou que l'adaptation au combien fantasmatique de Proust, par le même Ruiz, et c'est sans doute parce que Carlos Soboga a écrit un modéle d'équilibre dramatique. Oeuvre d'une beauté hypnotique, l'ouvrage phare de Castello Blanco était une ...
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Horrible, mal construit, prévisible et ennuyeux, à peine plus regardable qu'une mauvaise pub Véolia, OBLIVION est a peine plus interessant que le dernier Total Recall, autant dire que je me dis qu'autour du batage médiatique et de la complaisance de ceux qui voulait absolument voir un bon film de science fiction dans ce qui semble la décennie la plus moribonde pour le genre, n'ont que leur yeux pour pleurer. C'est nul et chiant.
Entre Japon de Reygadas; Los Muertos le Llosa, ou le sublime Marketa Lazarova; de Vlacil, Los Salvajes semble comme un réseau de magnifiques splendeurs; qui tracent des ponts entre les genres et les époques. FIlms de fuite, Thriller metaphysique; errance adolescente qui rappelle Putty HIll; film symbole aux protagonistes durs et forts (Comme dans Si je veux siffler je siffle), Los Salvajes est un rare moment de cinéma radicale, évoluant loin ...
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Comme d'habitude les critiques n'ont rien compris, et si pas un ne fait le rapprochement avec l'oeuvre de Schonberg/Boubil (qu'ils n'ont pas vu soit), plus d'un se rapporte à l'oeuvre de Victor Hugo en avouant ne l'avoir pas même lu. En vérité c'est un contresens énorme que de jauger le film sur le livre, le film est d'abord fait pour les fans du musical, qui divise déjà pas mal la communauté Broadway/Londres, et n'a pas vocation autres ...
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N'étant pas du tout et pour longtemps un fan d'Etenrel Sunshine of the Spotless Mind, et attendant Miranda Julie depuis le terrifiant Moi toi...et ben...bien sur Miranda July n'innove pas tellement, mais qu'est ce qu'elle brille. Tout semble possible dans le film, et pourtant tout est déjà fermé. L'esprit si libre du premier film est emprisonnée dans quelque chose de terriblement plus réaliste. Film des villes, moins bucoliques que les ...
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D'abord illustrer un conte, relire la trame d'une histoire, le myhte de blanche neige, le placer dans le sud d'une espagne vibrante de soleil, trés années 20. Joint à une histoire de torromachie (des plus scolaires), plus à une sombre vengeance d'une belle mère au coeur noir sur sa brue (là cendrillon rejoint blanche neige), plus y ajouter un trait d'amourette fort platonnique entre un nain et l'héroîne, sans oublier un rapport au père ...
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Qu'est ce qu'un rêve, Nolan ne se pose pas la question, le rêve c'est une porte ouverte vers l'inconscient pour y inciser une fissure et ainsi déjouer le destin. Programme séduisant si le cinéaste ne s'enfermait pas dans sa cellule capitonnée, se bordant d'explication psychologique rasoir, de technologies douteuses et d'un scientisme naïf. Le pire, le constant besoin d'en rajouter, d'en remettre une couche, de multiplier les permutations ...
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Willow est une merveille, là où le LOTR de jackson echoue lamentablement, Howard glisse sa révérence au monde de Tolkien tout en le visitant d'un peu de réalisme, les Nelwyns sont des hobbits agriculteurs (et non de pâles polipockets encapsulés dans des intérieurs digne d'Ikéa), l'histoire se nimbe d'une lumière absolument remarquable, hommage aux illustrations des contes et légendes du 19 éme, et au tableau fantastique anglais (rien ...
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Bien loin du génial Lust Caution, ang lee attaque les terres du blockbuster de Noël. Autant dire que le pauvre Scorcesse, le rachitique James Cameron, l'horrible Peter Jackson vont se prendre une leçon de découpage et de mise en scène...et ça ne loupe pas, le goût pour des instant en passe de s'achever, ou l'image cadre la totalité de l'action, l'utilisation au combien libre de la 3D pour ramener Pi dans le domaine du spectacle pur, le ...
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Bon dieu, mais qu'est ce que raconte Ben Affleck ?? Au final pas grand chose, sinon que les héros sont des gens discrets qui aimnt leurs enfants plus que les honneurs et portent des vestes en tweed et une coupe qui leur cache le front. Bon et l'iran et l'irangate et reagan et les otage?, Tout ça (enfin juste les otages) c'est dans une première partie, la meilleure, qui dure 15 minutes, et puis dés que notre négociateur arrive à Téhéran, ...
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"Faîtes profiter les autres de votre expérience" dixit allociné. Autant dire que c'était plutôt agréable de pouvoir finir le Chat Murr, pendant le film, tellement je me suis ennuyé, l'image étant exceptionnellement brillante. Pourquoi je me suis ennuyé ? Ca c'est, une longue trés longue histoire, qui a bien durée 2h30. On me dira avec une pointe d'ironie que le livre était bien un peu ennuyeux, bon d'accord, celà légitime donc le ...
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The Dark Knight s'offre le luxe de réactualiser encore et encore les mêmes petites pirouettes narrtives. Une situation ou l'ordre coutumier et mis à mal par une menace cette fois-ci rappelant le réalisme terroriste de Die Hard (soit une partie d'une ville totalement prise en otage). Toute la première partie du film de loin la plus brillante, est consacrée à la conquête, la deuxième la plus faible, montre un christian bale qui tente de ...
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le cinéma de Dolan était d'un brillant verni, son incroyable J'ai tué ma mère, tenait sans trop mordre la poussière, à un académisme branchouille qui connectait dirctement au renouveau de la pop new wave et du clip bobos-clinquant-sentimental (que du bonheur) à un cinéma qui avait plutôt tendance à lui faire la gueule. Avec ses bottes de sept lieus pas besoin de dire que sa maman et la putain au fort relent chic et choc (les amours) et ...
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Larry Clark est bien à l'aise avec ses cobayes acteurs tous trés trés beaux(il va pas filmer des laids non plus!!). Problème où pas, le corps des acteurs est soumis à rudes épreuves, problème parceque au delà de leur corps, encore une fois trés beau, aux attributs sublimes, surement un déguisement porno de plus, Larry Clark ne fouille pas grand chose. Où plutôt il filme cet enchainement de situation white trash, avec ses ...
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